Le Cailar





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Le Cailar
L'église Saint-Étienne.

Blason de Le Cailar
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la FranceFrance

Région

Occitanie

Département

Gard

Arrondissement

Nîmes

Canton

Aigues-Mortes

Intercommunalité

Communauté de communes de Petite Camargue

Maire
Mandat
Joël Téna
2014-2020

Code postal
30740

Code commune
30059
Démographie

Gentilé
Les Cailarois devenus Cailarens

Population
municipale
2 418 hab. (2016 en augmentation de 3,03 % par rapport à 2011)
Densité 81 hab./km2
Géographie

Coordonnées

43° 40′ 37″ nord, 4° 14′ 12″ est

Altitude
Min. 0 m
Max. 41 m

Superficie
30,01 km2
Localisation


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Le Cailar[1] est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Hydrographie et relief


    • 1.3 Climat


    • 1.4 Voies de communication et transports


      • 1.4.1 Axes ferroviaires


      • 1.4.2 Axes routiers


      • 1.4.3 Transports en commun






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement


    • 2.3 Projets d'aménagement




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Préhistoire


    • 4.2 Antiquité


    • 4.3 Moyen Âge


    • 4.4 Impôt proportionnel


    • 4.5 Époque moderne


    • 4.6 Révolution française et Empire


    • 4.7 Époque contemporaine




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Tendances politiques et résultats


    • 5.2 Liste des maires


    • 5.3 Conseil municipal


    • 5.4 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


    • 6.2 Enseignement


    • 6.3 Santé


    • 6.4 Manifestations culturelles et festivités


    • 6.5 Sports


    • 6.6 Médias


    • 6.7 Cultes




  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises de l'agglomération


    • 7.4 Agriculture


    • 7.5 Artisanat et industrie


    • 7.6 Activités de service




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Édifices civils


    • 8.2 Édifices religieux


    • 8.3 Patrimoine culturel


      • 8.3.1 Signalétique


      • 8.3.2 Tauromachie et élevage




    • 8.4 Patrimoine naturel


    • 8.5 Personnalités liées à la commune




  • 9 Héraldique


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Bibliographie


    • 10.2 Articles connexes


    • 10.3 Liens externes




  • 11 Notes et références


    • 11.1 Notes


    • 11.2 Références







Géographie |



Localisation |


Les communes de Vauvert, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aimargues, Codognan et Vergèze sont limitrophes de la commune du Cailar.



Hydrographie et relief |




Climat |




Voies de communication et transports |



Axes ferroviaires |


Article détaillé : Gare du Cailar.



Axes routiers |




Transports en commun |




Urbanisme |


Le Cailar est l'une des 79 communes membres du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) du sud-Gard et fait également partie des 51 communes du pays Vidourle-Camargue.



Morphologie urbaine |




Logement |




Projets d'aménagement |




Toponymie |


Cailar, du roman Caylar, Caislar, Caslar, Castlar, du bas latin Caslarium, Castlarium, du latin castellare, château-fort[2].


Témoignage de la vie médiévale, ce nom de lieu rappelle la présence d'un château fort. Le latin Castellum est présent dans toute la France, comme il est présent dans notre département, il a donné avec le suffixe -are : Le Cailar (Castellare en 1018). Le Castellus de 675 confirme la réponse : il s'agit ici d'un château.


Ses habitants s'appellent les Cailarois mais devenus les Cailarens et Cailarenes plus proche de la Lèngo Nostro.



Histoire |



Préhistoire |


Il existe un site de fouilles, dit des Clochettes, où a été retrouvé du matériel préhistorique. Dans le passé, le village était plus proche des rives du Rhône (dont le lit a varié avec les siècles) et était quasiment au bord de la mer, à laquelle on accédait par une lagune aujourd’hui ensablée. Pour mémoire, il en est distant aujourd'hui d'une quinzaine de kilomètres à vol d'oiseau, avec l’ensablement, le littoral a pris sur la mer qui s’est donc éloignée. Cet emplacement privilégié, ajouté à sa situation au confluent de deux cours d'eau drainant l’arrière-pays, le Vistre et le Rhôny, en fait un endroit stratégique qui suscitera très tôt un intérêt pour les populations autochtones.



