Aigues-Vives (Gard)





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Aigues-Vives (Gard)
La mairie d'Aigues-Vives.

Blason de Aigues-Vives
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la FranceFrance

Région

Occitanie

Département

Gard

Arrondissement

Nîmes

Canton

Vauvert

Intercommunalité

Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle

Maire
Mandat
Jacky Rey
2014-2020

Code postal
30670

Code commune
30004
Démographie

Gentilé
Aigues-vivois

Population
municipale
3 271 hab. (2016 en augmentation de 9,07 % par rapport à 2011)
Densité 273 hab./km2
Géographie

Coordonnées

43° 44′ 25″ nord, 4° 10′ 52″ est

Altitude
Min. 10 m
Max. 87 m

Superficie
12 km2
Localisation


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Aigues-Vives





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Aigues-Vives





Liens

Site web

aigues-vives.fr


Aigues-Vives est une commune française située en Vaunage, dans le département du Gard en région Occitanie.





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Géologie et relief


    • 1.3 Hydrographie


    • 1.4 Climat


    • 1.5 Voies de communication et transports


      • 1.5.1 Axes ferroviaires


      • 1.5.2 Axes routiers


      • 1.5.3 Transports en commun






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement


    • 2.3 Projets d'aménagement




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Moyen Âge


    • 4.2 Époque moderne


    • 4.3 Révolution française et Empire


    • 4.4 Époque contemporaine




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Administration municipale


    • 5.2 Tendances politiques et résultats


    • 5.3 Liste des maires


    • 5.4 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


      • 6.1.1 Évolution démographique


      • 6.1.2 Pyramide des âges




    • 6.2 Enseignement


    • 6.3 Santé


    • 6.4 Manifestations culturelles et festivités


    • 6.5 Sports


    • 6.6 Médias


    • 6.7 Cultes




  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises et commerces




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


      • 8.1.1 Lieux et monuments remarquables


      • 8.1.2 Autres lieux et monuments




    • 8.2 Patrimoine culturel


    • 8.3 Patrimoine naturel


    • 8.4 Appellation d'origine contrôlée


    • 8.5 Personnalités liées à la commune


    • 8.6 Héraldique




  • 9 Voir aussi


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références


      • 10.2.1 Insee


      • 10.2.2 Autres sources









Géographie |



Localisation |


Les communes de Aubais, Congénies, Calvisson, Mus, Codognan, Aimargues et Gallargues-Le-Montueux sont limitrophes à la commune d'Aigues-Vives.



Géologie et relief |


La superficie de la commune est de 1 200 hectares ; son altitude varie de 10 à 87 mètres[1].



Hydrographie |




Climat |




Voies de communication et transports |



Axes ferroviaires |


La gare d'Aigues-Vives est une gare ferroviaire française fermée de la ligne de Tarascon à Sète-Ville. Elle est mise en service en février 1845 par la Compagnie fermière du chemin de fer de Montpellier à Nîmes, peu après la mise en service de la ligne. Elle deviendra ensuite une gare de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM). Elle est fermée, au service du fret en 2009 et au service des voyageurs en 2011, par la Société nationale des chemins de fer français (SNCF).



Axes routiers |




Transports en commun |




Urbanisme |


Aigues-Vives est l'une des 79 communes membres du schéma de cohérence territoriale (SCOT) du sud du Gard et fait également partie des 34 communes adhérentes au Pays Vidourle-Camargue[2].



Morphologie urbaine |




Logement |


En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 300, alors qu'il était de 1 129 en 1999[I 1].


Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 7,1 % des résidences secondaires et 5,0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 67,5 % des appartements[I 2].


La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 73,4 %, en augmentation par rapport à 1999 (66,1 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) n'était que de 11,7 %[I 3].



Projets d'aménagement |




Toponymie |


La localité est mentionnée sous le nom de Sanctus-Petrus de Aquaviva en 1099[3], sous les formes Aqua viva en 1125, Aquae Vivae en 1322[4].


Provençal Aigo-Vivo, du roman Aygas-vivas, Aigasvivas, du bas latin Aqua viva, Aquæ vivæ[5], « eau vive »[6].


Il y a quatre communes qui font référence à ce nom en France; mais aucune ne paraît d'origine romaine. C'est un vocable du haut Moyen- Age[7].


Ce toponyme rappelle l'existence d'eau et fontaines au débit assuré dans une commune très proche, Vergèze, une Source Perrier, de renommée mondiale.



