Montigny-le-Bretonneux





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Montigny-le-Bretonneux
La mairie.

Blason de Montigny-le-Bretonneux
Héraldique


Montigny-le-Bretonneux
Logo

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Île-de-France

Département

Yvelines

Arrondissement

Versailles

Canton

Montigny-le-Bretonneux
(bureau centralisateur)

Intercommunalité

Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines

Maire
Mandat
Jean-Luc Ourgaud
2017-2020

Code postal
78180

Code commune
78423
Démographie

Gentilé
Ignymontains, Ignymontaines

Population
municipale
33 123 hab. (2015 en diminution de 0,64 % par rapport à 2010)
Densité 2 843 hab./km2
Géographie

Coordonnées

48° 46′ 16″ nord, 2° 02′ 00″ est

Altitude
Min. 150 m
Max. 171 m

Superficie
11,65 km2
Localisation


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Montigny-le-Bretonneux





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Montigny-le-Bretonneux





Liens

Site web

montigny78.fr


Montigny-le-Bretonneux est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France. Comme les habitants de Montigny-lès-Cormeilles dans le Val-d'Oise, ses habitants se nomment les Ignymontains et Ignymontaines.


Située à 25 km au sud-ouest de Paris, la commune a connu une très forte expansion démographique pendant le dernier quart du XXe siècle du fait de son intégration dans la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines. En effet, de petit village de campagne, Montigny-le-Bretonneux, est devenue, entre autres, le siège de grandes entreprises internationales.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Géologie et relief


    • 1.4 Hydrographie


    • 1.5 Voies de communications et transports


      • 1.5.1 Voies routières


      • 1.5.2 Voies ferroviaires


      • 1.5.3 Transports en commun






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement


    • 2.3 Projets d'aménagements




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Jusqu'au XXe siècle : des marécages et un petit village


    • 4.2 Époque contemporaine




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Rattachements administratifs et électoraux


    • 5.2 Intercommunalité


    • 5.3 Tendances politiques et résultats


    • 5.4 Liste des maires


    • 5.5 Politique environnementale


    • 5.6 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


      • 6.1.1 Évolution démographique


      • 6.1.2 Pyramide des âges




    • 6.2 Enseignement


    • 6.3 Manifestations culturelles et festivités


    • 6.4 Santé


    • 6.5 Sports


    • 6.6 Culture


    • 6.7 Cultes




  • 7 Économie


    • 7.1 Statistiques économiques




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Patrimoine architectural


    • 8.2 Art urbain


    • 8.3 Équipements culturels


    • 8.4 Personnalités liées à la commune


    • 8.5 Héraldique




  • 9 Voir aussi


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


À vol d'oiseau, Montigny-le-Bretonneux est située à 25 km au sud-ouest de Paris[1] et à 9 km[2] au sud-ouest de Versailles.



Communes limitrophes |


La ville fait partie intégrante de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines. Au nord de la zone d'activités du Pas du Lac, la commune est limitrophe avec Bois-d'Arcy et Saint-Cyr-l'École. Au nord-ouest, la partie du territoire faisant partie de la base de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines est limitrophe avec Elancourt, Les Clayes-sous-Bois et Trappes.
La commune est bordée à l'ouest par la ville de Trappes, à l'est par la ville de Guyancourt et dans sa partie sud-est par la ville de Voisins-le-Bretonneux.
Au sud, le ruisseau de Gironde définit la limite avec Magny-les-Hameaux qui est membre du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.























Rose des vents
Élancourt et Les Clayes-sous-Bois

Bois-d'Arcy

Saint-Cyr-l'École
Rose des vents

Trappes

N

Guyancourt

O    Montigny-le-Bretonneux    E

S

Trappes

Magny-les-Hameaux

Voisins-le-Bretonneux



Géologie et relief |


La superficie de la commune est de 1 165 hectares ; son altitude varie de 150 à 171 mètres[3].


Montigny-le-Bretonneux est située sur la continuité du plateau de Saclay. Le col du Manet, unique col d'Île-de-France, est le point culminant de la commune[4].



Hydrographie |


Article détaillé : étang de Saint-Quentin.



Le ruisseau de Gironde avec la forêt de Port-Royal en arrière-plan.


