Conseil de l'Union européenne





Ne doit pas être confondu avec Conseil européen ou Conseil de l'Europe.


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European Council (38185339475).jpg

















Histoire
Fondation

1952Voir et modifier les données sur Wikidata
Prédécesseur

Conseil spécial de ministresVoir et modifier les données sur Wikidata
Fusion de

Conseil de la Communauté économique européenne, du Conseil spécial de ministres de la CECA et du Conseil de l'Euratom

















Cadre
Type

Institution de l'Union européenne, pouvoir législatif, chambre haute (de facto)Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social

Bâtiment EuropaVoir et modifier les données sur Wikidata
Langues de travail

Anglais, allemand, françaisVoir et modifier les données sur Wikidata





























Organisation
Membres

28 États[1]
Secrétaire général du Conseil de l'Union européenne

Klaus IohannisVoir et modifier les données sur Wikidata
Présidence semestrielle

Drapeau de la Roumanie Roumanie (1er janvier 2019 - 30 juin 2019)
Secrétaire général

Jeppe Tranholm-Mikkelsen (depuis le 1er juillet 2015)Voir et modifier les données sur Wikidata
Organisation mère

Union européenneVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web

www.consilium.europa.euVoir et modifier les données sur Wikidata



Le Conseil, souvent appelé Conseil de l'Union européenne, et parfois appelé officieusement Conseil des ministres de l'Union européenne, est l'une des principales institutions de l'Union européenne (UE), avec la Commission européenne et le Parlement européen. Il est un organe institutionnel exécutif mais aussi législatif de l'UE, et décide des actes législatifs et budgétaires. Il partage sa compétence dans les domaines soumis à la procédure législative ordinaire avec le Parlement européen avec lequel il forme un Parlement bicaméral. Ainsi, le Conseil des ministres représente les gouvernements des États membres tandis que le Parlement européen représente les citoyens des États membres.


Il est situé 175 rue de la Loi, à Bruxelles, face au siège de la Commission européenne, et à proximité du Parlement européen.


Les ministres des États membres en lien avec l'ordre du jour de chaque réunion (ministres des finances, ministres de la santé, etc.) siègent au Conseil et éventuellement un ministre d'une entité fédérée (dans le cas des États fédéraux) habilité à représenter l’État fédéral dans son ensemble.


Depuis la signature du traité de Rome, le Conseil est responsable de la coordination des politiques économiques des États membres. Il élabore le projet de budget avec le Parlement et l'adopte avec l'accord de celui-ci, mais décide seul des recettes. En matière monétaire, il fixe les orientations générales du régime de change sans intervention du Parlement (la politique monétaire ne faisant pas partie des domaines soumis à la codécision).




Sommaire






  • 1 Dénomination


  • 2 Histoire de l'institution


  • 3 Organisation


    • 3.1 Formations du Conseil de l'Union européenne


    • 3.2 Présidence


    • 3.3 Secrétariat général


    • 3.4 Comités et groupes de travail


    • 3.5 Système de vote


    • 3.6 Partis politiques




  • 4 Fonctionnement


    • 4.1 Coordination des politiques économiques




  • 5 Sources


    • 5.1 Références


    • 5.2 Bibliographie




  • 6 Compléments


    • 6.1 Articles connexes


    • 6.2 Liens externes







Dénomination |


Il est désigné sous le nom de Conseil dans le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne et le traité sur l'Union européenne. On l'appelle souvent officieusement le Conseil des ministres (ce qui aurait été son nom officiel en cas de mise en application du traité établissant une constitution pour l’Europe), pour éviter les confusions avec deux autres Conseils dont la dénomination est proche :



  • le Conseil européen, organe de l'UE qui réunit les chefs d'État et de gouvernement des États membres ;

  • le Conseil de l'Europe, organisation plus ancienne et plus vaste que l'UE, sans lien institutionnel avec elle.



Histoire de l'institution |


L'ancêtre du Conseil de l'Union européenne est le Conseil des ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). Celui-ci a été créé en 1952 pour contrebalancer le pouvoir supranational de la Haute Autorité, ancêtre de l'actuelle Commission européenne.


Ce premier Conseil de la CECA avait peu de pouvoir, se contentant de contrôler les décisions de la Haute Autorité ne concernant pas le charbon et l'acier. L'opposition à cet exercice supranational du pouvoir exécutif entraîna les dirigeants européens à donner plus de pouvoir au Conseil au sein de la Communauté économique européenne (CEE), créée en 1958 par le traité de Rome.


