Blida
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Blida | |||
Noms | |||
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Nom arabe | بليدة | ||
Nom berbère | ⵍⴻⴱⵍⵉⴸⴰ | ||
Administration | |||
Pays | Algérie | ||
Région | Mitidja | ||
Wilaya | Blida | ||
Daïra | Blida | ||
Président de l'APC | Zitouni Mohamed 2012-2017 | ||
Code postal | 09000 | ||
Code ONS | 0901 | ||
Indicatif | 025 | ||
Démographie | |||
Gentilé | Blidéen(s), Blidéenne(s) | ||
Population | 163 586 hab. (2008[1]) | ||
Densité | 3 071 hab./km2 | ||
Géographie | |||
Coordonnées | 36° 29′ 00″ nord, 2° 50′ 00″ est | ||
Altitude | 229 m | ||
Superficie | 53,26 km2 | ||
Divers | |||
Budget | 3,6 milliards de DA en 2013[2] | ||
Localisation | |||
Localisation de la commune dans la wilaya de Blida. | |||
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie
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Liens | |||
Site de la commune | http://www.wilayadeblida.dz/ | ||
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Blida (prononcé [bli.da]), (en arabe : البليدة, en berbère : Leblida, en tifinagh : ⵍⴻⴱⵍⵉⴸⴰ), surnommée « La Ville des Roses »[3], est une commune de la wilaya de Blida, dont elle est le chef-lieu, en Algérie.
Située au contact de l'Atlas blidéen et de la Mitidja, Blida est fondée au XVIe siècle pour accueillir des immigrés andalous. Elle est distante de 50 km d'Alger, et constitue une ville doublet de celle-ci. Elle est la 5e ville du pays par la taille, son unité urbaine compte 331 779 habitants en 2008.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Localisation
1.2 Relief et hydrologie
1.3 Climat
1.4 Transports
1.5 Localités de la commune
2 Toponymie
3 Histoire
3.1 Période ottomane
3.2 Période de la colonisation française
3.3 L’indépendance
4 Démographie
4.1 Évolutions
4.2 Pyramide des âges
5 Économie
5.1 Tourisme
6 Administration et politique
7 Enseignement
8 Vie quotidienne
8.1 Culture
8.2 Sports
9 Patrimoine
10 Personnalités liées à la commune
11 Blida dans les arts et la culture
12 Notes et références
13 Annexes
13.1 Articles connexes
13.2 Liens externes
Géographie |
Localisation |
La commune de Blida est située au centre de la wilaya de Blida. La ville est située à 47 km au sud-ouest d'Alger, et à 26 km au nord-est de Médéa, sur la bordure Sud de la plaine de la Mitidja à 22 km de la mer. L'unité urbaine s'étend en outre de la commune de Blida sur les communes suivantes : Ouled Yaïch, Soumaa, Bouarfa, Beni Mered et Guerouaou[4].
Relief et hydrologie |
La ville de Blida est située au pied du versant nord de l'Atlas blidéen et au Sud de la plaine de la Mitidja, à une altitude de 260 mètres. Elle est localisée sur un cône de déjection construit par l’oued Roumman-El Kebir[5].
Climat |
L'Atlas tellien protège la ville des vents secs du sud en provenance des Hauts Plateaux. Cette protection permet à la région de bénéficier d'un climat méditerranéen propice à l'agriculture[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 9 | 9 | 11 | 12 | 15 | 18 | 21 | 21 | 20 | 17 | 13 | 10 | 15 |
Température moyenne (°C) | 12 | 12 | 14 | 16 | 18 | 21 | 24 | 25 | 23 | 20 | 15 | 12 | 18 |
Température maximale moyenne (°C) | 15 | 16 | 17 | 20 | 22 | 25 | 28 | 29 | 27 | 23 | 18 | 15 | 21 |
Transports |
La ville est desservie par :
- l'autoroute Est-Ouest, à 3 km au nord de la ville, reliant Oran à l'ouest ;Sétif, Constantine et Annaba à l'est, et la capitale Alger située à 50 km ;
- la route transsaharienne, à l'ouest de la ville, permettant l'accès aux villes du Sud du pays ;
- la gare ferroviaire avec de multiples navettes sur Alger ;
- le téléphérique vers Chréa
Localités de la commune |
Lors du découpage administratif de 1984, la commune de Blida est constituée à partir des localités suivantes[8] :
- Blida
- Sidi El Kebir
- Tafraout
- Nader Ourou
- Hannous (partie basse)
- Taberkachent
- Timizert
- Dardara
- El Kennar
- Sidi Fergani
- Aïn Soltane
- Imma Mghita
- Cheikh Benaïssa
- Hamalite
- Kamariz
- Agba El Hamra
- Ben Boulaïd
- Zabana
- Sidi Abdelkader
- Ben Achour
- Maramane
- Beni Sbiha I
- Kessasma
- Oued Abarar
Toponymie |
Le mot Blida vient de l'arabe classique boulayda qui signifie petite ville ou petite contrée, qui est le diminutif de Bilad (pays, contrée)[9], il devient en arabe dialectal Blida, ce terme est employé durant la colonisation française. La ville est également surnommée Ourida (petite rose)[10].