L'étang de Saint-Quentin a été creusé dans les années 1677-1678[5] ; situé sur les territoires des communes de Trappes et de Montigny-le-Bretonneux, il est intégré dans la base de plein air et de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines.


Au sud de la commune, à la frontière avec Magny-les-Hameaux, coule le ruisseau de Gironde qui est l'amont de la Mérantaise, elle-même étant un affluent de l'Yvette.


Le bassin de la Sourderie au sud de la commune est l'un des patrimoines architecturaux de la commune.


Le cours amont disparu de la Bièvre est mis en valeur dans le centre urbain de Saint-Quentin aménagé dans les années 1980. L’ avenue de la source de la Bièvre, le canal urbain, l’église Saint-Quentin des sources et le parvis des sources en sont une évocation.
A l’angle de l’avenue des prés et de la rue des Coquelicots à Montigny-le-Bretonneux près de la voie ferrée de la ligne Paris-Rambouillet, la source est matérialisée symboliquement par une sculpture en forme de disque de 25 mètres de diamètre conçue en 1992 par le sculpteur Nissim Merkado comprenant un dispositif qui puise dans le sous-sol un filet d’eau déversé dans un canal. Ce canal a été modifié de sa conception originelle par la construction des bâtiments de l’université à la place de l’ancien square des sources.
De cette sculpture jusqu’au parc des sources de la Bièvre à Guyancourt, un ensemble de canaux dans le centre de la ville nouvelle correspondrait au cours de l’ancien ruisseau.




Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.




Voies de communications et transports |



Voies routières |


La commune est accessible par les autoroutes ou voies rapides A12, RN 10 et RN 12.



Voies ferroviaires |





Gare de Saint-Quentin-en-Yvelines et sa gare routière côté avenue des Prés.




Vue des quais de la gare.


La commune est desservie par la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines.


Cette gare est située sur la ligne Paris-Montparnasse ↔ Chartres ↔ Le Mans. Elle est desservie par la ligne C du RER, ainsi que par les Transilien N et U.



Transports en commun |


La commune est desservie par :



  • les lignes 401, 414, 415, 419, 444, 460, 461, 463, 464, 465, 466, 467, 468 et 475 du réseau de bus Sqybus ;

  • les lignes 91.06A, 91.06B et 91.10 de la société de transport Albatrans ;

  • les lignes 5, 10, 50 et DF de la société de transport Hourtoule ;

  • les lignes 67 et 501 de la société de transport Transdev Houdan ;

  • la ligne Y Express du réseau de bus Phébus ;

  • la ligne 75 de la société de transport Transdev Ecquevilly ;

  • la ligne Express 16 de la société de transport Transdev Montesson Les Rabaux ;

  • la ligne 503 de la société de transport Transdev Nanterre ;

  • la ligne Express 307 de la société de transport SAVAC ;

  • la ligne Express 78 exploitée par les sociétés de transport Transdev Houdan et Hourtoule ;

  • la ligne Express 4 exploitée par les sociétés de transport Courriers de Seine-et-Oise et Hourtoule ;

  • la ligne Express 100 et 502 exploitée par les sociétés de transport Autocars Tourneux ;

  • la ligne N145 du réseau Noctilien.



Urbanisme |



Morphologie urbaine |


La commune est constituée de neuf quartiers[6]:


  • le Pas du lac, au nord de la commune, où se trouve une base de loisirs : c'est le quartier le plus étendu, qui regroupe la principale zone d'entreprises, notamment avec le siège social français de Mercedes ;



Vue sur l'Espace Saint-Quentin.



  • Saint-Quentin, au nord-est : c'est là que se situent la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines ainsi que les centres commerciaux SQY Ouest et Espace Saint-Quentin, ce quartier est à la fois le centre actuel de la commune et celui de l'ancienne ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines ;

  • les Prés, au centre ;

  • le Plan de Troux, à l'est ;

  • le Village, à l'ouest, plus vieux quartier de la ville, où on retrouve l'église Saint-Martin et l'ancienne mairie[7];




Vue extérieure de la ferme du Manet.



  • la Sourderie nord et la Sourderie sud, au sud-est, où se trouvent l'hôtel de ville et le conservatoire de musique municipal ;

  • le Plan de l'Église ;

  • le Manet, au sud-ouest.


