Gonfaron
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Église de Gonfaron. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Arrondissement de Brignoles | ||||
Canton | Le Luc | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur du Var | ||||
Maire Mandat | Thierry Bongiorno 2014-2020 | ||||
Code postal | 83590 | ||||
Code commune | 83067 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gonfaronnais | ||||
Population municipale | 4 336 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 107 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 19′ 17″ nord, 6° 17′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 766 m | ||||
Superficie | 40,42 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Var
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Liens | |||||
Site web | mairie-gonfaron.fr | ||||
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Gonfaron est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Localisation
1.2 Géologie et relief
1.3 Sismicité
1.4 Hydrographie et les eaux souterraines
1.4.1 Ressource en eau des contreforts de la Sainte-Baumme
1.5 Climat
1.6 Communes limitrophes
1.7 Voies de communications et transports
1.7.1 Voies routières
1.7.2 Transports en commun
1.8 Intercommunalité
2 Urbanisme
3 Toponymie
4 Histoire
4.1 Préhistoire
4.2 Antiquité
4.3 Moyen Âge
5 Politique et administration
5.1 Tendances politiques et résultats
5.2 Liste des maires
5.3 Budget et fiscalité 2016
5.4 Jumelages
5.5 Politique environnementale
6 Population et société
6.1 Démographie
6.2 Enseignement
6.3 Santé
6.4 Cultes
7 Économie
8 Culture locale et patrimoine
8.1 Lieux et monuments
8.2 Légendes
8.2.1 La légende de l'âne volant
8.2.2 La vie de saint Quinis
8.3 Personnalités liées à la commune
8.4 Héraldique
9 Pour approfondir
9.1 Bibliographie
9.2 Articles connexes
9.3 Liens externes
10 Notes et références
10.1 Notes
10.2 Références
Géographie |
Localisation |
Gonfaron est un village du Centre Var proche de Brignoles et du Luc, membre de la communauté de communes Cœur du Var.
Écarts :
- lieu-dit Aille[1] ;
- lieu-dit Saint-Jacques[2].
Géologie et relief |
Le village est adossé à la colline de la Roquette (à environ 200 m d'altitude). Il est niché au pied du massif des Maures dont la face Nord et les crêtes culminantes (Notre-Dame-des-Anges et la Sauvette) dominent la région.
Sismicité |
La commune est située en zone 2, sismicité faible[3].
Hydrographie et les eaux souterraines |
La commune est traversée par l'Aille, un affluent de l'Argens, ainsi que par plusieurs de ses affluents[4].
Ressource en eau des contreforts de la Sainte-Baumme |
Dans le secteur Cœur du Var, les communes de Gonfaron, Les Mayons, Le Cannet des Maures, Le Luc et Le Thoronet, appartenant au territoire Cœur de Var, n’ont pas été intégrées au secteur « Ouest Cœur de Var ». Ces 5 communes sont desservies par le syndicat d’Entraigues, dont les ressources en eau relève d’un autre contexte géographique.
- Le secteur « Ouest Cœur de Var » regroupe 6 communes (Cabasse, Flassans-sur-Issole, Besse-sur-Issole, Pujet-Ville, Carnoules et Pignans)[5].
Climat |
Le climat de la commune est classés Cfb dans la classification de Köppen et Geiger : méditerranéen et montagnard[6].
Communes limitrophes |
Voies de communications et transports |
Voies routières |
La commune est traversée par l'autoroute A57. la sortie la plus proche est la 11, entre Carnoules et Pignans. La route départementale RD 97, reliant Le Luc à Toulon, passe par le centre du village.
Transports en commun |
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
La gare de Gonfaron est desservie par les TER Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur la ligne ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille.
Intercommunalité |
Gonfaron est membre de la communauté de communes Cœur du Var de 37 829 habitants, créée en janvier 2002[7].
Les onze communes composant la communauté de communes en 2012 sont (par ordre alphabétique) :
Besse-sur-Issole ;
Cabasse ;
Le Cannet-des-Maures ;
Carnoules ;- Flassans-sur-Issole ;
- Gonfaron ;
Le Luc ;
Les Mayons ;
Pignans ;
Puget-Ville ;
Le Thoronet.
Urbanisme |
La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[8].
Elle a une superficie de 4 042 ha. Actuellement, la partie « village » bâtie sur la colline se compose de petites rues et ruelles entrecoupées d'escaliers ou de porches qui conduisent immanquablement vers la chapelle Saint-Quinis. La partie basse entoure la nationale et la place de la Victoire. C'est là que se situe la majorité des commerces et l'animation.
