Parti libéral-radical





Ne doit pas être confondu avec le Parti radical-libéral, ancien parti politique luxembourgeois.




















































































PLR.Les Libéraux-Radicaux
(de) FDP.Die Liberalen
(it) PLR.I Liberali Radicali
(rm) PLD.Ils Liberals

Image illustrative de l’article Parti libéral-radical
Logotype officiel.
Présentation
Président

Petra Gössi
Fondation

2009
Fusion de

Parti libéral suisse et Parti radical-démocratique
Siège
Neuengasse 20
Case postale 6136
3001 Berne
Vice-présidents

Andrea Caroni
Christian Lüscher
Philippe Nantermod
Christian Vitta
Christian Wasserfallen
Secrétaire général
Samuel Lanz

Positionnement

Droite[1]
Idéologie

Libéralisme[2]
Radicalisme[3]

Couleurs

Bleu
Site web plr.ch
Présidents de groupe

Assemblée fédérale

Beat Walti

Conseillers fédéraux

Ignazio Cassis
Karin Keller-Sutter
Représentation

Conseillers nationaux[4]

33 / 200


Conseillers aux États[5]

13 / 46


Législatifs cantonaux[6]

543 / 2 609


Exécutifs cantonaux[7]

41 / 154

Législatifs communaux

1 310 / 5 403

Exécutifs communaux[8]

328 / 1 146


Le Parti libéral-radical, appelé également PLR.Les Libéraux-Radicaux, (en allemand : Freisinnig-Demokratische Partei (FDP.Die Liberalen), en italien : Partito liberale-radicale svizzero (PLR. I Liberali), en romanche Partida liberaldemocrata svizra (PLD. Ils Liberals)) est un parti politique suisse qui prône une économie ainsi qu'une politique sociétale libérales.


Il a été fondé en 2009 à la suite de la fusion de deux partis fondateurs de la Suisse moderne, le Parti libéral suisse (PLS) et le Parti radical-démocratique (PRD). Après de multiples baisses régulières de leur force électorale, le PRD et le PLS décident de créer le 25 juin 2005 l'Union libérale radicale[9], devant mettre en synergie les forces de la droite libérale. Après avoir formé un groupe parlementaire commun entre le PRD et le PLS à la suite des élections d'octobre 2007, les sections jeunesses et femmes des deux partis fusionnèrent en 2008. En septembre 2008, les délégués des deux partis respectifs décident de créer officiellement le PLR. Le 27 février 2009, les statuts sont officiellement approuvés et le parti est créé rétroactivement en date du 1er janvier 2009. Il est donc parmi les plus jeunes partis de Suisse mais il est toutefois aussi celui qui hérite de la plus longue histoire politique, avec 160 ans d'engagement.


Il détient 33 sièges au Conseil national sur 200 et 13 au Conseil des États sur 46.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Chronologie




  • 2 Orientation


    • 2.1 Objectifs


    • 2.2 Membres et élus


    • 2.3 Secrétariat général


    • 2.4 Conseillers fédéraux


    • 2.5 Présidents


    • 2.6 Comité directeur




  • 3 Résultats électoraux


    • 3.1 Élections au Conseil national


    • 3.2 Élections au Conseil des États




  • 4 Notes et références


  • 5 Voir aussi


    • 5.1 Bibliographie


    • 5.2 Liens externes







Histoire |


Le PLR a été fondé en 2009, il a pris ses racines dans les différents mouvements qui l’ont précédé. Tout d'abord l'Association nationale[10] créée en 1835, puis l’Association patriotique suisse de 1872 et enfin la fraction parlementaire radicale-démocratique créée en 1878. Le Parti libéral suisse était lui principalement issu de l’Association fédérale, qui réunit les libéraux-conservateurs des cantons réformés en 1875. Les « Libéraux » créèrent en 1893 la fraction libérale-démocratique du Parlement, puis, en 1913, le Parti libéral suisse. Depuis le milieu du XIXe siècle, le PRD et le PLS ont porté l’État fédéral et les autorités cantonales et communales dans toutes les régions de Suisse. Le PRD a été présent au gouvernement fédéral sans interruption depuis 1848 et le PLR y est aujourd’hui encore représenté avec deux sièges sur les sept que compte le gouvernement fédéral. Le PLR plonge donc très profondément ses racines dans l’histoire politique de la Suisse.