Son territoire est urbanisé sur plus de 50%, les espaces ruraux incluant les espaces forestiers se trouvent essentiellement, d'une part dans le sud vers le Manet et d'autre part vers le nord à l'intérieur de la base de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines.




























Occupation des sols en 2012
Type d'occupation
Pourcentage
Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit
53,82 %
586,68
Espace urbain non construit
20,06 %
205,30
Espace rural
26,12 %
278,63

Source : Iaurif[8]


Logement |




Projets d'aménagements |


La commune participe à l'opération d'intérêt national (OIN) de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, opération dont le territoire s'étend sur 49 communes. L'objectif est de mettre en place un projet d’aménagement adossé à un projet scientifique pour le développement équilibré de ce territoire dans les prochaines décennies[9].



Toponymie |


Le nom de la localité est attesté sous différentes formes : Montegni, Montani[10] et Mintegni en 1204, Montigneium au XIIIe siècle, Montingniacum en 1228[11]Montigniacum et Montiniacum[12] en 1250, Montiniacum le Brestonneux en 1351[12] avant de se fixer sous la forme de Montigny en 1370[13], Montagny le Bristonneux en 1547[14], c'est aussi à cette époque qu'apparaît le déterminant complémentaire le Brestonneux, Montaygny le Brestonneux en 1554[14], Montaygny le Brestonneux en 1674[15], Montigny en 1711[16] avec; au cours des siècles quelques variantes telles que Bertonneux, Montigny le Bertonneux en 1740[15],Montigny en 1750[17], Montigny en 1781[18], Montany en 1785[19], Montigny le Brétonneux en 1800[20] pour arriver à Bretonneux[21].


Montigny, dont l'étymon est généralement donné sous la forme latinisée Montaniacum, est un type toponymique répandu dont la signification exacte ne fait pas l'unanimité.


Le Montani[10] de la langue romane était un « lieu montueux » et le Brestoineux du francique un « marécage ». Montigny est donc étymologiquement « la terre émergeant du marécage ». Montigny-le-Bretonneux et Voisins-le-Bretonneux ont été érigées sur des terres marécageuses, et sont toujours aujourd'hui séparées par les lieux-dits la Grande Île et la Petite Île.


Le déterminant Bretonneux signifie marécageux, boueux, terres émergeant des marécages, mais aussi terres de bretons[22].



Histoire |



Jusqu'au XXe siècle : des marécages et un petit village |


Située à la limite du Parisis et de la région du Hurepoix[23] Montigny-le-Bretonneux a longtemps été un petit village de la région parisienne.


Avant la Révolution, le village faisait partie du domaine du parc du château de Versailles. L'avenue des Quatre-Pavés-du-Roy doit d'ailleurs son nom à quatre pavés marqués d'une fleur de lys délimitant le domaine royal. Ces pavés se retrouvent sur le logo actuel de la commune.



Époque contemporaine |


La commune a été intégrée dans le périmètre de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines lors de sa création dans les années 1970.



Politique et administration |




Plaque des noms des maires dans la mairie.



Rattachements administratifs et électoraux |


Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[24], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Versailles après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription des Yvelines.


Elle faisait partie de 1801 à 1987 du canton de Versailles-Ouest, année où est créé le canton de Montigny-le-Bretonneux dont elle est le chef-lieu avant d'en devenir le bureau centralisateur dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.



Intercommunalité |


Dans le cadre du premier Schéma Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme de la Région Parisienne (SDAURP) est décidé la création d'une ville nouvelle dénommée Saint-Quentin en Yvelines, créée en 1972.


Son aménagement est confié à l'Établissement public d’aménagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY), puis, en 1972, au Syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle (SCAAN) et enfin, en 1984, Syndicat d'agglomération nouvelle (SAN). Sa mission étant achevée, il se transforme en communauté d'agglomération le 1er janvier 2004, la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, dont la commune est toujours membre.



Tendances politiques et résultats |




Montigny-le-Bretonneux est traditionnellement modérée. Au premier tour de l'élection présidentielle de 2007, les électeurs de la commune ont ainsi accordé 30,36 % des suffrages à Nicolas Sarkozy, 27,59 % à Ségolène Royal et 27,55 % à François Bayrou, plaçant au second tour les deux finalistes presque à égalité (14 voix d'avance pour Ségolène Royal)[25].