Antiquité |


Le site d'habitation du Cailar est très ancien. Depuis 2003, il s'y déroule des fouilles archéologiques mettant au jour de nombreux vestiges d'influences grecque et celtique, remarquables par leur singularité, datant du Ve au IIIe siècle av. J.-C.. Dans l'antiquité, il subira l'influence grecque et rhodienne jusqu'à devenir un petit comptoir, c’est-à-dire un port destiné à la pêche et aux échanges commerciaux qui comptera près de 5 000 habitants contre 2418 en 2016, d'où l'importance quantitative des vestiges retrouvés.


Peuplé vers le IIIe siècle av. J.-C. par les Volques Arécomiques, une tribu gauloise, il subira ensuite l'influence latine. On ne compte plus les bornes et traces de présence romaine et gallo-romaine dans cette région traversée à cette époque par la Via Domitia, une des principales voies romaines de circulation.



Moyen Âge |


Au Moyen Âge, le village, proche de la célèbre abbaye de Psalmodie et situé non loin de Saint-Gilles, un des hauts lieux religieux de l'époque en France où est né le pape Clément IV, se trouve sur une route régulièrement empruntée par les pèlerins qui se rendent à Saint-Jacques-de-Compostelle (la via Tolosana). C'est donc un site notable dont on trouve la trace dans des documents du VIIe siècle[Note 1].


La région subira également à cette époque l'influence des Sarrazins, venus du sud, qui y font des raids réguliers pendant plus de cent ans. À l'opposé, elle connaîtra les conséquences des remous provoqués par Simon de Montfort en 1209 durant la croisade des albigeois qui voit les seigneurs du nord prendre l'ascendant sur ceux du sud. Cette campagne militaire signe le déclin de la Maison Trencavel, dont dépend alors la vicomté de Nîmes, dont dépend lui-même Le Cailar.


En 1212, les Bermond d'Anduze en prennent le contrôle et ajoutent à leurs titres celui de baron du Cailar. En 1382, le château primitif est incendié par des Tuchins[Note 2] venant de Beaucaire. Après diverses péripéties, le fief passera au XVIe siècle, par le jeu des alliances, aux Baschy d’Aubais.



Impôt proportionnel |


C'est dans ce village, en 1158, qu'a été pour la première fois appliqué au Moyen Âge l'impôt proportionnel qui remplacera peu à peu dans toute la France l'impôt dit "par feu"[3].



Époque moderne |


Le château féodal qui était probablement situé entre les arènes et le cimetière actuel, sur le point culminant du village, est détruit définitivement par le prince de Condé en 1628 durant les guerres de religion.



Révolution française et Empire |


À la Révolution, il ne reste déjà plus que des traces du château féodal. Seul le nom de celui-ci[Note 3] gardera le souvenir de cette importante place forte.



Époque contemporaine |


Après la Première Guerre mondiale suivra une période de déclin relatif qui verra la population du village tomber à environ 1 000 personnes dans les années 1960, notamment à cause des grandes crises viticoles de la fin du XIXe et du début du XXe, pour remonter depuis grâce à un nouvel élan économique, dû notamment à l'essor du tourisme de masse.


En 2009, le village commémore le 150e anniversaire de Mirèio[4].



Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |




Liste des maires |




















































Liste des maires depuis la Libération
Période
Identité
Étiquette
Qualité
 
 
Paul Lamy

PCF
Conseiller général du canton de Vauvert (1945-1951)
1967
1980
René Clavel
DVD
 
1980
mars 2001
Pierre Bergé-Lefranc
 
Magistrat
mars 2001
avril 2014
Reine Bouvier

DVG
Commerçante
avril 2014
En cours
Joel Téna

DVD[5]
 Directeur d'établissement bancaire

Les données manquantes sont à compléter.



Conseil municipal |




Jumelages |




Population et société |



Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[7].



En 2016, la commune comptait 2 418 habitants[Note 4], en augmentation de 3,03 % par rapport à 2011 (Gard : +3,29 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
940 987 1 048 1 085 1 101 1 148 1 193 1 183 1 255



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 295 1 249 1 335 1 231 1 257 1 302 1 289 1 306 1 344



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 516 1 529 1 545 1 411 1 418 1 309 1 321 1 068 1 156



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 109 1 158 1 222 1 412 1 929 2 311 2 369 2 347 2 418

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[9].)



Histogramme de l'évolution démographique





Enseignement |




Santé |




Manifestations culturelles et festivités |




Sports |




Médias |




Cultes |




Économie |



Revenus de la population et fiscalité |




Emploi |




Entreprises de l'agglomération |




Agriculture |




Artisanat et industrie |




Activités de service |




Culture locale et patrimoine |



Édifices civils |




Le futur mausolée de Jean Lafont, aux couleurs de la devise.



