Charles Gounod






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Charles Gounod



Description de cette image, également commentée ci-après

Charles Gounod, par Nadar (1887).










































Nom de naissance
Charles François Gounod
Naissance
17 juin 1818
Paris, France
Décès
18 octobre 1893 (à 75 ans)
Saint-Cloud, France
Activité principale
Compositeur
Style
Musique romantique
Formation
Conservatoire de Paris
Maîtres
Antoine Reicha, Jacques Fromental Halévy, Jean-François Lesueur
Famille
Pierre-Joseph-Guillaume Zimmerman (beau-père)
Récompenses
Prix de Rome (1839)

Œuvres principales






  • Faust (1859)


  • Mireille (1864)


  • Roméo et Juliette (1867)


  • Marche funèbre d'une marionnette (1872)


  • Petite Symphonie (1885)




















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« Ô ma lyre immortelle » de Sapho


Interprété par Ernestine Schumann-Heink

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Charles Gounod est un compositeur français, né le 17 juin 1818 à Paris (ancien 11e arrondissement) et mort le 18 octobre 1893 à Saint-Cloud (Seine-et-Oise)[1].




Sommaire






  • 1 Biographie


  • 2 Œuvres


    • 2.1 Œuvres principales


    • 2.2 Liste des œuvres




  • 3 Hommages


  • 4 Portraits


  • 5 Notes et références


  • 6 Voir aussi


    • 6.1 Articles connexes


    • 6.2 Bibliographie


    • 6.3 Liens externes


    • 6.4 Partitions







Biographie |


Charles-François Gounod naît place Saint-André-des-Arts à Paris[2]. Il est le second fils du peintre François-Louis Gounod[3] et de Victoire Lemachois qui s'étaient mariés à Rouen le 24 novembre 1806. Son père meurt dès 1823. Pour survivre, sa mère donne des cours de piano. Son fils Charles sera l'un de ses premiers élèves.


Après avoir fait ses classes au lycée Saint-Louis, il étudie l'harmonie avec Antoine Reicha puis, au Conservatoire de Paris, avec Jacques Fromental Halévy et la composition avec Jean-François Lesueur. En 1839, il remporte le Grand Prix de Rome pour sa cantate Fernand. Il profite de son séjour à la villa Médicis pour étudier notamment la musique religieuse, surtout celle de Palestrina. De cette époque (1841) date son premier portrait peint connu, par son condisciple Charles Octave Blanchard[4]. En 1842, il découvre Die Zauberflöte (La Flûte enchantée) de Mozart, à Vienne, où est exécutée sa deuxième messe avec orchestre.


En 1843, de retour à Paris, il accepte le poste d'organiste et de maître de chapelle de l'église des Missions étrangères de Paris. En 1847, l'archevêque de Paris l'autorise à porter l'habit ecclésiastique. Il s'inscrit au cours de théologie de Saint-Sulpice et va écouter les sermons de Lacordaire à Notre-Dame. En 1848, après les journées révolutionnaires, il renonce à sa vocation sacerdotale et quitte son poste des Missions étrangères.


En 1849, grâce à l'appui de Pauline Viardot, il obtient le livret de Sapho[5], opéra en trois actes sur un livret d'Émile Augier, qui est créé à l'Opéra le 16 avril 1851, sans grand succès. Il compose ensuite une musique de scène pour Ulysse de François Ponsard. En 1852, il épouse Anna Zimmerman, fille de Pierre-Joseph-Guillaume Zimmerman.


Il présida les Orphéons de la Ville de Paris, de 1852 à 1860. Il a alors écrit de nombreux chœurs, comme le Vin des Gaulois. En tant que compositeur de la musique sacrée, il assista en 1860 au Congrès pour la restauration du plain-chant et de la musique de l'Église.


Il compose Le Médecin malgré lui, opéra-comique en 3 actes d'après Molière, sur un livret de Jules Barbier et Michel Carré, avec qui il collaborera souvent. L'œuvre est créée au Théâtre-Lyrique le 15 janvier 1858, jour anniversaire de la naissance de Molière. En 1859, son opéra Faust est joué au Théâtre-Lyrique, remportant un succès considérable, avec 70 représentations la première année. En 1860, il écrit deux opéras-comiques Philémon et Baucis et La Colombe. Il crée en 1862 La Reine de Saba, livret de Jules Barbier et Michel Carré, opéra qui s'arrêta au bout de quinze représentations.