Histoire |



Moyen Âge |


C'est autour d'une bourgade du nom de Pataran, Pataranum en 1434[3], qu'Aigues-Vives fut construit. En effet, au VIIe siècle, les Sarrasins ravagent et détruisent cette bourgade. La population se réfugia alors sur une colline proche, où se trouvait une fontaine d'eaux vives et abondantes. C'est autour de cette bourgade (ou villa) et de cette fontaine que les émigrés de Pataran bâtirent leurs demeures et la nouvelle agglomération prit le nom d'Aigues-Vives (Ayga-Viva). Ils choisirent ce nom en accord avec la source qui les avait décidés à se fixer à cet endroit. Aujourd'hui, on peut voir les ruines de Pataran non loin d'Aigues-Vives.


Pons de Montlaur, à la veille de son départ en croisade, fait une donation considérable à la Maison du Temple de Saint-Gilles. Le 6 juin 1248, il lui donne ses castra de Générac et d'Aigues-Vives, avec leurs tènements et leurs droits seigneuriaux[8].



Époque moderne |




Révolution française et Empire |




Époque contemporaine |




Politique et administration |



Administration municipale |


Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[9].



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Gard.



Liste des maires |









































































































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité

Les données manquantes sont à compléter.
1892
1907
Pierre Armand
 
 
1907
1912
Hyppolyte Pattus
 
 
1912
1929
Albert Fournet
 
 
1929
1935
Aimé Bonfils
 
 
1935
?
Paul Pattus
 
 
1945
1947
Georges Mailhan
 
 
1947
1959
Paul Pattus
 
 
1959
1965
Edmond Gaillard
 
 
1965
1977
Simone Mouyren

PCF
 
1977
1983
Jean-Claude Couderc

DVD
 
1989
1995
Simone Mouyren

PCF
 
1995
2001

Huguette Bouchardeau

PSU
 
2001
En cours
Jacky Rey

DVG
Vice-président de la communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle



Jumelages |




Population et société |



Démographie |



Évolution démographique |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[11].



En 2016, la commune comptait 3 271 habitants[Note 1], en augmentation de 9,07 % par rapport à 2011 (Gard : +3,29 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 414 1 520 1 637 1 740 1 687 1 669 1 618 1 601 1 619



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 686 1 735 1 837 1 898 1 798 1 606 1 816 1 854 1 862



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 901 1 832 1 763 1 460 1 401 1 459 1 423 1 225 1 366



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
1 367 1 506 1 611 1 908 2 101 2 331 2 550 2 990 3 211



























2016 - - - - - - - -
3 271 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est la suivante :



  • 48,2 % d’hommes (0-14 ans = 19,4 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 22,5 %, 45 à 59 ans = 22,2 %, plus de 60 ans = 20,4 %)

  • 51,8 % de femmes (0-19 ans = 17,7 %, 15 à 29 ans = 13 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 19,7 %, plus de 60 ans = 27,4 %)


À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine est supérieure à la population masculine. Le taux (51,8 %) est de l'ordre de grandeur du taux national (51,6 %).
















































Pyramide des âges à Aigues-Vives en 2007 en pourcentage[14].
Hommes Classe d’âge Femmes


0,6 

90  ans ou +

1,8 



7,1 

75 à 89 ans

11,8 



12,7 

60 à 74 ans

13,8 



22,2 

45 à 59 ans

19,7 



22,5 

30 à 44 ans

22,2 



15,4 

15 à 29 ans

13,0 



19,4 

0 à 14 ans

17,7 















































Pyramide des âges du département du Gard en 2007 en pourcentage[14].
Hommes Classe d’âge Femmes


0,4 

90  ans ou +

1,1 



6,9 

75 à 89 ans

9,9 



14,6 

60 à 74 ans

15,1 



21,3 

45 à 59 ans

20,9 



19,9 

30 à 44 ans

19,8 



17,7 

15 à 29 ans

16,1 



19,1 

0 à 14 ans

17,0 




Enseignement |


Aigues-Vives est située dans l'académie de Montpellier.


En 2014-2015, elle administre une école maternelle regroupant 131 élèves[15] et une école élémentaire regroupant 204 élèves[16].


Les autres services de la petite enfance (crèche, cantine, accueil de loisirs) sont à proximité et sont gérés par la communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle.