Tout autour et plus au sud, il y a d'abord des « quartiers » de résidences entourées de jardins. Plus loin, dans les campagnes, de nouveaux lotissements se construisent jusqu'au pied du massif des Maures.
En matière d'urbanisme intercommunal, qui fixe les orientations générales et objectifs, la commune de Gonfaron fait partie intégrante du schéma de cohérence territoriale (SCoT) de la communauté de communes Cœur du Var[9],[10].
Toponymie |
Gonfanonem (1039), Confanone (1062), Gonfarone (1341), Gonfaron (1793). Son nom en provençal est Gounfaroun[11].
Histoire |
Préhistoire |
Les premières traces d'habitat sur la commune ont été retrouvées dans deux grottes, de la colline de la Roquette. Elles remontent à l'âge du bronze. Proche de ses grottes se trouvent les restes d'un oppidum ligure[12].
Antiquité |
Des traces d'occupation romaine, datant de 100 av. J.-C., ont été retrouvées le long de la route reliant Gonfaron à Flassans-sur-Issole[12].
Moyen Âge |
Le village faisait partie de la seigneurie de Pignans. En 1481, Charles V d'Anjou, alors comte de Provence, désigne Louis XI comme héritier. À son décès, la commune, comme l'ensemble de la Provence, est alors rattachée à la France[12].
Politique et administration |
Tendances politiques et résultats |
Liste des maires |
Budget et fiscalité 2016 |
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[14] :
- total des produits de fonctionnement : 4 006 000 €, soit 929 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 3 616 000 €, soit 838 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 901 000 €, soit 209 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 351 000 €, soit 313 € par habitant.
- endettement : 120 100 €, soit 278 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 19,50 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,42 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 73,82 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 729 €[15].
Jumelages |
Politique environnementale |
Population et société |
Démographie |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].
En 2015, la commune comptait 4 336 habitants[Note 1], en augmentation de 3,44 % par rapport à 2010 (Var : +4,01 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Enseignement |
La commune de Gonfaron compte une école maternelle, l'école public Jules-Serre, et une école primaire public, l'école Jean-Aicard.
Le collège de rattachement des Gonfaronnais est le collège Pierre-de-Coubertin au Luc-en-Provence.
Le lycée de rattachement est le lycée Raynouard à Brignoles.
Santé |
Un centre de santé comptant trois médecins généralistes, kiné, infirmières, ostéopathes, podologue, pédicure est implanté dans la commune[20].
Cultes |
La paroisse catholique romaine de l'immaculée conception est une paroisse du diocèse de Fréjus-Toulon, son curé est le père Jean-Louis Jaussaud[21].
La mission anglicane méthodiste du Christ-Roi (The Anglican Methodist Mission of Christ the King) est une congrégation anglicane confessante de tradition Basse Église, francophone et anglophone, fondée le 22 septembre 1998 ; elle est administrée par un pasteur : le révérend Emmanuel Briglia-Audibert[22]. Elle est membre de l'Église Méthodiste Épiscopale de France et du Fellowship of Confessing Anglicans[23]. Elle est installée à Gonfaron depuis 2009[23].
Économie |
L'activité agricole à travers son patrimoine :
- Moulins à huile[24],[25] ;
- Moulin à farine[26] ;
- Coopérative vinicole dite Coopérative les Maîtres Vignerons de Gonfaron[27] ;
Autres activités :
- Tuilerie, puis ferme[28].
- L'industrie de liège dans le massif des Maures[29].
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
- Village des tortues
La commune est connue pour son Village des tortues, siège de la Station d'Observation et de Protection des Tortues et de leurs milieux et centre d'étude et de conservation de la tortue d'Hermann, qui se trouve dans cette commune et draine de nombreux touristes. Le lieu accueille divers équipements tel que la clinique des tortues, les écloseries, les nurseries ou divers enclos[30]. Ce village est dû à Bernard Devaux, ancien journaliste, naturaliste, professionnellement reconverti dans les années 1980 dans l'étude et la protection de l'animal sauvage le plus symbolique de la nature du Massif des Maures : la tortue d'Hermann. L'intense activité touristique du Village des tortues qu'il a fondé aux abords de la commune est une source économique majeure pour la région et l'une des plus importantes contributions mondiales à l'étude des tortues dans leur milieu naturel[31].