Michel Laugier, né le 11 juillet 1956 à Aix-en-Provence est diplômé de l'École supérieure de journalisme de Paris. En 2004, il est élu maire à la suite de la démission de Nicolas About. Il est réélu en 2008 à l'issue du premier tour. Membre de l'UDF, puis du MoDem, il est soutenu par l'UMP en 2008. Il est battu aux élections sénatoriales de 2011 où il se présentait sur une liste de l'Alliance centriste. Aux élections présidentielles de 2012, il soutient François Bayrou. Il est réélu aux élections municipales de mars 2014[26]. Élu sénateur en 2017, il est contraint à la démission par la législation relative à la limitation du cumul des mandats[27].


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Yvelines.


Liste des maires |
































































































































































Liste des maires successifs[28]
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1791

Joseph-Nicolas de Champeaux[29]
 

Député du clergé aux États-Généraux par le bailliage de Montfort-l'Amaury
Conseiller et inspecteur général de l'Université impériale puis royale de France
1791
1792
Nicolas Largemain
 
 
1792
1795
Jean-Baptiste Bossu
 
 
1795
1798
Davis Guyon
 
 
1798
1808
Jean-Baptiste Mulot
 
 
1808
1841
Marin Notta
 
 
1841
1878
Vincent Notta
 
 
1878
1884
Louis Guillemain
 
 
1884
1898
Ernest Gilbert
 
 
1898
1922
Georges Gilbert
 
 
1922
1925
Camille Herbette
 
 
1925
1929
François Gaillot
 
 
1929
1940
Marcel Renard
 
 
1940
1944
George Pitra
 
 
1945
1959
Norbert Chedeville
 
 
1959
1977
Pierre Renard
 
 
1977
1984

Nicolas About

UDF-PSD
Médecin
Député des Yvelines (8e circ.) (1978 → 1981)
1984
1984
Jean-Pierre Pluyaud
 
 
1984
2004

Nicolas About

UDF
Médecin
Sénateur des Yvelines (1995 → 2011)
2004
octobre 2017[27]

Michel Laugier

UDF puis AC-UDI

Sénateur des Yvelines (2017 → )
Conseiller départemental de Montigny-le-Bretonneux (2015 → )
Président de la CA Saint-Quentin-en-Yvelines (2014 → 2017)
Démissionnaire à la suite de son élection comme sénateur
2017
octobre 2020[30]
Jean-Luc Ourgaud
 
 



Politique environnementale |


L'étang de Saint-Quentin au nord de la commune comporte une réserve naturelle nationale. Elle présente des atouts écologiques par la présence d'eaux douces stagnantes, de roselières et de zones humides[31].
Cette réserve est également classée Natura 2000 depuis décembre 2003[32].
Enfin, la ville fut récompensée d'une première fleur au Concours des villes et villages fleuris le 14 avril 2015[33].



Jumelages |





Distances entre Montigny-le-Bretonneux et ses villes jumelées.




  • Drapeau de l'Allemagne Kierspe (Allemagne) depuis 1988 (15 octobre), voir Kierspe


  • Drapeau de la Roumanie Lunca (Mureş) (Roumanie) depuis 1989 (17 avril)


  • Drapeau de l'Angleterre Denton (Angleterre) depuis 1992 (5 décembre), voir Denton


  • Drapeau de l'Irlande Wicklow (Irlande) depuis 1993 (19 juin)


  • Drapeau de l'Espagne San Fernando (Cadix) (Espagne) depuis 1997 (6 décembre)


  • Drapeau de l'Italie Marostica (Italie) depuis 2007 (23 juin)[34]



Population et société |



Démographie |



Évolution démographique |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 1].



En 2015, la commune comptait 33 123 habitants[Note 2], en diminution de 0,64 % par rapport à 2010 (Yvelines : +1,32 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
265 277 300 266 301 303 288 308 315



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
300 290 313 338 332 333 246 328 340



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
339 332 275 323 375 402 458 501 532



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2015
543 937 1 550 14 093 31 687 35 216 33 968 33 567 33 123

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)



Histogramme de l'évolution démographique





Même histogramme avec échelle zoomée pour les années jusqu'à 1968





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (8,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :



  • 49,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 23,5 %, 30 à 44 ans = 23,6 %, 45 à 59 ans = 23,8 %, plus de 60 ans = 8,5 %) ;