Santé |




Manifestations culturelles et festivités |


Deux Festivals majeurs viennent ponctuer l'été : Le Festival du Film court qui se déroule dans les arènes (en juillet) et le festival de musique Classique organisé par l"association l'AVEM en Août.




Sports |




Médias |


Depuis 2004, les habitants de la commune disposent d'un « journal privé indépendant de la mairie »[17].



Cultes |



Au Temple : chaque dernier dimanche du mois



Économie |



Revenus de la population et fiscalité |


En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 32 289 €, ce qui plaçait Aigues-Vives au 11 928e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[18].


En 2009, 47,4 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].



Emploi |


En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 769 personnes, parmi lesquelles on comptait 73,1 % d'actifs dont 65,2 % ayant un emploi et 7,9 % de chômeurs[I 5].


On comptait 764 emplois dans la zone d'emploi, contre 712 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 165, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 2] est de 65,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement deux emplois pour trois habitants actifs[I 6].



Entreprises et commerces |


Au 31 décembre 2010, Aigues-Vives comptait 272 établissements : 33 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 22 dans l'industrie, 42 dans la construction, 140 dans le commerce-transports-services divers et 35 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].


En 2011, 31 entreprises ont été créées à Aigues-Vives[I 8], dont 17 par des autoentrepreneurs[I 9].



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |




Statue en bronze d'Émile Jamais.



Lieux et monuments remarquables |


La commune contient un lieu « classé » à l'inventaire des monuments historiques[19], deux bâtiments[20] et trois monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[21] :



  • les vestiges archéologiques des Haut-Empire, Bas-Empire, Haut Moyen Âge et Moyen Âge, classés depuis le 18 mai 1973[22]. Cette parcelle est située au lieu-dit « Cimetière de Pataran » ;

  • la « tuilerie, briqueterie Jamais, puis Dumas »[23] ;

  • la « distillerie de vin et de marc Prades, puis école, puis Finedoc »[24] ;

  • le « monument aux morts de la guerre de 1914-1918 »[25] ;

  • la « fontaine monumentale » en fonte de fer dit le Griffe[26] ;

  • le « monument d'Émile Jamais »[27] .



Autres lieux et monuments |


On peut également citer de nombreuses maisons vigneronnes aux superbes portails, la maison natale de Gaston Doumergue, les tombes de Gaston Doumergue, Jean Bosc, Émile Jamais, des mas remarquables, un temple (ancienne église et sa tour particulièrement penchée) et l'église paroissiale du XIXe siècle dont le clocher en béton date du XXe siècle.



Patrimoine culturel |




Patrimoine naturel |




Appellation d'origine contrôlée |


La commune fait partie de la zone de production de l'Olive de Nîmes AOC.



Personnalités liées à la commune |



  • Jacques Mirabaud (1706-1776), épicier droguiste. De religion protestante, il doit quitter Aigues-Vives en 1731 et se réfugie à Genève. Son petit-fils, Jacques Mirabaud (1784-1864) sera à l'origine d'une dynastie de banquiers.


  • Émile Jamais (1856-1893), Avocat , député, sous secrétaire d'état aux colonies (1892), né et mort à Aigues-Vives. Une brillante carrière politique s'ouvrait devant le jeune tribun lorsque la mort vint l'enlever à l'affection des siens à l'âge de trente -neuf ans. Son pays natal lui fit des obsèques solennelles, plus de 20.000 personnes étaient venues de toutes les localités du Gard et de la région pour lui dire un dernier adieu .


  • Gaston Doumergue (1863-1937), président de la République de 1924 à 1931, né et mort à Aigues-Vives. Il a légué sa maison à la commune , elle est classée maison des illustres.,Une exposition permanente lui est consacrée dans son ancienne demeure, à côté de la médiathèque.


  • Sully-André Peyre (1890-1961), poète et homme de lettres provençal, né au cailar et mort à Aigues-Vives. Il créa sa revue "Marsya" en 1921, il l'anime avec son épouse et quelques poètes, provençaux en majorité, y publient leurs oeuvres comme Calendal-Vianès, Fanfartello ou jorgi reboul..Sa maison, baptisée" Mûrevigne" se situe dans le quartier de Garrigouille.