Chronologie |



  • 1830 : Le mouvement de la Régénération[11] saisit la Suisse et pousse une dizaine de cantons à réviser leurs constitutions dans un sens libéral, consacrant les principes de la démocratie représentative, de la souveraineté populaire et de l’égalité entre villes et campagnes. On redécouvre l’apport de la République helvétique de 1798. La création de l’Association nationale (Nazionalverein), en 1835, marque une étape dans le processus de démocratisation de la vie politique, et d’unification du pays.

  • 1840 - 1847 : Le libéralisme politique, puissant dans les cantons réformés et les plus industrialisés, se scinde en deux camps : les libéraux, attachés au fédéralisme et aux libertés individuelles et les radicaux, partisans d’un État fédéral fort, de l’affirmation des droits populaires et d’une nation suisse.

  • 1848 : La défaite des sept cantons du Sonderbund ouvre la voie à l’adoption de la Constitution fédérale du 12 septembre 1848, qui pose les fondements de la Suisse moderne. Les Chambres fédérales et le Conseil fédéral sont dominés par les radicaux, qui détiennent aussi le pouvoir dans la plupart des cantons. Hégémonie qui durera jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale.


Le courant libéral-conservateur est représenté au Parlement par vingt à trente élus, provenant des cantons romands (Genève, Vaud, Neuchâtel) et, dans une moindre mesure, de cantons alémaniques (Bâle-Ville, Zurich, Grisons, Saint-Gall, Berne, etc.) Ce courant va perdurer durant la seconde moitié du XIXe siècle, avant de décliner dès 1900, notamment en Suisse alémanique.


  • 1872 : Échec de la première révision constitutionnelle, à cause de l’opposition conjuguée des radicaux romands, notamment vaudois, des libéraux-conservateurs et des conservateurs-catholiques.

Les radicaux suisses, secoués par l’échec, créent l’Association patriotique suisse, en 1873, « un parti de masse, de type primitif » (Roland Ruffieux), qui rassemble la « grande famille radicale », die freisinnige Grossfamilie (Erich Gruner). Ce mouvement populaire, et le ralliement des radicaux romands, permet la révision totale de la Constitution du 19 avril 1874. L’Association patriotique suisse, le Volksverein, compte près de 100 000 membres, de toutes confessions et de tous milieux sociaux. Plus tard, l’élargissement des droits populaires (représentation proportionnelle dans les cantons, puis sur le plan fédéral, en 1919 ; inscription des droits de referendum et d’initiative) favorisera l’émergence des partis modernes.



  • 1875 : Création de l’Association fédérale, de l’Eidgenössische Verein, qui réunit les libéraux-conservateurs des cantons réformés.

  • 1878 : Création de la fraction parlementaire radicale-démocratique. Les liens restent lâches entre les élus nationaux. Ce n’est qu’en 1892 qu’un règlement interne est adopté, mais la maxime de la liberté de vote prévaut sur la discipline de groupe.

  • 1891 : Élection d’un premier catholique-conservateur (Josef Zemp) au Conseil fédéral, jusqu’alors mono-colore. En 1918, un second conservateur-catholique (Jean-Marie Musy) entre au Gouvernement.

  • 1893 : Création de la fraction libérale-démocratique, puis, en 1913, du parti libéral suisse.

  • 1894 : Création à Olten du parti radical-démocratique suisse, suivie, en 1914, de l’ouverture d’un secrétariat national, à Berne. De nombreux éléments libéraux des cantons alémaniques rallient la nouvelle formation. En Suisse romande, la division entre deux courants persiste dans les cantons réformés. Dans les cantons catholiques, libéraux et radicaux font cause commune.

  • 1896 : Création de la fraction « groupe de politique sociale », qui rassemble les éléments démocrates de la Suisse orientale surtout. Suivie, en 1911, de la formation d’un groupe démocrate. Au tournant du siècle, la « grande famille radicale » est ainsi éclatée en trois courants, d’importance inégale.

  • 1917 : Élection au Conseil fédéral du libéral genevois Gustave Ador.

  • 1918 : Premières élections au Conseil national à la proportionnelle : le PRD perd la majorité absolue.