  • 50,9 % de femmes (0 à 14 ans = 19,3 %, 15 à 29 ans = 23,6 %, 30 à 44 ans = 22,4 %, 45 à 59 ans = 26,3 %, plus de 60 ans = 8,2 %).














































Pyramide des âges à Montigny-le-Bretonneux en 2007 en pourcentage[38]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,1 

90  ans ou +

0,1 



1,2 

75 à 89 ans

2,0 



7,2 

60 à 74 ans

6,1 



23,8 

45 à 59 ans

26,3 



23,6 

30 à 44 ans

22,4 



23,5 

15 à 29 ans

23,6 



20,6 

0 à 14 ans

19,3 














































Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[39]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,3 

90  ans ou +

0,9 



4,3 

75 à 89 ans

6,6 



11,2 

60 à 74 ans

11,6 



20,3 

45 à 59 ans

20,7 



22,1 

30 à 44 ans

21,5 



19,9 

15 à 29 ans

18,9 



21,9 

0 à 14 ans

19,8 




Enseignement |





Institut culturel franco-japonais - École japonaise de Paris.




Entrée du bâtiment abritant l'UFR Sciences de la santé Simone-Veil.


Montigny-le-Bretonneux accueille l'Institut culturel franco-japonais - École japonaise de Paris, école japonaise à l'étranger de l'aire urbaine de Paris.
Elle accueille également sur son territoire une partie du campus de l'UVSQ, notamment le bâtiment de l'UFR des sciences de la santé Simone Veil. Enfin en septembre 2015, l'ESTACA s'installe dans un nouveau bâtiment construit au Pas du Lac, sur l'avenue Paul-Delouvrier.


Lycées:




  • Lycée Descartes de Montigny le Bretonneux (en) (lycée public)

  • Lycée Émilie de Breteuil (lycée public)

  • Collège Lycées Saint François d'Assise (catholique)


  • Institut de formation de Saint-Quentin-en-Yvelines (en) (collège-lycée musulman)



Manifestations culturelles et festivités |


En janvier/février, Montigny et l'agglomération saint-quentinoise accueillent le festival « Polar dans la ville » pendant huit jours : spectacles culturels, courts-métrages, débats, dédicaces, lectures, concerts…


En mai, deux vide-greniers : le principal réunit plusieurs centaines d'exposants sur l'avenue Nicolas-About et le second environ une centaine au château de la communauté d'agglomération.


En juin : la « Cavalcade », un défilé costumé, avait lieu tous les deux ans jusqu'en 2010 principalement avenue Nicolas-About. Ce défilé regroupait les associations locales, mais aussi des villes jumelées. Depuis 2011, cette manifestation est remplacée par « La fête de la ville » se déroulant à la ferme du Manet.


En octobre, est organisée la course à pied « Parcourir Montigny ».


En décembre, chaque année et ce depuis plus de 20 ans, un marché de Noël est organisé à la ferme du Manet[40]. En 2014, le marché a accueilli plus de 20 000 personnes[41].



Santé |


Plusieurs centres médicaux existent dans la ville et un laboratoire d'analyses médicales se situe dans le quartier Saint-Quentin, près de la gare.



Sports |





Vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines.


La commune dispose de nombreux stades ou gymnases, ainsi que d'une piscine (le centre aquatique du Lac), inaugurée en décembre 2002 et le vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines ouvert en janvier 2014.


La commune possède notamment un club de baseball, les Cougars de Montigny-le-Bretonneux, fondé en 1988 et évoluant en Division 1.



Culture |


La commune abrite le MUMED. Une partie de l'établissement est dédiée aux loisirs et aux contenus multimédias, une autre partie est dédiée au musée de l'histoire de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines[42].



Cultes |


Les Ignymontains disposent de trois lieux de culte catholique. Le territoire de la commune dépend du
diocèse de Versailles et couvre deux paroisses dont les lieux de culte sont les églises Saint-Martin et Saint-Pierre au sein de la paroisse de Montigny-Voisins[43] et l'église Saint-Quentin-les-Sources au sein de la paroisse de Montigny-Guyancourt[44].


La commune compte également deux lieux de culte pour les communautés protestantes de l’Église protestante évangélique et de l’Église protestante unie.


Il y a aussi une mosquée, administrée par l'Association des musulmans de Montigny.