Le critique musical de la Revue des deux Mondes, un certain Paul Scudo, écrit sur La Reine de Saba un compte rendu au vitriol resté célèbre : « Nous savons que l’esprit ingénieux mais faible de M. Gounod a le malheur d’admirer certaines parties altérées des derniers quatuors de Beethoven. C’est la source troublée d’où sont sortis les mauvais musiciens de l’Allemagne moderne, les Listz, les Wagner, les Schumann, sans omettre Mendelssohn ». Il ajoute que si le compositeur devait s’obstiner dans cette voie, il « serait irrévocablement perdu[6]. » En mars 1863, il fait la connaissance de Frédéric Mistral, qui a accepté qu’un livret soit tiré de son poème Mirèio (Mireille). Il vient s’installer à Saint-Rémy-de-Provence où sa musique s’imprègne de l’atmosphère du Midi. « Je peux tout [...] , écrit-il, dès qu’il n’y a autour de moi ni bruit ni mouvement [... ] A Paris, [...] on regarde le silence comme un tombeau. Un tombeau ! Mais c’est un paradis que le silence ! » [7]
L’opéra est créé à Paris au Théâtre Lyrique en mars 1864 et n’obtient qu’un succès mitigé.
En revanche, en 1867 pendant l'Exposition universelle, Roméo et Juliette connaît un succès très vif.


En 1870, fuyant l'invasion allemande, Gounod s'installe en Angleterre, où il fait la connaissance de la chanteuse Georgina Weldon (en) avec qui il aura une liaison pendant quatre ans. En 1872 est donné Les Deux Reines de France, drame de Legouvé qui est mal accueilli. Puis est créé au théâtre de la Gaîté, Jeanne d'Arc, drame historique de Jules Barbier, qui ravive le patriotisme français. En 1874, Gounod quitte la Grande-Bretagne. En 1876 est exécutée en l'église Saint-Eustache la Messe du Sacré Cœur de Jésus.


Dans la dernière partie de sa vie, Gounod compose beaucoup de musique religieuse, notamment un grand nombre de messes et deux oratorios La Rédemption (1882) et Mors et Vita (1885).


Il meurt le 18 octobre 1893 à Saint-Cloud alors même qu'il exécutait au piano son dernier Requiem (en ut majeur)[8]. Ses obsèques ont lieu dix jours plus tard en l'église de la Madeleine, avec le concours de Camille Saint-Saëns à l'orgue et de Gabriel Fauré à la tête de la maîtrise. Il est inhumé à Paris, au cimetière d'Auteuil.


L'auteur-compositeur-interprète Pauline de Lassus, connue sous le nom de scène Mina Tindle, est l'une de ses descendantes[9],[10]. Dans l'émission La Revue de presse du lundi 6 juin 2016, le journaliste Jérôme de Verdière fait remarquer à l'invitée Roselyne Bachelot, qui présente une compilation de musiques d'opéras français, qu'il est un descendant du compositeur Charles Gounod.




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Œuvres |



Œuvres principales |


Gounod est surtout réputé pour ses opéras, principalement :




Affiche de Jules Chéret pour Polyeucte.




  • Faust, d'après la pièce de Goethe. Marguerite est séduite par Faust après qu'il a vendu son âme au diable. On y entend l’air de Méphisto Le Veau d'or, l'air de Marguerite dit des bijouxAh ! je ris —, immortalisé à sa façon par La Castafiore de Hergé, le chœur des soldats Gloire immortelle de nos aieux, la musique de ballet de la Nuit de Walpurgis et le chœur des anges Sauvée, Christ est ressuscité.


  • Roméo et Juliette, d'après la pièce de Shakespeare. Les airs les plus connus sont la valse de Juliette, Je veux vivre, et l'air du ténor, Ah ! lève-toi, soleil !


