Vieux norrois













































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Période
du VIIe au XVe siècle
Langues filles

langues scandinaves
Région

Scandinavie et régions colonisées (Islande, îles Féroé, Groenland)

Typologie

flexionnelle, accentuelle
Classification par famille

  • - langues indo-européennes

    • - langues germaniques

      • - langues scandinaves

        • - vieux norrois



Codes de langue

ISO 639-2
non

ISO 639-3

non

IETF
non


Le vieux norrois (ou norrois, norois ou encore vieil islandais) correspond aux premières attestations écrites d'une langue scandinave médiévale.




Sommaire






  • 1 Définition


  • 2 Classification


  • 3 Histoire


  • 4 Répartition géographique


    • 4.1 Diffusion




  • 5 Alphabet et phonologie


    • 5.1 Les graphies et leur valeur phonétique


    • 5.2 L'accentuation




  • 6 Grammaire


    • 6.1 Les noms


      • 6.1.1 Suffixes forts et suffixes faibles


      • 6.1.2 Le genre nominal


      • 6.1.3 Le nombre


      • 6.1.4 Les déclinaisons nominales




    • 6.2 Les adjectifs


    • 6.3 Les pronoms personnels


      • 6.3.1 Les pronoms personnels proprement dits


      • 6.3.2 Les pronoms personnels de la troisième personne


      • 6.3.3 Les pronoms démonstratifs de distance et de proximité




    • 6.4 Les pronoms interrogatifs


    • 6.5 Les verbes


    • 6.6 Syntaxe




  • 7 Exemples


  • 8 Notes et références


  • 9 Annexes


    • 9.1 Articles connexes







Définition |


Il n'existe pas de définition unique de ce qu'est le vieux norrois et donc de la littérature norroise.


Dans le sens le plus large, le terme « vieux norrois » désigne la langue du Danemark, de la Norvège et de la Suède ainsi que des colonies scandinaves comme Islande pendant l'âge des Vikings (v.  750-1050), le haut Moyen Âge et le Moyen Âge central (v.  1050-1350)[1],[2],[3].


À l'opposé, dans le sens le plus restreint, le terme peut ne désigner que le vieux norvégien du Moyen Âge haut et central[1].


Enfin, on peut trouver une définition intermédiaire, qui est utilisée notamment par la Viking Society for Northern Research et la Bibliothèque nationale de France. Elle consiste à considérer le terme comme désignant la langue de la Norvège entre environ 750 et 1350 (après quoi le norvégien évolue considérablement) et la langue de l'Islande entre la colonisation du pays (v.  870) et la Réforme protestante (v.  1550, ce qui constitue plus une barrière culturelle que linguistique)[1],[4].


Néanmoins, le vieux norrois n'étant pas entièrement uniforme mais s'agissant plutôt d'une collection de dialectes avec de nombreuses affinités il doit donc être compris comme un terme générique pour désigner le vieil islandais, le vieux norvégien, le vieux danois, le vieux suédois et le vieux gotlandais, — mais il est souvent utilisé comme synonyme de vieil islandais, car la majorité des sources viennent d'Islande[5]. Même pris dans le sens plus restreint, soit uniquement la langue médiévale norvégienne et islandaise, bien qu'il y avait une unité entre les différentes dialectes du monde scandinave occidental durant cette période le norvégien de 750 n'est pas le même que celui de 1350. De plus, lorsque les colons norvégiens emportèrent leur langue en Islande, elle divergera par certains aspects de la langue mère norvégienne[1].



Classification |


Le vieux norrois appartient au groupe septentrional des langues germaniques, d'où sont issues les langues scandinaves.