  • 1929 : Élection au Conseil fédéral du premier membre (Rudolf Minger) du parti paysan artisan et bourgeois (PAI-BGB).

  • 1943 : Élection du premier socialiste (Ernst Nobs) au Conseil fédéral.

  • 1959 : Naissance de la « formule magique » pour l’élection du Conseil fédéral (2 PRD-2 PS- 2 PCCS-1 PAI), grâce à l’alliance des socialistes et des conservateurs-chrétiens sociaux.

  • 1961 : Création de l’Union libérale-démocratique de Suisse.

  • 2003 : Formation d’un groupe parlementaire commun radical-libéral à l’Assemblée fédérale.
    • Élection de deux membres de l’UDC au Conseil fédéral. Le PDC perd un siège.


  • 2005 : Création de l’Union Libérale-Radicale (ULR).

  • 2006 : Fusion des Partis radical et libéral dans le canton de Fribourg.

  • 2008 : Fusion des Partis radical et libéral dans les cantons du Valais et de Neuchâtel. La création d’un nouveau parti sera décidée lors de l’Assemblée des délégués du PRD et du PLS du 25 octobre 2008. Radicaux et Libéraux décident de se rassembler dans un nouveau parti au niveau fédéral.

  • 2009 : Le 1er janvier, la naissance du PLR. Les Libéraux-Radicaux est effective. Lors de l’Assemblée des délégués du PRD et du PLS du 28 février, la fusion sera confirmée juridiquement (décision unanime) et le contrat de fusion accepté. Les nouveaux statuts entrent en vigueur rétroactivement au 1er janvier.
    • Élection du conseiller fédéral, Didier Burkhalter.


  • 2010 : Élection du conseiller fédéral, Johann Schneider-Ammann

  • 2011 : Fusion des Partis radical et libéral dans le canton de Genève.

  • 2012 : Fusion des Partis radical et libéral dans le canton de Vaud.



Orientation |


Le PLR est un parti que la presse qualifie régulièrement du centre ou du centre droit.



Objectifs |


Le PLR s'engage pour la liberté de choix et l'initiative individuelle. Il défend ardemment trois thèmes qui sont :



  • plus d'emplois et de meilleure qualité ;

  • la cohésion de notre société et la santé de nos assurances sociales ;

  • un État plus efficace au service des citoyens.



Membres et élus |


Le PLR compte environ 130 000 membres dans tous les cantons et à l’étranger. Avec 16,4 % des voix aux élections fédérales 2015, le PLR est le troisième parti de Suisse.


Le PLR a deux représentants au Conseil fédéral, le gouvernement suisse qui compte sept membres : Johann N. Schneider-Ammann, chef du Département fédéral de l’économie (DFE), et Ignazio Cassis, chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE).


Avec 46 élus, il est, sans alliance, le 3e parti le plus fortement représenté au Parlement.



Secrétariat général |


Le secrétariat général est tout à la fois un état-major et un prestataire de service du parti libéral-radical suisse. Il apporte un soutien au parti et le groupe radical aux chambres fédérales dans la mise en œuvre des objectifs fixés dans les statuts et dans le programme du parti.


Dans le domaine politique, il incombe au secrétariat général les lourdes charges suivantes: détecter de façon précoce les développements sociétaux, politiques, économiques et culturels; élaborer des idées, des papiers de position, des programmes et des supports destinés à toutes instances du parti suisse ; suivi des contacts avec le Conseil fédéral et l’administration ; conduite des campagnes électorales ; élaboration de prises de position et les communications, organisation des assises et autres séminaires.


Le secrétariat général organise des séances et des réunions de tous les organes du parti, notamment le bureau directeur, la conférence des présidents, des délégués suisses, des secrétaires cantonaux ainsi que des comités. Il organise des conférences de presse, constitue des comités d’action, cherche des conférenciers, s’assure des bons contacts avec les médias et informe le public par le biais de ses médias (service de presse, Freisinn, les « pages de politique fédérales », les brochures etc.) et tient le parti informé, en interne, de tout le travail qui y est réalisé. Les collaborateurs du secrétariat général soutiennent les organes du parti et les membres du groupe dans leur travail. Ils veillent à la meilleure intégration dans le parti des femmes, des travailleurs, des fonctionnaires etc.