  • Mireille d'après le poème en occitan Mireio de Frédéric Mistral.


  • Cinq-Mars (en), Une conjuration sous Louis XIII, sur un livret de Paul Poirson et de Louis Gallet, librement adapté du roman historique d'Alfred de Vigny. L'oeuvre fut créée à l'Opéra-Comique le 5 avril 1877 dans sa forme d'opéra dialogué en 4 actes, avec un accueil mitigé : "Si elle n'ajoute rien à la gloire de Gounod, elle ne la diminue pas non plus." [12] avant d'être remaniée avec des récitatifs chantés et 5 actes. La nouvelle version fut créée à Lyon le 1er décembre 1877. L'oeuvre fut reprise en janvier 2015 à Münich, Vienne puis à l'Opéra royal de Versailles, avec notamment Charles Castronovo et Véronique Gens sous la direction d'Ulf Schirmer, puis par l'Opéra de Leipzig en mai 2017, sous la direction de David Reiland. Deux airs de l'opéra figurent parfois dans les récitals : 'Nuit resplendissante' (Princesse Marie de Gonzague) et 'O chère et vivante image' (Cinq-Mars).


Il est également l’auteur des œuvres suivantes :



  • deux symphonies (1855) : Symphonie nº 1 en ré majeur et Symphonie nº 2 en mi bémol majeur, et une Petite symphonie pour neuf instruments à vent (1885) ;

  • cinq quatuors à cordes ;


  • Ave Maria, dérivé du premier prélude du Clavier bien tempéré de Bach (non destiné à être interprété dans une église) ; Noël, sur un poème de Jules Barbier ; Marche funèbre d'une marionnette pour piano (1872) ; Marche pontificale (1869) pour orchestre et cuivres, devenue l’hymne national officiel du Vatican en 1949[13].

  • de nombreuses mélodies sur des poèmes d'Alfred de Musset, d'Alphonse de Lamartine, Jean-Antoine de Baïf ou Jean Racine, tels que : Venise, Le Soir, Ô ma belle rebelle, D’un cœur qui t’aime, ou L’Absent dont il a écrit lui-même les paroles.

  • un Requiem en ut majeur, pour chœur et orchestre (œuvre posthume).



Liste des œuvres |









































































































































































































































Période
Titre
Représentation
Type
Détails

Opéras et musiques de scène

1851

Sapho

Opéra

opéra en 3 actes
Livret d'Émile Augier. Nouvelle version en 5 actes créée à l'Opéra Garnier en 1884.

1852

Ulysse

Théâtre-Français

musique de scène
Tragédie en 5 actes de François Ponsard

1854

La Nonne sanglante

Opéra Le Peletier

opéra en 5 actes
Livret d'Eugène Scribe et Germain Delavigne

1858

Le Médecin malgré lui

Théâtre-Lyrique

opéra-comique en 3 actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré, d'après la pièce-homonyme de Molière.

1859

Faust

Théâtre-Lyrique

opéra en 5 actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après la pièce de Goethe. Il eut près de 200 représentations avant d'être repris, augmenté d'un ballet, en 1869 à l'Opéra Le Peletier (Paris), puis à l'Opéra Garnier où il atteignit sa 500e représentation en 1887.

1860

La Colombe

Baden-Baden

opéra-comique en un acte
Livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après Le Faucon de Jean de La Fontaine. Repris dans une version en deux actes à l'Opéra-Comique en 1866.

1860

Philémon et Baucis

Théâtre-Lyrique

opéra-comique en 3 actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après la fable-homonyme de La Fontaine. Ramené à deux actes en 1876.

1862

La Reine de Saba

Opéra Le Peletier

opéra en quatre actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré.

1864

Mireille

Théâtre-Lyrique

opéra en 5 actes
Livret de Michel Carré d'après le poème provençal de Frédéric Mistral

1867

Roméo et Juliette

Théâtre-Lyrique

opéra en cinq actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré. Après une centaine de représentations, il fut monté dans les capitales belge et autrichienne et demeure à l'affiche des grandes scènes lyrique mondiales.