Histoire |




L'extension du vieux norrois et des langues apparentées au début du Xe siècle :


  •       Dialecte de l'ouest

  •       Dialecte de l'est

  •       Ancien gutnisk

  •       Gotique de Crimée

  •       Vieil anglais

  •       Autres langues germaniques pour lesquelles le vieux norrois conserve des éléments intelligibles



L'origine du vieux norrois commence avec l'expansion de l'indo-européen commun, ancêtre des langues germaniques, slaves, celtiques, indo-iraniennes, romanes et grecques[5]. Avec les migrations, le commerce avec d'autres civilisations, et le contact avec des langues non-indo-européennes. Au fil des siècles naît ainsi le proto-germanique ou germanique commun[5].


Le proto-germanique va lui-même se scinder en trois groupes entre la fin de l'ère pré-chrétienne et le début de l'ère chrétienne[5] :



  • le groupe des langues germaniques occidentales, d'où sont issus le vieil anglais, le vieux frison, le vieil haut allemand et le vieux saxon[5] ;

  • le groupe des langues germaniques orientales, seulement attestée par le gotique, aujourd'hui éteint[5] ;

  • le groupe des langues germaniques septentrionales ou langues scandinaves[5].


En vérité cette vision en trois branches est simpliste, et le vieux norrois possède des similitudes avec le groupe occidental que n'a pas le gotique, et des similitudes avec le gotique que n'a pas le groupe occidental[5].


On distingue traditionnellement trois périodes dans l'évolution des langues scandinaves :



  • avant le VIIe siècle, le stade de l'ancien scandinave, ou proto-norrois qui ne comprenait pas encore de variantes dialectales significatives ;

  • entre le VIIe siècle et le XVe siècle, celui du vieux scandinave, qui se différenciait en deux dialectes très similaires :

    • le dialecte du scandinave oriental, parlé au Danemark, dans le Schleswig (aujourd'hui allemand) et dans ses établissements d'outremer : le Danelaw en Angleterre et une petite partie de la Normandie. Il était parlé également en Suède et dans les établissements varègues de Russie. Il s'est progressivement scindé, à partir du XIIe siècle, en vieux suédois (en) et vieux danois (da) (on ajoute souvent à ces deux dialectes une troisième branche, le vieux gutnisk parlé sur l'île de Gotland) ;

    • le dialecte du scandinave occidental, qui est le seul à être désigné usuellement sous le nom de (vieux) norrois, parlé en Norvège et dans ses anciennes colonies d'outremer : Islande, îles Féroé, îles Shetland, îles Orcades, île de Man, certaines parties de l'Écosse (notamment insulaires), de la Normandie (voir influence du vieux norrois et du vieux danois sur le normand et la toponymie normande), du Groenland, ainsi que dans les quelques comptoirs Vikings d'Irlande.
      • Les descendants actuels du scandinave occidental sont l'islandais, le féringien (des îles Féroé) et le norvégien ; des trois, c'est ce dernier qui a changé le plus radicalement, en partie à cause de l'influence du danois et du suédois, mais surtout du fait de l'orientation donnée par l'évolution linguistique générale de la Scandinavie.




  • à partir du XVe siècle, enfin, on entre dans l'ère des langues scandinaves modernes : principalement le norvégien, le danois, le suédois et l'islandais.


Le vieux norrois est de loin la variété la mieux attestée d'ancien scandinave ; le norrois « classique » est le langage dans lequel ont été rédigées les sagas islandaises des XIIe et XIIIe siècles et les Eddas, dont l'Edda en prose de Snorri Sturlusson, décrivant la mythologie viking avec une neutralité étonnante de la part d'un clerc.



Répartition géographique |



Diffusion |


Le vieux norrois a influencé de nombreuses langues : le russe, l'anglais, le normand et le français via le normand. Les langues qui en sont aujourd'hui les plus proches sont l'islandais, qui en conserve un fonds très important, le féringien et dans une moindre mesure les langues scandinaves.