Économie |


La commune accueille la direction régionale d’Île-de-France de l’Insee et plusieurs sièges sociaux : l'éditeur de logiciels Auralog, BMW France, Hertz France, le fabricant de verres ophtalmiques Rodenstock, Grand Optical, Banque Populaire Val de France, SKF France, Mercedes-Benz France et Mercedes-Benz Financial Services France depuis 2014.



Statistiques économiques |



  • Entreprises : 2 911 en 2014

  • Emplois : 22 180 en 2014

  • Taux d'activité : 78 % en 2014

  • Taux de chômage : 7,8 % en 2014

  • Le revenu fiscal médian par ménage était de 45 916 € en 2010 ce qui plaçait Montigny-le-Bretonneux au 711e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[45]



Culture locale et patrimoine |



Patrimoine architectural |




Château de Montigny-le-Bretonneux.


Le « château de Montigny-le-Bretonneux », ou château de la Couldre, fut édifié en 1863 par le maire de l'époque Vincent Notta. En 1973, le château est racheté par les communes locales. Après rénovation, la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines y installe ses locaux. La propriété comprend un parc de 13 hectares (libre d'accès) et un château d'une trentaine de pièces.


La « Ferme du Manet » est un vaste domaine regroupant plusieurs bâtiments (grange, bergerie...). Il est supposé que son origine soit liée à celle de la commanderie des Templiers à Élancourt. L'abbaye de Port-Royal acquiert le domaine de 65 hectares au XIIIe siècle. Au fil des siècles, le domaine augmente et l'activité prospère. Après 1790, la ferme change de propriétaire, d'abord Georges-Pierre Verdier, maître la poste aux chevaux de Versailles, puis la famille Notta et la famille Gilbert qui vont progressivement mener la ferme vers l'industrialisation. L'État rachète le terrain en 1970, afin de mettre en place la ville nouvelle. L'exploitation cesse en 1978 et la ferme est laissée à l'abandon durant quatorze ans ; enfin, la commune de Montigny-le-Bretonneux se porte acquéreur dans le but de redonner vie à ce lieu historique. Commencent alors d'importants travaux de rénovation, qui s'achèveront en 1991. La ferme du Manet accueille aujourd'hui un poney club, des séminaires, des célébrations, des expositions, spectacles.




Église Saint-Martin.


Le château du Manet date du début du XXe siècle ; il est construit sur une propriété de 21 hectares en lisière du bois Saint-Benoît, à proximité de la ferme du Manet. Le domaine, qui est classé en zone de protection des espaces boisés, est la propriété de la société Crédit agricole depuis les années 1980.


L'église Saint-Martin est située au cœur du « village ». Elle fut construite vers le XIIIe siècle. Après avoir subi plusieurs guerres et démolitions, l'église est reconstruite en 1610. En août 1812, la charpente du clocher, le plancher, les abat-son du clocher et le système actionnant la cloche furent refaits par un charpentier de Trappes.




L'entrée du fort de Saint-Cyr.


Le fort de Saint-Cyr fut construit après le siège de Paris de 1870 afin d'assurer la protection de la capitale. Sa construction débute en 1875 et s'achève en 1879, année où les premières troupes armées y sont installées. Après la Première Guerre mondiale, le fort sert à l'armée de station météo et de dépôt d’armements. Une école de météorologie occupe les lieux après la Seconde Guerre mondiale. Enfin, le fort sert aujourd'hui d'archives photographiques du ministère de la Culture.


En 1976, l'architecte catalan Ricardo Bofill et son Taller de Arquitectura, mandaté par l'EPA de la Ville Nouvelle en 1969, créé deux ensembles immobiliers (« Les Arcades du Lac » et « Les Templettes ») autour d'un étang artificiel de 4 ha creusé pour l'occasion, le « bassin de la Sourderie », située à cheval sur les communes de Montigny et Voisins-le-Bretonneux. Le quartier des « Arcades du Lac » édifiée dans un style néoclassique, caractéristique à l'architecte se compose de deux parties : l'une s'organise autour de la place d'Andalousie, et l’autre à cheval sur le Bassin, « l’Aqueduc ». L'ensemble regroupe 350 logements dont un tiers de logements sociaux. Il se trouve en face de celui des « Templettes » aménagé en 1984[46].



Art urbain |


Article connexe : Parc des Sources de la Bièvre.