  • Robert Calle (1920-2015), cancérologue, célèbre collectionneur d'art contemporain, et ancien directeur de musée, né à Aigues-Vives


  • Jean Bosc (1924-1973), dessinateur humoriste, né à Nîmes...Enfant du pays, sa famille réside dans un mas à Garrigouille. Il s'engage comme volontaire dans la guerre d'Indochine et en revient marqué à vie. C'est Paris Match qui publie ses premiers dessins (8) et se sera le début d'une collaboration d'une vingtaine d'années et de la réussite.


  • Patrick Castro (1948-2013), raseteur, né à Aigues-Vives

  • Olivier Douard, sociologue, directeur d'études au Leris (Montpellier), fondateur et longtemps rédacteur en chef de la revue scientifique Agora débats jeunesses aux Presses de Sciences Po, candidat aux élections municipales de 2014 à Aigues-Vives[28] et aux élections départementales de 2015 pour le canton de Vauvert[29].

  • Antoine Rousseau, chercheur en mathématiques[30],[31], candidat aux élections municipales de 2014 à Aigues-Vives[28].



Héraldique |


Article connexe : Armorial des communes du Gard.








Blason d'Aigues-Vives


Les armes d'Aigues-Vives se blasonnent ainsi :


D'azur à la source d'argent jaillissant d'un amas de rochers au naturel mouvant des flancs et herbés de sinople, et se jetant dans une rivière aussi d'argent mouvant de la pointe, le tout surmonté de l'inscription AQVA VIVA en lettres capitales d'or posées en fasce voutée[32].






Voir aussi |



Bibliographie |




Articles connexes |


  • Liste des communes du Gard


Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • « Site de la mairie », sur www.aigues-vives.fr (consulté le 4 juin 2015)

  • « Site du Pays Vidourle Camargue », sur www.pays-vidourlecamargue.fr (consulté le 4 juin 2015)

  • « Insee - Chiffres clés : Aigues-Vives », sur www.insee.fr (consulté le 7 février 2015)




Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.


  2. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.



Références |



Insee |


  • Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]



  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.


  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.


  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.


  4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.


  5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.


  6. EMP T5 - Emploi et activité.


  7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.


  8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.


  9. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.



Autres sources |




  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].



  2. « page d'accueil », sur le site du schéma de cohérence territoriale (SCOT) du sud du Gard (consulté le 7 février 2015).



  3. a et bEugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, 1868, XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 4 et 159.


  4. Dans le cartulaire de l'abbaye de Psalmodie.



  5. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, 1979, 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 59, t. 1.



  6. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 292.


  7. Carte archéologique de la Gaule romaine - Parties 8 à 10 - Page 219.


  8. Damien Carraz (préf. Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales / 17 », 2005(ISBN 978-2-7297-0781-1, lire en ligne), p. 204 ; « Les Templiers d'Aigues-Vives », sur www.templiers.net (consulté le 7 février 2015)


  9. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.


  10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  11. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  14. a et b« le site de l'Insee », sur www.recensement-2007.insee.fr (consulté le 7 février 2015)



  15. « Gard (30) > Aigues-Vives > École - École maternelle publique Eau Vive », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 1er juin 2015).




  16. « Gard (30) > Aigues-Vives > École - École primaire publique Aqua Viva », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 1er juin 2015).




  17. « page d'accueil », sur le site www.aiguesvives.fr de la sarl « Ki Solutions Group » (consulté le 1er juin 2015).




  18. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le 16 novembre 2013).



  19. « Liste des monuments historiques de la commune d'Aigues-Vives », base Mérimée, ministère français de la Culture.


  20. « Liste des lieux et monuments de la commune d'Aigues-Vives à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.


  21. « Liste des objets de la commune d'Aigues-Vives à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.


  22. « Parcelle contenant des vestiges archéologiques », notice no PA00102943, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  23. « Tuilerie, briqueterie Jamais, puis Dumas », notice no IA00128150, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  24. « Distillerie de vin et de marc Prades, puis Ecole, puis Finedoc », notice no IA00128149, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  25. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IM30000476, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  26. « Fontaine monumentale », notice no IM30000475, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  27. « Monument de Jamais Emile », notice no IM30000474, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  28. a et b« Résultats Municipales Aigues-Vives », 20minutes.fr.


  29. L'Express, Résultats des élections départementales


  30. « Antoine Rousseau », franceinter.fr.


  31. « Antoine Rousseau », team.inria.fr.


  32. « Blason de la commune », sur www.labanquedublason2.com (consulté le 7 février 2015)






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