En France, la toponymie normande et l'anthroponymie sont caractérisées par la présence d'appellatifs toponymiques issus du vieux norrois (both > -beuf « barraque, village », topt > -tot « établissement », bekkr > -bec « ruisseau », lundr > -lon « bois, forêt », lunda > londe « bois, forêt », thorp > torp(s), tour(p) « hameau », thveit > -tuit, Thuit- « essart », etc.) et les nombreux noms de personnes qui y sont inclus, ainsi que l'existence de nombreux patronymes, jadis prénoms (Ouf, Ingouf, Toutain, Anquetil, Turquetil, Angot, Anfry, Estur, Doudement, etc.) ; ceci est dû à l'installation de colons danois, norvégiens et anglo-scandinaves au Moyen Âge qui se poursuit sur plusieurs générations après la création d'une principauté normande (en 911).



Alphabet et phonologie |



Les graphies et leur valeur phonétique |


Article détaillé : Écriture du vieux norrois.

L'ancien scandinave est attesté sous deux formes graphiques :



  • en écriture runique, aussi appelée futhark

  • en alphabet latin, qui fut introduit en même temps que le christianisme peu après l'an 1000.


Dans l'alphabet latin, il a été nécessaire d'ajouter certains signes pour représenter tous les sons de l'ancien scandinave. Voici un tableau des voyelles de l'ancien scandinave telles qu'elles étaient représentées dans l'alphabet latin :































Voyelles fermées
Valeur
i [i]
í [iː]
y [y]
ý [yː]
u [u]
ú [uː]














































Voyelles ouvertes
Valeur
e [ɛ]
é [eː]
ø [ø]
œ [œː]
o [ɔ]
ó [oː]
æ [ɛː]
a [a]
á [aː], [ɑː]
ǫ [ɒ]

Les symboles ǫ, ę (ne sont plus utilisés et n'apparaissent donc pas dans le tableau) et ø (à l'origine une ligature par superposition de o et e) datent du XIIe siècle. Ils ont été proposés pour l'orthographe du vieil islandais par l'auteur du Premier traité de grammaire. Æ est emprunté au vieil anglais. Le vieux norrois connaissait en outre trois diphtongues : æi, ǫu et æy. Ces diphtongues étaient transcrites par des digrammes dans les manuscrits.


Pour les consonnes, on emprunta les graphèmes þ (th dur, comme dans faith en anglais, souvent translittéré th) et ð (th doux, comme dans le the anglais ; souvent translittéré dh) au vieil anglais ; le signe y transcrivant la voyelle labiale d'avant fermée fut aussi emprunté au vieil anglais.


Consulter aussi Transcription des langues germaniques.



L'accentuation |


Le vieux norrois faisait la différence entre syllabes accentuées et syllabes non accentuées. L'accent portait habituellement sur le radical des mots, c'est-à-dire, dans la plupart des cas, sur la première syllabe. Dans les mots composés, le premier élément portait en général l'accent primaire, mais un accent secondaire apparaissait sur le deuxième élément. Dans certains cas, c'était le préfixe qui était porteur de l'accent (et le radical restait alors inaccentué).



Grammaire |



Les noms |


Les noms du norrois se classent selon deux critères :



  1. leur suffixe d'origine

  2. leur genre.



Suffixes forts et suffixes faibles |


Il y avait deux possibilités :



  • le suffixe accentué d'origine se terminait par la voyelle a, o long, i ou u : le nom relevait alors de la déclinaison forte;

  • le suffixe accentué d'origine se terminait par la séquence an, on ou in : le nom relevait alors de la déclinaison faible. À cette déclinaison appartenaient également quelques noms se terminant en nd ou en r, ou bien ceux qui ne se terminaient pas par un suffixe accentué.



Le genre nominal |


Le vieux norrois comportait trois genres grammaticaux : masculin, féminin, et neutre. Le genre dépendait généralement du suffixe accentué originel du nom ; en général :



  • les noms en -a étaient masculins ou neutres ;

  • les noms en -o long étaient féminins ;

  • les noms en -u, masculins ;

  • les noms en -n, nd ou r étaient soit masculins soit féminins.