En 1965, le Conseil fit face à sa première grande crise avec la « politique de la chaise vide » du général de Gaulle, en désaccord notamment avec les propositions de la Commission au sujet de la politique agricole commune. L'absence de la France bloqua toute avancée jusqu'au compromis de Luxembourg, l'année suivante.


Le traité de fusion des exécutifs communautaires, entré en vigueur en 1967, fusionna le Conseil des ministres de la CEE avec ceux de la CECA et d'Euratom (la Communauté européenne de l'énergie atomique), donnant ainsi naissance à un unique conseil des ministres pour les Communautés européennes. En 1993, le Conseil fut renommé « Conseil de l'Union européenne » avec le traité de Maastricht. Le traité renforça l'institution de plus d'éléments intergouvernementaux dans le système des trois piliers de l'Union européenne. Dans le même temps, le renforcement conjoint du Parlement européen et de la Commission européenne a amenuisé la capacité du Conseil à agir indépendamment.


Jusqu'à l'Acte unique européen, il est l'organe décisionnel principal, voire unique, de l'Union européenne. Les États étaient dans une logique de transfert de compétences récupérées en les exerçant au sein du Conseil des ministres. Avec le développement des compétences du Parlement européen et a fortiori depuis l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, il n'est plus le seul organe de décision dans le cadre de la procédure législative de droit commun.



Organisation |


Le Conseil siège par formation en fonction de la matière traitée. Il a un président et un secrétaire général.


La présidence du Conseil est exercée pendant six mois par chaque État membre, par rotation. Il n'y a pas de Président unique, mais chacun des ministres de l'État membre chargé de la présidence préside la formation dans laquelle il siège. Par exemple, pendant le deuxième semestre 2011, la Pologne assure la présidence du Conseil et c'est le ministre polonais de la Justice ou celui de l'intérieur qui préside la formation Justice et affaires intérieures. Seule exception : la formation des Affaires étrangères est présidée par le Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.


Le secrétaire général est le chef du secrétariat général du Conseil de l'Union européenne, il est nommé par le conseil[2] (Art. 240 TFUE).


Les réunions du Conseil se tiennent le plus souvent à Bruxelles, mais aussi à Luxembourg en avril, juin et octobre, conformément aux traités. Le Conseil illustre ainsi la diversité géographique des implantations des institutions et organes de l’Union européenne, à l'instar du Parlement européen, dont le siège est à Strasbourg, pour les sessions plénières, et dont certaines réunions se tiennent également à Bruxelles[3].



Formations du Conseil de l'Union européenne |


Bien qu'étant légalement une unique entité, le Conseil se divise en réalité en de multiples conseils, ou « formations », chacun s'occupant d'un secteur d'intérêt en particulier. Tous les conseils n'ont pas la même importance. Par exemple, le Conseil pour les affaires économiques et financières (ministres des Finances) est plus puissant que le Conseil des ministres de l'Environnement[4]. La direction de chacune de ces formations est tenue tour à tour par le ministre du pays chargé de la présidence. Les rencontres sont généralement irrégulières, sauf pour les trois conseils les plus importants, soit les trois premiers ci-dessous, qui se rencontrent une fois par mois. Il existe actuellement dix formations[5],[6] :




  1. Affaires générales : la plus importante des formations, composées des différents ministres des Affaires étrangères.


  2. Relations extérieures : composé aussi des ministres des Affaires étrangères. Le Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité prend part aux sessions sur les relations extérieures, dans le contexte de la Politique étrangère et de sécurité commune (PESC). Cette formation inclut aussi la Politique européenne de sécurité et de défense. Elle coordonne les rencontres du Conseil européen.


  3. Affaires économiques et financières (ECOFIN) : composée des ministres de l'Économie et des Finances, elle inclut les discussions budgétaires et les affaires concernant la zone euro au cours de sessions informelles composées des ministres des pays concernés[7].


  4. Agriculture et pêche : un des plus anciens conseils, il regroupe généralement une fois par mois les ministres de l'agriculture et de la pêche, et les commissaires à l'agriculture, à la pêche, à la sécurité alimentaire, aux questions alimentaires et à la santé publique.