Histoire |
Période ottomane |
La ville de Blida est fondée au XVIe siècle par le marabout Sidi Ahmed el Kabir avec la participation de musulmans andalous[11] qui s'installent à Ourida (premier nom de Blida) et transforment alors les terres incultivables en vergers grâce aux plantations d'orangers et l'art de l’irrigation. Ils apportent également à la région, l'art de la broderie sur cuir[12],[13].
La légende locale attribue à Sid Ahmed Ben Youcef surnommé el Kebir des origines andalouses, mais il est originaire du Sahara occidental[14]. À la demande de Barberousse qui a fourni les finances nécessaires des caisses de la régence d'Alger, il créa le noyau de la ville de Blida pour accueillir des réfugiés andalous[14]. Selon la tradition orale, il s'écria en contemplant la ville : « On t'appelle El-Blida (petite ville), je t'appelle El-Ourida (« la petite rose ») ».
Sous la domination ottomane, la ville s'agrandit, elle devient un lieu de repos et de prédilection des souverains turcs d'Alger[15]. Les Ottomans bâtissent des portes monumentales (Bab) à chacune des entrées, Bab el Dzair, Bab el Rahba, Bab el Sebt, Bab el Zaouia, Bab el Kseb, Bab el Kebor et Bab el Kouikha, ces portes n'existent plus de nos jours[9].
Ville de plaisir, et de beauté ; la ville était également menacée, car soumise à des tremblements de terre répétés[5]. En 1817, une épidémie de peste a fait 70 à 100 morts par jour durant un an. En mars 1825, un tremblement de terre détruit la ville[12] qui cause également la mort d'une partie de ses habitants[15]. La population s'est réfugiée à Montpensier[Où ?] qui était alors au nord de Blida. L'agha Yaya fit reconstruire la ville plus au nord[réf. nécessaire].
Période de la colonisation française |
Les troupes françaises contrôlent Blida en 1839[11], neuf ans après le début de la conquête de l'Algérie en 1830 et après de nombreuses tentatives d'occupation. Ils bâtissent de grandes casernes militaires, Blida devenant ainsi une ville garnison de l’armée française pendant toute la durée de la colonisation française[10]. Sa population est de 61 600 en 1950[12]. C'était la seconde ville du département d'Alger.
Détruite par le séisme de 1825, Blida est reconstruite par les Français selon un plan d'urbanisation hippodamien moderne (rues à angle droit et maisons basses)[11]. Aux portes de la ville, trois villages de colonisation sont créés : Joinville et Montpensier en 1843 et Dalmatie en 1844[5]. En 1848, elle est érigée en municipalité.
L’indépendance |
Après l'indépendance, Blida, ancienne sous-préfecture du département français d'Alger, devient chef-lieu de wilaya en 1974. Elle devient en quelque sorte la capitale de la Mitidja[9]. Toutefois, en raison de sa proximité avec l’agglomération algéroise, Blida sert d’un doublet à Alger ; elle accueille des fonctions et équipements qui ne trouvent plus place dans la capitale. Elle abrite une Université, un centre national de maintenance de la Sonatrach, des zones d’habitat nouvelles destinées à absorber la population attirée par la capitale. L’intensité des liaisons quotidiennes entre les deux villes traduit ce rôle de doublet[5].