1872

Les Deux Reines de France

salle Ventadour

musique de scène
Drame en quatre actes d'Ernest Legouvé

1873

Jeanne d'Arc

Gaîté

musique de scène
Drame en 5 actes de Jules Barbier

1877

Cinq-Mars (en)

Opéra-Comique

opéra en 4 actes
Livret de Paul Poirson et Louis Gallet, d'après le roman d'Alfred de Vigny

1878

Polyeucte

Opéra Garnier

opéra en 5 actes
livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après le drame-homonyme de Pierre Corneille

1881

Le Tribut de Zamora (en)

Opéra Garnier

opéra en 5 actes
livre d'Adolphe d'Ennery et Jules Brésil

1893

Les Drames sacrés

Théâtre du Vaudeville

musique de scène
poème dramatique en un prologue et 10 tableaux, en vers, d'Armand Silvestre et Eugène Morand

Musiques religieuses, instrumentales, symphoniques et vocales
1842

Requiem en ré mineur
1853

Messe à 3 voix en ut mineur « Aux Orphéonistes »
1854

Tobie (oratorio)
1855

Messe solennelle en l'honneur de sainte Cécile et deux symphonies

Les Sept Paroles de N.S. Jésus-Christ sur la Croix (pour chœur à 4 voix mixtes)


1862

Messe à 4 voix d'hommes en sol majeur « pour les Sociétés chorales »
1873

Messe « Angeli Custodes »
1873

Messe brève pour les morts
1875

Requiem en fa majeur
1876

Cantate pour la fête du T-C Frère Libanos[14]
1876

Messe solennelle du Sacré Cœur
1876

Messe à la congrégation des Dames auxiliatrices, en ut majeur (messe no 4). Pour 2 voix égales, orgue ou harmonium [révisée vers 1890, par Gounod ?, comme Messe brève no 7, dite « aux chapelles », pour chœur mixte à 4 voix avec parties pour voix solistes]
1882

La Rédemption (oratorio pour soli, chœur et orchestre, exécuté pour la première fois au festival de Birmingham en 1882)
1883

Messe solennelle de Pâques
1885

Petite Symphonie, pour 9 instruments à vent
1885

Mors et Vita (oratorio pour soli, chœur et orchestre, exécuté pour la première fois au festival de Birmingham en 1885)
1887

Messe à la mémoire de Jeanne d'Arc
1888

Messe chorale sur l'intonation de la liturgie catholique
1888

Messe de saint Jean
1891

Saint François d'Assise [Oratorio]
1891

Messe des morts [Requiem] en ut majeur
1895

Messe dite « de Clovis »


Morceaux de musique patriotique


La Statue de la Liberté , cantate créée à l'Opéra de Paris au profit de la souscription pour l'érection de l'œuvre de Bartholdi)

Nombreuses mélodies pour chant et piano, sur des paroles françaises, italiennes ou anglaises qui furent éditées à Paris et à Londres[15]. Citons : Sérénade de Victor Hugo, Le soir d'Alphonse de Lamartine, Venise d'Alfred de Musset.

Ouvrages littéraires
1890

Le Don Juan de Mozart
1896

Mémoires d'un artiste
1875

Autobiographie de C. Gounod sur la routine en matière d'art (Londres) : ouvrage d'études esthétiques sur la musique, la critique, le public et la propriété des auteurs.


Hommages |


Une ville d'Algérie, créée en 1899 dans le département de Constantine au sud de Guelma a porté son nom : Gounod. Elle est aujourd'hui appelée Aïn Larbi. Des collèges de Saint-Cloud et Canteleu portent son nom. Toutes les grandes villes de France (Paris, Bordeaux, Toulouse, Nantes, Grenoble, Montpellier…) ont une rue à son nom.



Portraits |


Dessins


  • Ingres, Rome, 1841, The Art Institute, Department of Prints and Drawings, Chicago.

Peintures



  • Charles Octave Blanchard, Rome, 1841, musée de la vie romantique, Hôtel Scheffer-Renan, Paris.


  • Ary Scheffer, Paris, vers 1858 (?), château de Versailles


  • Eugen Felix, 1872.