  5. Justice et affaires intérieures : concerne à la fois les ministres de la Justice et ceux de l'Intérieur.


  6. Emploi, politique sociale, santé et affaires relatives à la protection des consommateurs : composée des ministres de l'emploi, de la protection sociale, de la protection des consommateurs, de la santé et pour l'égalité des chances.


  7. Compétitivité : créée en juin 2002 avec la fusion de trois précédentes formations (marché intérieur, industrie, recherche). Elle est composée de ministres s'occupant d'affaires telles les affaires européennes, l'industrie, le tourisme et la recherche.


  8. Transports, télécommunications et énergie : créée en juin 2002 avec la fusion de ces trois attributions en une seule formation. Elle a lieu généralement une fois tous les deux mois.


  9. Environnement : se déroule quatre fois par an.


  10. Éducation, jeunesse, culture, politique audiovisuelle et sport : composé des ministres de l'Éducation, de la Jeunesse, de la Culture, des Communications et de l'audiovisuel, ce conseil se réunit environ trois ou quatre fois par an.



Présidence |




Affiche célébrant la présidence estonienne sur le bâtiment Europa.


Article détaillé : Présidence du Conseil de l'Union européenne.

Cette présidence n'est pas un simple poste individuel, mais une fonction tenue par le gouvernement d'un des pays membres et représenté par son chef d'État, de gouvernement ou son ministre des Affaires étrangères lors d’événements internationaux (notamment, les sommets et rencontres officielles). La présidence est tournante, elle change tous les six mois. Depuis 2007, la présidence voit la coopération des gouvernements de trois États membres à la fois, bien qu'un seul tienne officiellement la présidence, amenant ainsi chaque État membre à participer à la présidence pour une période de dix-huit mois, au lieu des six habituels. Ainsi, le programme politique de la présidence néerlandaise du premier semestre 2016 est réalisé conjointement avec les gouvernements slovaque et maltais[8]. Ces trois gouvernements forment ainsi une troïka à la tête du Conseil.


Le rôle de la présidence est à la fois politique et administratif. Pour l'aspect administratif, elle est responsable des différentes procédures et de l'organisation du Conseil durant son mandat. Cela comprend la charge de convoquer les conseils pour leurs différents meetings et d'organiser les différents comités, tels Comité des représentants permanents, ainsi que les groupes de travail. L'aspect politique consiste en un rôle de médiation et de négociation. Cela comprend en particulier le fait d'établir l'agenda du Conseil, ce qui donne une influence relativement importante à la présidence sur le travail du Conseil. La présidence a aussi pour rôle de représenter le Conseil au sein de l'UE, et l'UE lors de rencontres informelles à l'international, aux Nations unies par exemple.



Secrétariat général |


Le secrétariat général assure l'organisation, la coordination et le contrôle de la cohérence des travaux du Conseil de l'Union européenne et du Conseil européen, il s'occupe de l'organisation des réunions, de la rédaction des projets d'ordre du jour, rapports, notes et procès-verbaux des réunions et assiste la présidence lors des négociations[9].


Depuis le 1er juillet 2015, le secrétaire général du Conseil est le Danois, Jeppe Tranholm-Mikkelsen[10] ; il succède à Uwe Corsepius qui occupait ce poste depuis le 26 juin 2011 (auparavant, il était le Haut Représentant pour la PESC, et ce depuis le 1er juillet 2010).


Leurs prédécesseurs (prétraité de Lisbonne) occupaient également le poste de Haut Représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) (puis de Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité), de président de l'Agence européenne de défense et de secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale avant sa dissolution en 2010.



Comités et groupes de travail |


Le Comité des représentants permanents (COREPER) est composé de représentants des États (ambassadeurs, fonctionnaires divers…) qui se rencontrent chaque semaine pour préparer le travail du Conseil. Il surveille et coordonne le travail et les discussions avec le Parlement européen pour le travail législatif relevant de la codécision. Il est divisé entre le COREPER 1, réunissant les représentants permanents adjoints pour les questions plus techniques (emploi, compétitivité, éducation), et le COREPER 2, rassemblant les représentants permanents des États membres et traitant des questions les plus politiques et éventuellement sensibles (Conseil « Affaires générales et relations extérieures », « Affaires économiques et financières », « Justice et affaires intérieures »). L'agriculture est traitée par le Comité Spécial sur l'Agriculture (CSA). Les nombreux groupes de travail soumettent leurs rapports au Conseil à travers le COREPER et le CSA.