  • La mairie est installée dans un bâtiment du XVIIIe siècle, ancienne caserne des dragons du Roi. Elle fut construite au début du XVIIIe, à la suite de la guerre des Camisards pour aider à pacifier la région.

  • Tour de l'horloge coiffée d'une toiture.

  • Tour d'Anglas : à l'extérieur du village, on aperçoit la Tour d'Anglas, ancienne tour d'octroi en direction de la mer, datant du XIVe siècle qui est très bien restaurée. Elle doit son nom au comte François-Antoine de Boissy d'Anglas, noble d'origine protestante et figure de la Révolution française.

  • Mas Les Hourtès : ancienne propriété de Marie-Laure de Noailles, qui comporte de nombreux éléments décoratifs remarquables, dont, entre autres, une verrière réalisée par le sculpteur César Baldaccini et des tapisseries art and craft signées William Morris. C'est la résidence de l'ancien manadier Jean Lafont, dont on peut voir, non loin de là, le mausolée, sculpture de l'artiste Jean-Michel Othoniel à qui l'on doit l'entrée de la station de métro parisienne Palais-Royal-Musée du Louvre.

  • Tombes de taureaux : Ce sont des taureaux cocardiers qui y reposent, la population du village ayant décidé d’honorer leurs qualités de bravoure exceptionnelles lors de leurs participations aux courses camarguaises. La plus visible est celle du taureau Le Sanglier, de la manade Fernand Granon (années 1920-30), qui trône à l’entrée du village. Plus discrète, la tombe du taureau Le Cosaque, de la manade Lafont (années 1950), se trouve dans les prés.



Édifices religieux |



  • Église romane dont certaines parties datent des XIe et XVIIe siècles, l'église Saint-Étienne du Cailar a en effet été incendiée plusieurs fois, notamment pendant la guerre des camisards, en 1705 par le chef camisard Catinat, puis reconstruite. Saint-Louis s'y est probablement recueilli en 1248 avant son départ vers le port d'Aigues-Mortes et la 7e croisade. Elle est classée à l'inventaire des monuments historiques.

  • Temple.



Patrimoine culturel |



Signalétique |


En 1996, le village s'est doté d'une signalétique hors du commun réalisée par l'artiste François Boisrond. Mise en place par les commerçants du village grâce au programme de la Fondation de France, elle indique l'ensemble des commerces, artisanats et lieux publics du village. Cette opération est une initiative du Cercle d'Art Contemporain du Cailar. Celui-ci présente depuis 1988 des créations relatives à l'identité culturelle du village dont l’élément principal est le taureau de Camargue. Fondé par Jean-Marie Bénézet, cette association a exposé plus de 140 artistes contemporains, certains émergents, d’autres de notoriété internationale tels que Jean Le Gac, Valery Koshlyakov, Claude Viallat, Hervé Di Rosa, Robert Combas, Gilles Aillaud, Jean-Michel Alberola, Pentti Sammallahti, Jean-Paul Chambas ou Lucio Fanti.



Tauromachie et élevage |


Article détaillé : Arènes du Cailar.

Le village dispose d'arènes communales, les Arènes du Cailar. Elles sont destinées aux novilladas et aux courses camarguaises. Elles ont été inscrites aux Monuments historiques le 18 janvier 1993[10],[11]. Elles ont une capacité de plus de 1 100 places[12] et ont été construites entre 1900 et 1925 selon la fiche du patrimoine[13].


Outre les monuments, le site est particulièrement remarquable par sa situation exceptionnelle en petite Camargue et l'aspect préservé de ses alentours, partagés entre les prairies où paissent les taureaux et chevaux sauvages et les marécages (marais de la Souteyranne par exemple) à la flore et faune très diversifiée. C’est au Cailar que sont apparues, au XIXe siècle, les premières manades (troupeaux d’élevage en semi liberté) de taureaux exclusivement réservés à la course camarguaise. Cette pratique s’est développée en raison de la survivance d’un droit féodal, le « droit d’esplèche » : une jouissance à titre gracieux des terres non cultivées, par les habitants du village, pour y faire paître les troupeaux. Au début des années 1960, on compte déjà au Cailar les manades Aubanel, Blatière, Lafont et Raynaud[14]. C’est aujourd'hui encore le village qui comporte le plus grand nombre de ces élevages prestigieux, d'où son surnom de Capitale de la Petite Camargue.