Après l'indépendance, la ville a connu un exode rural important. Elle passe de la 9e ville du pays par la taille en 1954, au 5e rang en 1977, 6e en 1987[5] et 5e en 2008[16]. Cette progression démographique s'est accompagnée par des problèmes de logement, malgré les programmes de grands ensembles réalisés par l'État. La poussée urbaine a provoqué l'intégration dans le tissu urbain des vieux noyaux des villages de colonisation et le développement des habitats illicites[5].
Démographie |
Évolutions |
Selon le recensement général de la population et de l'habitat de 2008, la population de l'unité urbaine de Blida est évaluée à 331 779 habitants[16], alors que celle de la commune de Blida est de 163 586 habitants contre 116 949 en 1977 :
Pyramide des âges |
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 49,55 % d’hommes (0 à 9 ans = 9,53 %, 10 à 19 ans = 9,45 %, 20 à 29 ans = 8,83 %, 30 à 39 ans = 7,47 %, 40 à 49 ans = 6,29 %, 50 à 59 ans = 4,08 %, 60 à 69 ans = 2,25 %, 70 à 79 ans = 1,40 %, plus de 80 ans = 0,25 %) ;
- 50,45 % de femmes (0 à 9 ans = 9,04 %, 10 à 19 ans = 9,05 %, 20 à 29 ans = 9,27 %, 30 à 39 ans = 7,96 %, 40 à 49 ans = 6,25 %, 50 à 59 ans = 3,97 %, 60 à 69 ans = 2,43 %, 70 à 79 ans = 1,55 %, plus de 80 ans = 0,31 %).
Économie |
Tourisme |
La station de ski de Chréa est proche de Blida.
La cité possède un parc d'attraction dans la zone militaire de Blida à la sortie Ouest, lieu de repos familial, où les familles peuvent admirer les montagnes verdoyantes qui surplombent la ville. Ce dernier est à l'abandon depuis fort longtemps.
Administration et politique |
Enseignement |
La wilaya de Blida dispose de deux universités, et de plusieurs instituts de formation professionnelle.
Le 08 septembre 1981, le Centre Universitaire de Blida C.U.B. ouvre ses portes[23]. Au titre de cette rentrée historique, le nombre des étudiants inscrits s’élevait à 526, pour un effectif enseignant de 57 dont 17 étrangers[24]. Le C.U.B. se développe au fur et à mesure du temps, en août 1989 l'Université de Blida fut créée[25].
L'Université de Blida porte le nom de l'Université Saâd Dahlab de Blida (USDB), c'est une université nationale à caractère public, elle est située dans le quartier de Ouled Yaïch sur la route de Soumâa. Récemment, un autre nouveau pôle de l'université a été construit au niveau de la ville d'El Affroun, disposant de plusieurs facultés et de cités universitaires.
En 2013, l'Université de Blida a été scindée en deux universités 1 et 2[26]. L'Université de Blida 1 a hérité de l'ancienne Université de Blida son site située sur la route du Soumâa et a gardé le nom de Saâd Dahlab ainsi que la moitié des facultés. Or, l'Université de Blida 2 baptisée sous le nom de Lounici Ali, est située au niveau du nouveau site d'El Affroun et a hérité de la moitié des autres facultés de l'ancienne Université de Blida.
Vie quotidienne |
Culture |
Ville d'art et de traditions, Blida a su garder un cachet spécifique pour la musique andalouse[précision nécessaire].
Blida a préservé plusieurs métiers traditionnels à l'instar de la distillation de l'eau de rose, la broderie sur tissu et le travail du cuivre[27].
La ville est également connue pour la confection des gâteaux algériens. La période ottomane a marqué de son empreinte la population locale. Parmi, les spécialités héritées des Turcs : Tcharak, Baklawa et Ktaif. Les gâteaux de Blida se distinguent également par leur forme artistique, la ville a connu la multiplication des commerces de pâtisserie traditionnelle[27].