Système de vote |


Article détaillé : Vote au Conseil de l'Union européenne.

Sous un système de vote à la majorité qualifiée, les différents États ont un poids différent dans le vote, en fonction de la taille de leur population. Par exemple, un vote de l'Allemagne ou de la France pèse 29 sur un total de 352, alors qu'un vote de Malte pèse seulement 3. La liste complète est donnée ci-dessous :







  • 29 votes : France, Allemagne, Italie et Royaume-Uni,

  • 27 votes : Espagne et Pologne,

  • 14 votes : Roumanie,

  • 13 votes : Pays-Bas,

  • 12 votes : Belgique, République tchèque, Grèce, Hongrie et Portugal,




  • 10 votes : Autriche, Bulgarie et Suède,

  • 7 votes : Croatie, Danemark, Finlande, Irlande, Lituanie et Slovaquie,

  • 4 votes : Chypre, Estonie, Lettonie, Luxembourg et Slovénie,

  • 3 votes : Malte.



Le système de vote pondéré est caduc en 2014 avec la double majorité qualifiée instituée par le traité de Lisbonne (55 % des États, 65 % de la population).



Partis politiques |


La majorité des membres du Conseil sont membres d'un parti politique au niveau national, et la majorité de ces partis sont partie prenante d'un parti politique européen. Le tableau ci-dessous présente l'affiliation des dirigeants de chacun des États membres au sein du Conseil. Mais il faut noter que de nombreux pays, telle l'Allemagne, sont dirigés par des gouvernements de coalition et qu'en conséquence, les ministres participant au Conseil peuvent appartenir à différents partis.











































Partis politiques au Conseil de l'Union européenne

Parti politique européen
Chefs de gouvernements
Dont coalitions

Parti populaire européen
14
9

Parti socialiste européen
7
6

Conservateurs et réformistes européens
2
1

Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe
3
3

Parti de la gauche européenne
1

Total
28
19


Fonctionnement |


Le Conseil est aidé par le Comité des représentants permanents (COREPER), ce qui comprend les ambassadeurs représentants permanents ou les représentants permanents adjoints des États membres. Le COREPER prépare généralement l'ordre du jour du Conseil, et négocie les sujets mineurs, ceux sans controverse. Les fonctionnaires des États membres négocient dans des groupes de travail du Conseil, concluant souvent l'accord de fait qui est formalisé par le COREPER et le Conseil des ministres.


Le Conseil est soutenu par le Secrétariat général du Conseil, composé de fonctionnaires européens de carrière (approximativement 3 500 en 2008), dirigé par un secrétaire général, qui depuis le 1er juillet 2015 est Jeppe Tranholm-Mikkelsen.


Depuis décembre 2005, les délibérations du Conseil se déroulant dans le cadre de la procédure de codécision se tiennent en public.


Dans son fonctionnement, chacun des membres du Conseil des ministres est en principe soumis individuellement à son propre parlement national. Dans les faits, par manque d’information et du fait de la complexité des sujets traités, ce contrôle est le plus souvent très faible[11]. De plus, à la suite de contacts suivis entre le personnel du Conseil des ministres à Bruxelles et celui de la Commission (qui a un représentant à chaque réunion hebdomadaire du COREPER), il peut se créer des communautés d’acteurs dans un domaine donné, qui échappe aux logiques nationales. Ainsi les membres du COREPER ne sont pas seulement les représentants de leur ministère : ils ont aussi la capacité d'imposer collectivement à leur gouvernement certains accords auxquels ils sont parvenus entre eux[12].


Le traité de Lisbonne, entré en vigueur le 1er décembre 2009, retient largement les réformes du traité constitutionnel défunt. La majorité des décisions est désormais prise selon le système de vote à la majorité qualifiée double[13], où le seuil d'approbation requiert au moins 55 % des États membres représentant 65 % de la population de l'Union (soit 16 (avant Brexit) États et environ 325 millions d'habitants) sachant qu'une minorité de blocage nécessite au moins 4 États (i.e. 3 États représentant plus de 35 % de la population ne peuvent en théorie pas bloquer le vote). La mise en place de ces dispositions est effective à partir du 1er novembre 2014.