- Les principaux monuments
Le patrimoine religieux
- L'Église de Saint-Jacques de Cagnosc. Il n'en reste qu'un pan de mur. Elle daterait du XIe siècle ;
- L'église Immaculée-Conception » consacrée en 1865[32],[33]et sa cloche de 1674[34] ;
- La chapelle Saint-Quinis : reconstruite plusieurs fois, l'actuelle date de 1849[35], et sa cloche de 1645[36] ;
- La chapelle Saint-Sépulcre[37] ;
- La chapelle Notre-Dame-du-Figuier[38] ;
- La croix monumentale dite Croix de mission[39].
Le patrimoine civil
- Les monuments aux morts[40],[41],[42],[43],[44].
- La tour de l'Horloge (1850) est surmontée d'un campanile[45] ;
- La fresque de l'âne volant[46] ;
- La place de la Victoire est particulièrement vaste ;
- Parc du château des Houerts[47] ;
- Fontaines et lavoirs[48],[49],[50],[51],[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60].
Légendes |
La légende de l'âne volant |
La commune est surtout connue pour la légende de l'âne volant. Cette légende lie le village à saint Quinis, son saint patron. La chapelle qui surplombe le village porte d'ailleurs le nom de chapelle de Saint-Quinis. La mention de « Âne volant » est reprise tant dans des enseignes de magasin que des noms d'associations locales.
La fête de l'âne volant se fête en avril. En fin de journée, l'âne édifié à cette occasion est brûlé. Au cours du temps, plusieurs versions de la légende son nées. La légende la plus réputée est celle-ci : le village est surmonté par une chapelle portant le nom de son saint patron, saint Quinis. La tradition voulait que les habitants se réunissent pour une procession vers la chapelle, il était donc demandé aux habitants de nettoyer les rues par lesquelles passerait le cortège. En 1645, un Gonfaronnais « grincheux » refusa, on ne sut jamais pourquoi, de faire cette besogne de propreté et s'écria simplement : « Si Saint Quinis trouve le passage trop sale, il n'aura qu'à sauter par-dessus ! ». Selon certains, il ajouta quelques propos désobligeants.
La municipalité fit procéder d'autorité au travail nécessaire. La fête eut lieu dans la joie et la bonne humeur, mais l'incident resta pourtant dans la mémoire des habitants... Quelque temps après, le vieil homme revenant de la campagne sur son âne, descendait les pentes de la Carnaraute (nom local de la montagne qui domine Gonfaron au nord). Or sa bête, énervée par les taons, prit soudain une allure précipitée. À tel point que, quittant son chemin, elle fit un vol plané au-dessus du ravin tandis que son piteux cavalier était projeté rudement sur le sol. Connue aussitôt, sa mésaventure fit la joie et la risée de tout le pays, et chacun de s'écrier : « C'est bien fait, Saint Quinis l'a puni, son âne a volé ».
Cette légende, quelle qu'en soit la version retenue, est directement liée à une expression familière, « à Gonfaron les ânes volent / à Gounfaroun leis ai volon », destinée à indiquer à son interlocuteur que l'on n'en croit rien, que l'on n'est pas dupe de ce qui vient d'être dit. L'expression d'origine en provençal joue sur l'homophonie entre Gounfaroun et gounfaloun ou gounfaroun, mot qui signifie bannière. Et une bannière vole dans le vent, comme l'âne de la légende[61],[62].
La vie de saint Quinis |
Saint Quinis, patron de Gonfaron, est né à Vaison-la-Romaine (Vaucluse) vers l’an 500. On le nommait "Quenin" ou "Quinidius" (en latin). Ses parents étaient chrétiens, très pieux et son père occupait un poste important à la municipalité. Sa mère fit un jour un pèlerinage à Arles et là, elle entendit une voix lui annonçant qu’elle aurait un fils qui serait évêque et ferait beaucoup de conversions de pécheurs et de miracles[63].
Quinis fut baptisé à sa naissance et élevé dans la religion chrétienne par de très bons maîtres. Très bon élève, il apprit en classe : la grammaire, le latin, le calcul, la musique. Quand il fut plus grand, l’évêque de Vaison l’envoya compléter son instruction au monastère des Îles de Lérins (îles en face de Cannes), qui existe toujours. Les moines y tenaient une école très connue et très bonne où l’on formait des savants, des prêtres et même des évêques[64].
Quinis partit donc et passa par Avignon, Brignoles, Besse-sur-Issole, Gonfaron. Il traversait les villes et les campagnes, couchant chez les paysans ou dans les auberges. Il prêchait l’évangile de Jésus avec charité et douceur aux personnes qu’il rencontrait sur son chemin. Il parlait aux laboureurs, aux vignerons, aux bergers, aux bûcherons et leur apprenait la charité et l’amour de Dieu. Il leur conseillait d’abandonner les cultes païens, hérités des Romains[64].