Sports |
- Union sportive de la médina de Blida
- Association Sportive Mitidja de Blida
- Football Club Blidéen
Club | Installations | Fondation | Football | Handball | Volley-ball | Basket-ball |
---|---|---|---|---|---|---|
Union sportive de la médina de Blida | Stade de Brakni | 1932 | 1 | ? | 12 | 0 |
Association Sportive Mitidja de Blida | Salle de Hocine Chalane | 2006 | 0 | 0 | 0 | 1 |
Patrimoine |
Le premier noyau urbain a été doté d’une mosquée implantée sur l’actuelle place du 1er Novembre. Cet édifice religieux a été
transformé en caserne, puis en hôpital, en église et enfin en école, avant d’être rasée pour devenir la place d’armes. Deux autres établissements, un four et un hammam ont été bâties par une main d’œuvre recrutée auprès des réfugiés d’Andalousie venus d’Oliva[14].
Le tombeau de Sidi Ahmed El Kebir, situé dans le cimetière proche de la vallée de l'oued El Kébir à 3 km au sud de la ville, dans lequel sont enterrés le patron de Blida ainsi que ses deux fils[28].
Parmi les quatre mosquées dont disposait la ville avant la colonisation française, l’une est convertie au culte catholique, une transformée en caserne, les deux autres laissées aux Musulmans[5]. Les mosquées Ben Sâadoun (achevée à la fin du XIXe siècle) et Torki Hanafi (érigée en 1750), construites par les Turcs[29]. La mosquée de Baba Mohamed qui se trouvait à l’entrée de Bab Dzair, fut transformée en une caserne militaire pour leur escadron.
Le quartier El Djoun ou douirette, est le plus vieux quartier de Blida, la plupart ses demeures sont construites dans un style mauresque. Le quartier s'est profondément dégradé[9].
Tombeau de Sidi-Ahmed El-Kebir, fondateur de la ville
Mosquée Al-Kawthar.
Personnalités liées à la commune |
- Personnalités sportives
Henri Salvano (1901-1964), footballeur international français, natif de Blida
Bouguerra Belkacem (né en 1920), footballeur algérien USMB, natif de Blida
Abdelkader Mazouz (né en 1932), footballeur international algérien USMB, natif de Blida
Réda Zouani (né en 1968), footballeur international algérien, natif de Blida
Billal Zouani (né en 1969), footballeur international algérien, natif de Blida
El Hadi Fayçal Ouadah (né en 1983), footballeur algérien, natif de Blida
Farès Hemitti (né en 1987), footballeur algérien, natif de Blida
Abdelkader Bedrane (né en 1992), footballeur algérien, natif de Blida
- Personnalités littéraires, culturelles et artistiques
Elissa Rhaïs (1876-1940), auteur de romans et de nouvelles orientalistes, native de Blida
Keltoum (1916-2010), actrice
Abderrahmane Aziz (né en 1920), chanteur algérien connue par Yakabaa Ya bit Rabi
Jean Daniel (né Jean Daniel Bensaïd en 1920), écrivain et journaliste français, natif de Blida
Baya (1931-1996), peintre, a vécu et est morte à Blida
Henri Atlan (né en 1931), médecin biologiste, philosophe et écrivain français, natif de Blida
Georges Laffly (1932-2008), journaliste, critique littéraire et essayiste français, natif de Blida
Rabah Driassa (né en 1934), chanteur algérien de musique populaire, natif de Blida
Mohamed Mazouni (né en 1940), chanteur algérien, natfi de Blida
Rachid Nouni (né en 1943), musicien algérien de chaâbi, natif de Blida
Valérie Boisgel (né en 1946), actrice et auteure française, native de Blida- Abdelkader Maidi (né en 1947), écrivain, poète, natif de Blida
Shmuel Trigano (né en 1948), sociologue, philosophe et professeur des universités français, natif de Blida
Frédéric Pieretti (né en 1954), réalisateur, producteur, acteur, éditeur et traducteur français, natif de Blida
Farid Khodja (né en 1964), artiste-interprète algérien de musique andalouse, natif de Blida
Amar Meriech (né en 1964), poète et journaliste algérien, natif de Blida
Nassima Terfaya (né en 1965), écrivain algérienne
- Personnalités politiques
Gaston Eudoxe dit Ricci (1869-1952), avocat et maire de Blida où il mourut.