Marta Pan a, en 1992, intégré ses sculptures monumentales, « La Perspective », dans l’architecture des espaces publics situés boulevard Vauban. Les sculptures monumentales de Marta Pan assurent la liaison entre le centre commercial lui-même et l'entrée du parc des Sources de la Bièvre. Trois sculptures composent ce cheminement : les engouffrements, les marches et la Perspective.


Les engouffrements sont situés face à l’église Saint-Quentin-les-Sources de Montigny-le-Bretonneux ; ils sont constitués de trois symboles : le carré, le rond et le triangle qui dans la culture asiatique signifient : l'univers, la terre et la pensée. Puis, avec ses arcs de cercle et ses jeux d’eau situés à Guyancourt, La Perspective relie le quartier commercial de Saint-Quentin avec le Carré urbain dessiné par l’artiste Dani Karavan en 1999 et situé dans le Parc des Sources de la Bièvre. Ce parc des Sources, œuvre de Paul Soun (paysagiste) et Bertrand Lemoine (architecte), est le trait d’union vert entre Montigny et Guyancourt[47].




Éclairage de l'allée d'entrée des "jardins du parc" depuis l'avenue du Centre.


L'entrée des Jardins du parc depuis l'avenue du Centre a fait l'objet, en 2012, d'une mise en lumière sur le thème des pétales de rose.



Équipements culturels |




Entrée des archives départementales des Yvelines.




Le théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines et la place Georges-Pompidou.


La commune accueille, depuis 2005, le nouveau siège des archives départementales des Yvelines dans un bâtiment spécialement conçu, situé dans le quartier du Pas du Lac. Ces archives étaient anciennement situées à Versailles, dans la Grande Écurie du château. Le Musée de la ville de Saint-Quentin-en-Yvelines est situé au cœur de Saint-Quentin-en-Yvelines non loin de la gare et du théâtre.


La ville dispose également sur son territoire du théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines et d'un multiplex UGC de seize salles. La mairie possède en plus une salle de spectacle (la ferme du Manet) et une salle de cinéma (la salle Jacques-Brel, qui sert aussi de salle de spectacle).



Personnalités liées à la commune |




  • Joseph-Nicolas de Champeaux, député du clergé aux États-Généraux de 1789.


  • Éric Judor a habité la commune[48]. Il habite désormais à Dampierre-en-Yvelines.


  • Shy'm est née à Trappes mais a grandi à Montigny le Bretonneux au pas du Lac[réf. nécessaire].


  • Ricardo Bofill réalise les arcades et le viaduc de la ville vers 1970.



Héraldique |







Armes de Montigny-le-Bretonneux


Les armes de Montigny-le-Bretonneux se blasonnent ainsi :


d'argent au mont de sinople terrassé d'azur sommé d'une maison pigeonnée de trois pièces d'argent maçonnée ouverte et ajourée de sable, accompagnée de deux mouchetures d'hermine posées à dextre et à senestre, au chef parti, en un d'azur à trois fleurs de lys d'or posées 2 - 1, en deux aussi d'azur au chevron d'or cantonné de trois molettes du même.





La couleur verte en bas symbolise la vocation agricole de la commune. La couleur bleue sous-jacente rappelle le caractère marécageux de la commune, sans oublier l'étang de Saint-Quentin, la source de la Bièvre ou le ruisseau de Gironde. On note que les mouchetures d'hermine marquent l'ancienne dépendance à la prévôté de Montfort-l'Amaury, une ancienne seigneurie des comtes devenus ducs de Bretagne. La partie supérieure gauche rappelle l'appartenance au domaine royal de la commune. La partie supérieure droite rappelle l'appartenance d'anciens seigneurs de Montigny à la noblesse d'épée[49].



Voir aussi |



Bibliographie |



  • Montigny-le-Bretonneux : histoire d'un village d'Île-de-France, V. R. Belot, 1979, 145 p.

  • Montigny-le-Bretonneux : naissance d'une ville, Cliomédia, 2006, 78 p. (ISBN 2909522253)



Articles connexes |



  • Liste des communes des Yvelines

  • Étang de Saint-Quentin

  • Cougars de Montigny



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Site de la mairie

  • Montigny-le-Bretonneux sur le site de l'Insee



Notes et références |



Notes |





  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
    des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
    que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
    communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
    pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
    par l’Insee pour l'ensemble des communes.