Comme le Vaisonnais avait séjourné à Gonfaron et converti la population, celle-ci fit construire une chapelle, en son honneur, au Xe siècle. Située en haut du vieux village; elle subit de nombreux avatars. Elle fut détruite, une première fois, au XVIe siècle au cours des guerres de religion et restaurée en 1638 puis en 1849, un peu plus bas que l’ancienne. Pourtant, une quarantaine d’année de nouveaux travaux de réfection s'imposèrent, enfin au XXe siècle une ultime rénovation fut nécessaire. Chaque année, au mois de février, les paroissiens du village fête leur saint lors d'une neuvaine. Celle-ci a perduré quant à la fête de l’âne, elle se déroule fin mars, et la statue de saint Quinis l'accompagne en procession jusqu'à la chapelle[65].
Personnalités liées à la commune |
- Le peintre Janusz de Rola a vécu à Gonfaron de 1981 à sa mort. Un pont[66] porte d'ailleurs son nom.
- Le pilote Henri Julien (en), né en 1927, qui créa en 1968, l'écurie de course automobile AGS Automobiles Gonfaronnaises Sportives. Cette marque participa à d'innombrables compétitions en Formule France, Formule Renault, Formule 3, Formule 2, Formule 3000, et même Formule 1 de 1986 à 1991. C'est sur son initiative que fut fondé le Circuit du Var au Luc que l'équipe utilise toujours. AGS survit à son départ de la Formule 1, dès 1992 germe l'idée d'utiliser le matériel de l'équipe dans le cadre de stages de pilotage haut de gamme. En 2002, AGS a même conçu des toutes nouvelles Formule 1 répondant à la réglementation technique en vigueur : les SH01, SH02, SH03 et deux biplaces. Outre ces dernières et les anciennes JH24, l'entreprise propose aussi de piloter dans le cadre de ses stages des anciennes Arrows, Prost Grand Prix, Jordan Grand Prix ainsi qu'une Peugeot 905. Henri Julien est aussi détenteur du record du monde de l'heure des Racer 500 le 3/9/1997 à la vitesse de 222,557 km/h en collaboration avec son ami Bernard Boyer[67].
- Jeannine Leïd, conservatrice des valeurs gonfaronnaises et de l'histoire de ce village[68]. L'association Les Amis de Saint-Quinis a pour but de venir en aide aux plus démunis mais aussi à l'amélioration de la vie des paroissiens.
- Lucien Sapin, peintre et sculpteur est arrivé à Gonfaron à l'âge de 6 mois. Très jeune, il fera de la sculpture son métier. Chef d'atelier des Marbres Français, il dirige 32 ouvriers ; attaché au musée du Louvre au titre de meilleur ouvrier de France, il restaure : La grande galerie du Louvre avec son équipe de spécialistes en ce qui concerne la marbrerie, et le pavillon de Flore. Chargé de mission par le ministère de la Culture, il travaille dans les musées étrangers. Il visite des carrières et sélectionne des marbres pour les restaurations futures[69].
- Fernand Briano, leveur de liège, à qui le musée du liège de Gonfaron[70] consacre un encart, puis pompier bénévole où il applique des contre feux, système interdit actuellement[71], et toute sa vie il forme les jeunes à la chasse, passion qu'il a pratiqué jusqu'à 90 ans. Il œuvra aussi à la Résistance de Gonfaron durant la Seconde Guerre mondiale où il fut maquisard; il alimentait ses collègues abrités dans un cabanon dans les Maures, notamment[72].
Héraldique |
La commune porterait[73] :
|
Pour approfondir |
Bibliographie |
- Bourg castral de Cagnosc
- Présentation du village
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes |
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- Liste des communes du Var
Centre de protection des tortues du Sénégal (conçu sur le modèle de celui de Gonfaron)
Liens externes |
- Site de la mairie
- Site de l'association gonfaron.net
- Gonfaron sur le site de l'Institut géographique national
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
(fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
(fr) Système d’information géographique du Var (SIG Var : Gonfaron)
Notes et références |
Notes |
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.
Références |
« Ecart Aille », notice no IA00127338, base Mérimée, ministère français de la Culture
« Ecart Saint-Jacques », notice no IA00127349, base Mérimée, ministère français de la Culture
La commune est située en zone de sismicité faible
Cours d'eau sur la commune ou à son aval (rivière, ruisseau, canal...)