Pierre Népoty (1875-1929), haut-fonctionnaire, y naquit.
Mahfoud Nahnah (1942-2003), homme politique algérien, natif de Blida
- Autres personnalités
Victor Margueritte (1866-1942), romancier et auteur dramatique français, natif de Blida- Djilali Chabila (1898-1956), travailleur émigré en région parisienne, syndicaliste CGTU et communiste, trésorier général de l’Étoile nord-Africaine à sa fondation en 1926 ; secrétaire général chargé en 1928 pour le compte de la CGTU, natif de Blida
Jean Coulomb (1904-1999), géophysicien français, natif de Blida
Mohamed Kouaci, (1922-1996), photographe et combattant de l'ALN
Frantz Fanon (né en 1925 à Fort-de-France, Martinique), essayiste et psychiatre martiniquais et algérien, médecin-chef d'une division de l'hôpital psychiatrique de Blida-Joinville, rebaptisé hôpital Frantz-Fanon après l'indépendance
Abdennebi Benaissa (né en 1950), medecin neurochirurgien
Mohamed Bourouissa (né en 1978), photographe, natif de Blida
Blida dans les arts et la culture |
Théophile Gautier séjourna dans plusieurs villes algériennes, comme Blida. Il évoque cela dans plusieurs de ses écrits : Loin de Paris et Voyage pittoresque en Algérie (1845).
Notes et références |
[PDF]Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de Blida, sur le site de l'ONS.
op. cit., « APC de Blida, les dépenses pourraient atteindre 4,8 milliards de dinars », 2013
El Watan, édition du 09 décembre 2010
Armature urbaine (RGPH 2008)..., op.cité, p.42.
Marc Côte, « Blida », in Encyclopédie berbère, 10 | Beni Isguen – Bouzeis, En ligne, mis en ligne le 01 mai 2013, consulté le 22 octobre 2013.
Daniel Babo, Algérie, Éditions le Sureau, coll. « Des hommes et des lieux » (ISBN 978-2-911328-25-1), p. 30
« Blida, Algeria », sur www.weatherbase.com (consulté le 26 février 2012).
Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret n° 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes. Wilaya de Blida, page 1490.
Blida, la ville des roses, en quête de son lustre d'antan, La Tribune du 18/11/2008
Mon beau paysBlida (III), Info Soir du 22/03/2006
Daniel Babo, op. cit., p 31
Benjamin Stora, Histoire de l'Algérie coloniale (1830-1954) Collection
Repères 2004, p-53 (ISBN 9782707144669)
Algérie, Edition Les guides bleus Hachette, 1981, 612 p. (ISBN 2-01-007926-4), p. 208
Il était une fois Blida, Sid Ahmed El Kebir, providentiel, El Watan du 08/09/2010.
Mon beau pays: Blida (II), Info Soir du 21/03/2006
ONS, Armature urbaine (RGPH 2008) : Les principaux résultats de l'exploitation exhaustive, Alger, Office National des Statistiques, septembre 2011, 213 p. (ISBN 978-9961-792-74-2, lire en ligne), p. 100
ons.dz
(en) Population de Blida (World Gazetteer)
(en) the People's Democratic Republic of Algeria - Blida (Geohive)
Wilaya de Blida — Population résidente par age et par sexe. Consulté le 25 février 2012.
https://img15.hostingpics.net/pics/84404119030530303572290068023826346700781526326n.jpg
K. Fawzi, « Blida : Le FLN perd des communes », dans Liberté, 15 décembre 2012 (Lire en ligne).
http://www.joradp.dz/jo6283/1977/051/FP647.pdf
http://www.univ-blida.dz/index.php?option=com_content&view=article&id=1807:historique-blida&catid=2&Itemid=1138
http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/1989/F1989028.pdf
http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2013/F2013023.pdf
Les gâteaux traditionnels : Carte de visite de la ville des roses, Algérie Presse Service du 30/07/2011.
Le guide bleu - Hachette, op. cit., p. 209.
Daniel Babo, op. cit., p. 31.
Annexes |
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Articles connexes |
- Atlas blidéen
- Mitidja
- Koléa
- Médéa
Liens externes |
- Site officiel de la wilaya de Blida
- Portail de l’Algérie