Patrimoine naturel |




Personnalités liées à la commune |




  • Abdias Maurel (mort en 1705), chef camisard, né au Cailar.


  • François Mingaud (1771-1847), officier et joueur de billard français, né au Cailar.


  • Jean Bernard Jauréguiberry (1815-1887), officier de marine et homme politique, propriétaire du mas de Jauréguiberry au Cailar[15].


  • Sully-André Peyre (1890-1961), écrivain, né au Cailar.


  • Jean Jourdan (1908-1986), militant anarchiste, mort au Cailar, où il avait créé sa guinguette.


  • Pierre Combescot (1940-2017), écrivain et journaliste français y a vécu et y est inhumé.


  • Xavier Ruas (1943-), raseteur, vivant au Cailar.


  • Michel Falguières (1948-2018), écrivain français, résidant au Cailar.


  • Frédéric Lopez (1949-), raseteur, né au Cailar.


  • Sophie Calle (1953-), artiste plasticienne, vivant au Cailar.


  • Alain Guyard (1966-), philosophe, ayant vécu au Cailar.


  • Loïc Auzolle (1985-), raseteur, vainqueur du Trophée des As, né au Cailar.



Héraldique |


Article connexe : armorial des communes du Gard.






Blason du Cailar


Les armes du Cailar[Note 5] se blasonnent ainsi :


D'argent au saule de sinople[16].






Voir aussi |



Bibliographie |



  • Robert Bérard (dir.), Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, 2003(ISBN 2221092465)

  • Frédéric Saumade, Des sauvages en occident, les cultures tauromachiques en Camargue et en Andalousie, Paris, Mission du patrimoine ethnologique, 1994-1995, 275 p. (ISBN 2-735105-87-3)

  • Jean-Baptiste Maudet, Terres de taureaux - Les jeux taurins de l'Europe à l'Amérique, Madrid, Casa de Velasquez, 2010, 512 p. (ISBN 8496820378)

  • Jean-Baptiste Maudet, Terres de taureaux - Les jeux taurins de l'Europe à l'Amérique, Madrid, Casa de Velasquez, 2010, 512 p. (ISBN 8496820378), Annexe CD-Rom



Articles connexes |



  • Gare du Cailar

  • Communauté de communes de Petite-Camargue

  • Liste des communes du Gard



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • « Site Officiel de la Communauté de communes de Petite Camargue », sur www.petitecamargue.fr (consulté le 24 février 2015)

  • « Le Cailar sur le site de l'Institut géographique national » [archive du 23 février 2011], sur wikiwix.com (consulté le 24 février 2015)

  • « Insee - Chiffres clés : Le Cailar », sur www.insee.fr (consulté le 24 février 2015)




Notes et références |



Notes |




  1. Viguerie d'Aigues-Mortes, diocèse de Nîmes, archiprêtré d'Aimargues


  2. les Tuchins sont des paysans révoltés contre le pouvoir central.


  3. De castellum = château, transformé en Cailus, Cayla, Chayla, Quila en occitan et enfin Cailar


  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.


  5. Le blason figuré sur les documents émanant de la mairie figure un saule non "pleureur". Le blasonnement laisse toute liberté quant à l'espèce.



Références |




  1. Castellus (Duchesne, Franc. Script. I, 850) 675



  2. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, 1979, 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 420, t.1



  3. Page 247 http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1994_num_138_1_15354


  4. Michel Falguières, « Le Cailar a fêté le 150e anniversaire de l'œuvre de Frédéric Mistral : « Mireio » », Bulletin de liaison de Litoraria, no 10,‎ janvier 2009


  5. https://www.lemonde.fr/languedoc-roussillon-midi-pyrenees/gard,30/le-cailar,30059/


  6. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  7. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  9. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  10. « Arènes du Cailar sur la base mérimée », sur www.culture.gouv.fr (consulté le 24 février 2015)


  11. « Fiche sur patrimoine de France », sur patrimoine-de-france.com (consulté le 24 février 2015)


  12. Maudet 2010, annexe, p. 85


  13. « Descriptif patrimoine de France », sur patrimoine-de-france.com (consulté le 24 février 2015)


  14. André Pastré, « Le char de monsieur Lafont », Bulletin de liaison de Litoraria, no 15,‎ septembre 2012


  15. Jean-Pierre Granier, « L'Amiral Jean-Bernard Jauréguiberry », Bulletin de liaison de Litoraria, no 10,‎ novembre 2009


  16. « Blason de la commune »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur www.labanquedublason2.com (consulté le 24 février 2015)




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