  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.




Références |






  1. « Orthodromie entre "Montigny-le-Bretonneux" et "Paris" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le 22 octobre 2014).




  2. « Orthodromie entre "Montigny-le-Bretonneux" et "Versailles" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le 25 août 2015).



  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].



  4. « Le Col du Manet », sur Site cyclos-cyclotes.org (consulté le 25 août 2015).



  5. Chronologie du dispositif hydraulique mis en place pour alimenter les eaux de Versailles.


  6. http://www.montigny78.fr/decouvrir-montigny/presentation-de-la-ville/


  7. qui sert maintenant de centre des associations d'anciens combattants de la ville


  8. Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 22 octobre 2014


  9. http://www.oin-h238.fr/fr/index.php Oin.


  10. a et barchives Notre Dame de Paris [réf. incomplète].


  11. archives Port Royal[réf. incomplète]


  12. a et bPouillé de Sens[réf. incomplète]


  13. Archives Nationales KK12.


  14. a et bActes divers seigneurs de Voisins[réf. incomplète].


  15. a et bActes seigneurs de Guyancourt [réf. incomplète].


  16. Léopold Delisle [réf. incomplète].


  17. Carte de Cassini [réf. incomplète].


  18. Itinéraires [réf. incomplète].


  19. Carte généralité de Paris [réf. incomplète].


  20. Actes d'église [réf. incomplète].


  21. Dictionnaire étymologique, Topographique, Archéologique, Toponymie, de la Seine-et-Oise (Yvelines), archives départementales des Yvelines [réf. incomplète]


  22. Alain Guyot, Toponymes de notre région, no 4, année 1999 [réf. incomplète].


  23. Victor Belot, Histoire d'un village d'Île-de-France... Montigny-le-Bretonneux, 1979, 145 pages, p. 10, FRBNF 35838493.


  24. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.


  25. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.


  26. Politique : L'UMP prépare les municipales


  27. a et bLaurent Mansart, « Saint-Quentin-en-Yvelines : la succession de Michel Laugier à la présidence est ouverte », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ 25 septembre 2017(lire en ligne).


  28. La liste des maires est affichée à la mairie sur une plaque.


  29. « Joseph, Nicolas de Champeaux (1753 - 1815) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.


  30. « Montigny-le-Bretonneux : l’ex-adjoint à la sécurité succède au maire devenu sénateur », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ 17 octobre 2017(lire en ligne) « Montigny-le-Bretonneux : Ce lundi soir, le conseil municipal s’est réuni pour élire son successeur : Jean-Luc Ourgaud, adjoint chargé de la Sécurité, seul candidat, a été choisi par ses collègues ».



  31. « Zones humides en France, », sur Zones-humides.eaufrance.fr (consulté le 10 janvier 2016)




  32. « Extrait du Journal Officiel du 6 janvier 2004. », sur Legifrance.gouv.fr (consulté le 10 janvier 2016)




  33. « Ignymontain n°147 », sur Site officiel de la mairie (consulté le 10 janvier 2016)



  34. Jumelage avec Marostica


  35. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee


  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.



  38. « Évolution et structure de la population à Montigny-le-Bretonneux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 6 mai 2011)




  39. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du 17 septembre 2011], sur le site de l'Insee (consulté le 6 mai 2011)




  40. « Marché de Noël à Montigny-le-Btx, édition 2014 », sur site officiel de la ville (consulté le 22 novembre 2015)




  41. « Bilan du marché de Noël à Montigny-le-Btx, édition 2014 », sur site officiel de la ville (consulté le 22 novembre 2015)



  42. « La médiathèque renaît en Mumed », sur montigny78.fr (consulté le 17 septembre 2017)


  43. Site de la paroisse de Montigny-Voisins.


  44. Site du groupement paroissial de Montigny Guyancourt.


  45. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le 16 juillet 2017)


  46. Article sur les Arcades du Lac et Les Templettes.


  47. Campus de Saint-Quentin-en-Yvelines Urbamet.


  48. Site d'Éric Judor.


  49. p. 9 du livre de : BELOT, Victor R., "Histoire d'un village d'Ile-de-France... Montigny-le-Bretonneux", 1979, 145 pages, FRBNF 35838493





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