Le nombre |






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À l'origine, il existait trois nombres grammaticaux : le singulier, le pluriel et le duel, comme en grec ancien ou en breton. À l'époque classique, toutefois, le duel s'était depuis longtemps fondu avec le pluriel en ce qui concerne les noms, du moins.



Les déclinaisons nominales |


Les déclinaisons du vieux norrois comprenaient quatre cas, les mêmes que ceux que l'on retrouve en allemand moderne : nominatif, accusatif, datif et génitif.































Exemple de déclinaison forte
cas
singulier
pluriel
nominatif
armaz > armr
armōr > armar
accusatif
arma > arm
armanz > arma
datif
armē > armi
armumz > ǫrmum
génitif
armas > arms
armō > arma

(Précédés d'un point, les formes reconstituées ; à leur suite, les formes attestées en norrois classique).































Exemple de déclinaison faible
cas
singulier
pluriel
nominatif
granni
grannar
accusatif
granna
granna
datif
granna
grǫnnum
génitif
granna
granna


Les adjectifs |


À l'origine, les adjectifs étaient déclinés comme les noms ; cependant, déjà en proto-germanique, on adopta certaines formes pronominales qui donnèrent naissance à une déclinaison adjectivale particulière, mixte des déclinaisons nominale et pronominale.






















































Formes spécifiquement pronominales
cas
singulier
pluriel
masculin
féminin
neutre
masculin
féminin
neutre
nominatif
-
-
t
ir
-
-
accusatif
(a)n
a
t
-
-
-
datif
um
ri
u
-
-
génitif
-
rar
-
ra
ra
ra

Les autres formes utilisent :



  • les terminaisons en a au masculin et au neutre ;

  • et les terminaisons en ō au féminin.


Cette déclinaison est utilisée lorsque l'adjectif fonctionne comme prédicat ou modifie une phrase nominale indéfinie. Cette déclinaison est aussi appelée « déclinaison forte ».


Dans les phrases nominales définies, on utilise en revanche une « déclinaison faible » :



  • terminaison an au masculin et au neutre singulier ;

  • terminaison ōn au féminin singulier ;

  • au pluriel, terminaison um au datif pour tous les genres, et u à tous les autres cas.


Comparatif et superlatif


Il existait deux systèmes en norrois :


  • la plupart des adjectifs utilisaient le suffixe -ar pour former le comparatif et -ast pour le superlatif : ríkrríkariríkarstr, « puissant ».

  • mais un petit groupe d'adjectifs formaient leur comparatif et leur superlatif avec les suffixes -r et -st associés à une inflexion provenant d'un i disparu qui précédait la finale : langrlengrilengstr, « long ».


Les pronoms personnels |


La série des pronoms est, en norrois, composée de trois systèmes morphologiques distincts :



  • les pronoms personnels proprement dits ;

  • les pronoms de la troisième personne ;

  • les pronoms démonstratifs de distance et de proximité.


Les trois séries s'organisent selon des systèmes différents.



Les pronoms personnels proprement dits |


Ils s'organisent en trois nombres (singulier, duel, pluriel) et quatre cas, mais ne font pas de différences entre les genres. Ce sont les pronoms de la première et de la deuxième personne, et les réflexifs de la troisième personne.
Parmi les nombres, le duel correspond, comme en grec ancien, aux situations où deux individus (ou deux groupes) sont face à face.




















































Tableau des pronoms personnels proprement dits
cas
singulier
duel
pluriel
nominatif
ek
þú
-
vit
it
vér
ér
accusatif
mik
þik
sik
okkr
ykkr
oss
yðr
datif
mér
þér
sér
okkr
ykkr
oss
yðr
génitif
mín
þín
sín
okkar
ykkar
vár
yðar


Les pronoms personnels de la troisième personne |


Cette série s'organise en distinguant les genres (masculin et féminin) et correspond à une racine germanique caractérisée par un préfixe h-. En vieux norrois, ce système s'utilise uniquement au singulier et seulement pour les genres masculin et féminin. Le génitif tient lieu de pronoms et d'adjectifs possessifs.