Pour ce qui est de la configuration du Conseil, le fait qu'il existe différentes formations suivant les sujets traités est mentionné pour la première fois au sein du traité, mais deux seulement sont indiquées, à savoir le Conseil des affaires générales et le Conseil des affaires étrangères, issus de la division de l'ancien Conseil des « Affaires générales et relations extérieures ». Ce dernier n'est pas dirigé par la présidence, mais par le Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.



Coordination des politiques économiques |


Une des responsabilités du Conseil de l'Union européenne est la coordination des politiques économiques des États membres. Pour organiser cette coordination, il adopte des recommandations pour des mesures concernant les grandes orientations de ces politiques. Il définit à cet effet un cadre de référence commun pour les politiques économiques des États membres et de l'Union nommé « grandes orientations des politiques économiques » (GOPE) et un régime de surveillance garantissant le respect des GOPE par les États membres (prévention des déficits budgétaires, de l’endettement public excessif et des déséquilibres macroéconomiques). Cette mission s’effectue en concertation avec le Conseil européen et la Commission européenne. Le Parlement européen est ensuite informé de ces recommandations[14].



Sources |



Références |




  1. La Croatie, 28e membres de l'UE, dispose de 7 représentants au Conseil, Reuters, 1er juillet 2013.


  2. « Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE) », sur http://eur-lex.europa.eu/ (consulté le 6 juin 2016)


  3. Traité de Lisbonne, Protocole 6 sur la fixation des sièges des institutions et de certains organes, organismes et services de l'Union européenne.


  4. Magnette 2003, p. 122


  5. (en) Information handbook of the Council of the European Union, Brussels, Office of Official Publications of the European Communities, 2007(ISBN 978-92-824-2203-8)


  6. Composition des formations spécialisées du Conseil.


  7. (en) « The CER guide to the EU’s constitutional treaty », Centre for European Reform, juillet 2004


  8. « Présider l'Union européenne, qu'est-ce que cela signifie ? », sur site de la présidence néerlandaise de l'UE 2016 (consulté le 14 février 2016).


  9. « Le Secrétariat général du Conseil », sur le site du Conseil de l'Union européenne (consulté le 26 juillet 2015).


  10. « Nomination de M. Jeppe Tranholm-Mikkelsen comme nouveau secrétaire général du Conseil », sur le site du Conseil de l'Union européenne (consulté le 26 juillet 2015).


  11. Quermonne 2005, p. 47


  12. Magnette 2003, p. 128


  13. « Simulateur de vote à la majorité qualifiée »


  14. « Les GOPE - L'Union économique et monétaire: origine, fonctionnement et futur - CVCE Website », sur www.cvce.eu (consulté le 16 mai 2017)



Bibliographie |



Consultez la bibliographie sur l'Union européenne


  • Stéphanie Novak, La prise de décision au Conseil de l'Union européenne : pratiques du vote et du consensus, vol. 18, Dalloz, coll. « Nouvelle bibliothèque de thèses », 2011, 245 p. (ISBN 978-2-2471-0676-9)

  • (en) General Secretariat of the Council of the European Union, Information handbook of the Council of the European Union, Office for Official Publications of the European Communities, 2002, 78 p. (ISBN 978-9-2824-1787-4)

  • (de) Thomas Eble, Der Rat Der Europäischen Union, Grin Verlag, 2011, 28 p. (ISBN 978-3-6560-4358-4)

  • Paul Magnette, Le régime de l'Union européenne, Presses de Sciences Po, coll. « Sciences Po Gouvernances », 2003, 319 p. (ISBN 978-2724611335)

  • Jean-Louis Quermonne, Le système politique de l'Union européenne, Bruxelles, Montchrestien, coll. « Clefs politiques », 2005, 158 p. (ISBN 978-2707616883)

  • (de) Thomas Eble, Der Rat Der Europäischen Union, Grin Verlag, 2011, 28 p. (ISBN 978-3-6560-4358-4)

  • (en) Ole Elgström (dir.), European Union Council Presidencies : a comparative perspective, 2003, 210 p. (ISBN 0-415-30990-5)

  • (en) Martin Westlake, The Council of the European Union, John Harper, 2004, 456 p. (ISBN 978-0-9536-2788-2)



Compléments |



Articles connexes |



  • Gymnich

  • Présidence du Conseil de l'Union européenne

  • Vote au Conseil de l'Union européenne



Liens externes |


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