La centrale garantit la collaboration entre toutes les commissions du parti, notamment du parti et du groupe, des partis cantonaux et des comités. Le secrétariat général représente le parti au sein des comités transpartites (par exemple en cas d’élections populaires), de l’Internationale libérale (IL) et du Parti de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe (ALDE). Il nourrit les contacts avec les organisations qui lui sont proches, comme celle des femmes du PLR, des jeunes libéraux-radicaux, du PLR international, de l’association PLR du service public etc. Le secrétariat général soutient les partis cantonaux lors des élections par une série de services.



Conseillers fédéraux |


Les libéraux-radicaux ont fourni 69 conseillers fédéraux depuis 1848.




  • 1848-1861 : Jonas Furrer

  • 1848-1854 : Ulrich Ochsenbein

  • 1848-1855 : Daniel-Henri Druey

  • 1848-1855 : Josef Munzinger

  • 1848-1857 : Stefano Franscini

  • 1848-1866 : Friedrich Frey-Herosé

  • 1848-1875 : Wilhelm K.Naeff

  • 1855-1863 : Jakob Stämpfli

  • 1855-1867 : Constant Fornerod

  • 1855-1875 : Josef Martin Knüsel

  • 1857-1864 : Giovanni Battista Pioda

  • 1861-1872 : Jakob Dubs

  • 1864-1895 : Karl Schenk

  • 1864-1872 : J-J. Challet-Venel

  • 1867-1891 : Emil Welti

  • 1868-1869 : Victor Ruffy

  • 1870-1875 : Paul Ceresole

  • 1872-1878 : Johann Jakob Scherer

  • 1873-1875 : Eugène Borel

  • 1876-1878 : Joachim Heer

  • 1876-1880 : Fridolin Anderwert

  • 1876-1890 : Bernhard Hammer

  • 1876-1892 : Numa Droz

  • 1879-1883 : Simeon Bavier

  • 1879-1888 : Wilhelm F. Hertenstein

  • 1881-1893 : Louis Ruchonnet

  • 1883-1912 : Adolf Deucher

  • 1889-1902 : Walter Hauser

  • 1891-1897 : Emil Frey

  • 1893-1899 : Adrien Lachenal

  • 1894-1899 : Eugène Ruffy

  • 1895-1919 : Eduard Müller

  • 1897-1911 : Ernst Brenner

  • 1900-1912 : Robert Comtesse

  • 1900-1912 : Marc Ruchet

  • 1903-1917 : Ludwig Forrer

  • 1911-1917 : Arthur Hoffmann

  • 1912-1913 : Louis Perrier

  • 1912-1919 : Camille Decoppet

  • 1912-1935 : Edmund Schulthess

  • 1913-1920 : Felix Calonder

  • 1917-1919 : Gustave Ador (L)

  • 1918-1929 : Robert Haab

  • 1920-1929 : Karl Scheurer

  • 1920-1928 : Ernest Chuard

  • 1920-1934 : Heinrich Häberlin

  • 1929-1944 : Marcel Pilet-Golaz

  • 1930-1938 : Albert Meyer

  • 1934-1940 : Johannes Baumann

  • 1935-1940 : Hermann Obrecht

  • 1939-1943 : Ernst Wetter

  • 1940-1947 : Walther Stampfli

  • 1941-1954 : Karl Kobelt

  • 1945-1961 : Max Petitpierre

  • 1948-1954 : Rodolphe Rubattel

  • 1954-1959 : Hans Streuli

  • 1955-1966 : Paul Chaudet

  • 1961-1969 : Hans Schaffner

  • 1967-1973 : Nello Celio

  • 1970-1978 : Ernst Brugger

  • 1974-1983 : Georges-André Chevallaz

  • 1978-1982 : Fritz Honegger

  • 1983-1984 : Rudolf Friedrich

  • 1984-1998 : Jean-Pascal Delamuraz

  • 1984-1989 : Elisabeth Kopp

  • 1989-2003 : Kaspar Villiger

  • 1998-2009 : Pascal Couchepin

  • 2003-2010 : Hans-Rudolf Merz

  • 2009-2017 : Didier Burkhalter

  • 2010 : Johann Schneider-Ammann

  • depuis 2017 : Ignazio Cassis




Présidents |




Petra Gössi, présidente du PLR depuis le 16 avril 2016.