Déclinaison des pronoms de la troisième personne
cas
masculin
féminin
nominatif
hann
hon
accusatif
hann
hana
datif
honum
henni
génitif
hans
hennar


Les pronoms démonstratifs de distance et de proximité |


Cette série se divise en deux groupes :


Les démonstratifs de distance sont formés sur deux paradigmes, sa (qui n'est utilisé que pour le nominatif singulier et le féminin), et þa :























































Démonstratifs de distance
Cas
Singulier
Pluriel
masculin
féminin
neutre
masculin
féminin
neutre
nominatif


þat
þeir
þær
þau
accusatif
þann
þá
þat
þá
þær
þau
datif
þeim
þeirra
því
þeim
þeim
þeim
génitif
þess
þeirrar
þess
þeirra
þeirra
þeirra

Les démonstratifs de proximité étaient à l'origine formés sur la base des démonstratifs de distance, à laquelle on ajoutait les suffixes -si ou -a, voire les deux comme dans l'ancien scandinave þansi. Ce système n'est cependant jamais attesté de façon consistante; la racine et le suffixe semblent s'être mêlés très tôt pour former un nouveau radical de déclinaison très irrégulière. C'est pourquoi les formes de ce type de pronom démonstratif a beaucoup varié en fonction des lieux et des époques.



Les pronoms interrogatifs |


Ces pronoms s'emploient comme en anglais :


  • Hver ert þú ? = Qui es-tu ?


  • Hvat ? Quoi

  • Hvar ? Où


  • Hver ? Qui

  • Hví ? Pourquoi


Les verbes |


Comme les autres langues germaniques, le norrois fait la distinction entre verbes forts et verbes faibles.
À l'origine, les verbes faibles étaient formés d'un simple radical auquel on ajoutait un suffixe accentué ; au passé, on se contentait d'ajouter une terminaison dentale à ce suffixe accentué.


Les verbes forts, au contraire, ne possédaient pas de suffixe accentué ; le changement de temps était marqué par une alternance vocalique dans le radical.
En norrois, le système temporel se construit autour d'une seule opposition : passé face à tout ce qui n'est pas passé (en particulier, le présent). On retrouve un système similaire dans les langues sémitiques, qui opposent l'accompli à l'inaccompli (voir l'article Arabe standard moderne).



Syntaxe |


Au présent


La phrase s'organise de la manière suivante :


Complément Sujet Verbe


exemples :
Chez moi je retourne.
Avec mon cheval en ville tu vas.



Exemples |




Notes et références |




  1. a b c et d(en) Michael Barnes, Viking Society for Northern Research, « Part I - Grammar », dans A new introduction to Old Norse, University College de Londres, 2008(lire en ligne), p. 1.2 - « What is Old Norse ? », pp. 1-2..


  2. (en) « Old Norse », sur OxfordDictionaries.com (en), Oxford University Press (consulté le 21 avril 2018).


  3. Olaf Mikkelsen et Patrick Guelpa, Le Premier traité grammatical islandais dans l’histoire des théories linguistiques, 2018(présentation en ligne, lire en ligne), p. 1.


  4. Bibliothèque nationale de France, « Vieux norrois (langue) » (consulté le 21 avril 2018).


  5. a b c d e f g et h(en) Todd B. Krause et Jonathan Slocum, « Old Norse Online - Introduction to Old Norse », sur site officiel de l'université du Texas à Austin (consulté le 21 avril 2018).



Annexes |


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Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Langue norroise.




Articles connexes |



  • linguistique

    • liste de langues

      • langues par famille

        • langues indo-européennes

          • langues germaniques
            • langues scandinaves








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