Identification et caractérisation de la ressource majeure à préserver pour l’alimentation en eau potable, juillet 2011
Table climatique
Communes appartenant au Groupement Fiscalisé : Communauté de communes Cœur du Var et les Comptes des communes : Commune Gonfaron
Plan local d'urbanisme
"Cœur du Var"
Schéma de cohérence territoriale, État d’avancement dans le département du Var : Cœur du var : Gonfaron
Zou, boulégan ! expressions familières de Marseille et de Provence, Philippe Blanchet, Bonnetton, 2000.
histoire de Gonfaron
Municipales à Gonfaron : Yves Orengo adoube son dauphin Thierry Bongiorno [1]
Les comptes de la commune
Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
centre de santé
Paroisse de l'Immaculée Conception de Gonfaron
Eglise Methodiste Episcopale de France
Journal Officiel, 26 juin 2009, Numéro R.N.A. W833000417
« moulin à huile place Frédéric Mistral », notice no IA00127330, base Mérimée, ministère français de la Culture
« moulin à huile rue Marceau », notice no IA00127331, base Mérimée, ministère français de la Culture
« Moulin à farine », notice no IA00127344, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire normalisé
« Coopérative vinicole dite Coopérative les Maîtres Vignerons de Gonfaron », notice no IA00127329, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire normalisé ; enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
« Tuilerie, puis ferme », notice no IA00127355, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire normalisé
L'industrie du liège dans le massif des Maures du début du XIXe siècle à la fin du XXe siècle. Apogée et déclin d'une industrie rurale provençale, pp. 10-19-23
Le village des tortues, sur son site internet
Le village des tortues de Gonfaron avec Bernard Devaux
« Eglise paroissiale Notre-Dame-de-L'Immaculée-Conception », notice no IA00127318, base Mérimée, ministère français de la Culture
Gonfaron – église de l’Immaculée Conception
Notice no PM83000337, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église de l'Immaculée Conception
« Chapelle Saint-Quinis », notice no IA00127319, base Mérimée, ministère français de la Culture
Notice no PM83000336, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Saint-Quinis
« Chapelle Saint-Sépulcre », notice no IA00127353, base Mérimée, ministère français de la Culture
« Chapelle Notre-Dame-du-Figuier », notice no IA00127345, base Mérimée, ministère français de la Culture
« Croix monumentale dite Croix de mission », notice no IA00127320, base Mérimée, ministère français de la Culture
Le monument aux morts
« Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 », notice no IA00127322, base Mérimée, ministère français de la Culture
« Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 », notice no IA00127323, base Mérimée, ministère français de la Culture
Notice no IM83000666, base Palissy, ministère français de la Culture monument aux morts, de la guerre de 1914-1918, Saint-Pons
Notice no IM83000665, base Palissy, ministère français de la Culture monument aux morts, de la guerre de 1914-1918, place de la Victoire
« beffroi rue du Président Wilson », notice no IA00127325, base Mérimée, ministère français de la Culture
La fresque de l'âne volant
« parc du château des Houerts », notice no IA83000396, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable)
« fontaine avenue du 11 Novembre 1918 », notice no IA83000758, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine place du 8 Mai 1945 », notice no IA00127332, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine place Aimé Mario », notice no IA00127333, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine rue Albert 1er », notice no IA83000756, base Mérimée, ministère français de la Culture
« borne-fontaine avenue Foch », notice no IA83000794, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine place Frédéric Mistral », notice no IA00127334, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine place Gambetta », notice no IA00127335, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine Grand rue », notice no IA00127336, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine place Jean Giono », notice no IA00127337, base Mérimée, ministère français de la Culture
« lavoir ; remise de matériel d'incendie », notice no IA83000759, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine rue Marceau », notice no IA83000757, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine rue du Président Wilson », notice no IA83000792, base Mérimée, ministère français de la Culture
« fontaine rue de la Treille », notice no IA83000793, base Mérimée, ministère français de la Culture
Lou tresor dóu felibrige, Fr. Mistral, vol. 2 p. 70 de l'édition CPM de 1979.
Zou, boulégan ! expressions familières de Marseille et de Provence, Philippe Blanchet, Bonnetton 2000.
La chapelle de saint Quinis
Vie de saint Quenin
Histoire de la chapelle de saint Quinis
Pont
Réunion des anciens de l'écurie AGS, en octobre 2012
Jeannine Leïd : gardienne des traditions
Un peintre sculpteur à Gonfaron
Écomusée du Liège
L'Oiseau et le Trésor, par Didier Briano, p.115
Albin Roux originaire de Gonfaron, maquisard au sein des Francs-tireurs et partisans (FTP)
Coeur du Var Plaine des Maures : Gonfaron , Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
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