  • 2009-2012 : Fulvio Pelli, Tessin

  • 2012-2016 : Philipp Müller, Argovie

  • Depuis 2016 : Petra Gössi, Schwytz



Comité directeur |


Membres élus par l’Assemblée des délégués



  • Petra Gössi, conseillère nationale (SZ), présidente du PLR


  • Philippe Nantermod, conseiller national (VS), vice-président


  • Christian Wasserfallen, conseiller national (BE), vice-président


  • Christian Vitta, conseiller d'État (TI), vice-président


  • Christian Lüscher, conseiller national (GE), vice-président


  • Andrea Caroni, conseiller aux États (AR), vice-président


Membres ex officio



  • Beat Walti, conseiller national (ZH), président du groupe

  • Thomas Hefti, conseiller aux États (GL), vice-président du groupe


  • Carmen Walker Späh conseillère d'État (ZH)


  • Andri Silberschmidt (ZH), président des Jeune Libéraux-Radicaux Suisse


  • Beat Schlatter (BE), Président du PLR-Service public


  • Samuel Lanz (BS), secrétaire général


Autres membres



  • Ignazio Cassis, conseiller fédéral


  • Johann Schneider-Ammann, conseiller fédéral


Assesseurs


  • Marcel Dobler (SG)

  • Philippe Miauton (VD)

  • Christian Scheuermeyer (SO)¨

  • Daniela Schneeberger (BL)

  • Ruedi Waser (NW)

  • Rolin Wavre (GE)



Résultats électoraux |



Élections au Conseil national |



























Année
Votes
Députés
Rang
Voix
%

2011
364 704
15,1

30 / 200


3e

2015
413 434
16,4

33 / 200


3e


Élections au Conseil des États |


















Année
Sièges
Rang

2011

11 / 46


2e

2015

13 / 46


1er


Notes et références |




  1. (en) « European Social Survey. Appendix A3 political parties », sur europeansocialsurvey.org, 2012(consulté le 14 septembre 2015).


  2. (en) Wolfram Nordsieck, « Switzerland », sur parties-and-elections.eu (consulté le 14 septembre 2015).


  3. « Valeurs, historique et organisation » [PDF], sur Site du PLR (consulté le 17 avril 2018).


  4. « Répartition des mandats par parti Elections au Conseil national de 1971 à 2011] », sur bfs.admin.ch (consulté le 10 décembre 2016)


  5. « Répartition des mandats par parti 1971 à 2011] », sur bfs.admin.ch (consulté le 10 décembre 2016).


  6. Répartition des mandats, Office fédéral de la statistique, consulté le 10.12.2016


  7. Exécutifs cantonaux, Office fédéral de la statistique, consulté le 10.12.2016


  8. Statistiques des villes suisses - Chapitre politique, Union des villes suisses, consulté le 13.04.2017


  9. « Union radicale-libérale contre la polarisation », sur SWI swissinfo.ch, 25. juin 2005.


  10. « Association nationale suisse » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne..


  11. « Régénération » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne..



Voir aussi |



Bibliographie |




  • (de) Diestchi, E. (1979) 60 Jahre Eidgenössische Politik – Ein Beitrag zur Parteigeschichte des schweizerischen Freisinns. Bern: FDP Schweiz.


  • (de) FDP Schweiz (1994) « Hundert Jahre FDP » Politische Rundschau nos 2+3, 1994.


  • (de) Dettwiler Rustici, M. Berner Lauffeuer. Roman zur Gründung des Schweizer Bundesstaates.Schumacher, J.-J. (1970). Sociologie de l’Union libérale-démocratique suisse (Parti libéral).


  • Olivier Meuwly (2007), L’Unité impossible. Le Parti radical suisse à la Belle Époque, Ed. Attinger,


  • Olivier Meuwly (2010), Les Partis politiques : acteurs de l'histoire suisse, Le Savoir suisse.



Liens externes |



  • Site officiel

  • http://www.politik-stat.ch/nrw2011CH_de.html

  • http://www.ch.ch/abstimmungen_und_wahlen/02186/02329/02332/index.html?lang=de#sprungmarke0_3

  • http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/17/02/blank/key/national_rat/mandatsverteilung.html

  • « Parti libéral » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.

  • « Parti radical démocratique » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.




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