Notes et références |





  1. Actuellement Hauts-de-Seine.


  2. Extrait du registre d'état civil du 11e arrondissement de Paris (1818) : « L'an mil huit cent dix-huit, le dix-huitième jour du mois de juin, trois heures de relevée. Par devant nous, Antoine-Marie Fieffé, adjoint à M. le maire du onzième arrondissement, faisant fonctions d'officier de l'état-civil, est comparu François-Louis Gounod, peintre âgé de soixante ans, demeurant à Paris, place Saint-André-des-Arts, no 11, quartier de l'École de Médecine, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né d'hier quatre heures du matin, susdite demeure, de lui déclarant et de Victoire Lemachois, son épouse, mariés à Rouen (Seine-Inférieure) il y a douze [ans] environ, auquel enfant il a déclaré vouloir donner les prénoms de Charles-François. Lesdites déclaration et présentation faites en présence de Nicolas Fleury, coëffeur, âgé de cinquante ans, demeurant même maison, premier témoin, et de Michel Waizenegger, tailleur, âgé de quarante-six ans, demeurant susdite demeure, second témoin. Et ont les père et témoins signé avec nous le présent acte de naissance après lecture. Signé : Gounod, Fleury, Waizenegger, Fieffé. » Le registre a disparu lors des incendies de la Commune de Paris de 1871 mais il est cité dans Gounod (1818-1893), sa vie et ses œuvres, d'après des documents inédits, p. 43.


  3. D'après G. Lenotre, Les Tuileries, page 69, François-Louis Gounod était le fils d'un fourbisseur du roi, logé aux Tuileries.


  4. Collections du musée de la vie romantique).


  5. « Sapho : opéra en 3 actes : [Partition chant et piano] », sur Bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le 3 mars 2018).


  6. Paul Scudo, « Revue musicale : La Reine de Saba », Revue des deux mondes,‎ 15 mars 1862, p. 506 et suiv. (lire en ligne)


  7. Camille Belaigue, « Charles Gounod », Revue des deux mondes,‎ 1895, p. 795 (lire en ligne)


  8. « Charles Gounod : Masses, requiem », sur www.charles-gounod.com, 4 novembre 17(consulté le 4 novembre 2017).


  9. Jean-Yves Dana, « Mina Tindle, des reflets dans une voix d’or », La Croix, 6 juin 2012.


  10. Frédérique Charlot, « Mina Tindle : To carry many talents », Standardsandmore.fr, 12 mars 2012.


  11. « Charles Gounod », dans Figures contemporaines tirées de l'album Mariani, 1894 disponible sur Gallica


  12. La Comedie no. 18 ; cité dans Steven Huebner : " Les opéras de Gounod ", p.92


  13. Hymne du Vatican.


  14. Directeur du Pensionnat de Passy de 1855 à 1883.


  15. Liste des chants avec les paroles.




Voir aussi |



Articles connexes |


Inno e Marcia Pontificale



Bibliographie |



  • Gérard Condé, Charles Gounod, biographie et catalogue complet, Fayard, 2009.


  • Joël-Marie Fauquet (direction) (préf. Joël-Marie Fauquet), Dictionnaire de la Musique en France au XIXe siècle, Paris, Fayard, 2003, 1405 p. (ISBN 2-213-59316-7), p. 523.


  • Yves Bruley, Charles Gounod, Bleu nuit éditeur, coll. « Horizons », 2015, 176 p. (ISBN 978-2-35884-044-6).



Liens externes |


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  • Site consacré à Gounod


  • La musique religieuse de Gounod sur Musica et Memoria


  • (de) Publications de et sur Charles Gounod dans le catalogue en ligne de la Bibliothèque nationale allemande (DNB).



Partitions |




  • Partitions libres de Charles Gounod sur l'International Music Score Library Project


  • Partitions libres de Charles Gounod dans Choral Public Domain Library (ChoralWiki)


  • Partitions sur Cantorion.org.


  • Partitions sur le projet Mutopia


  • Quelques partitions, dont Polyeucte, version chant et piano sur le site de l'université de Rochester


  • Six préludes et fugues pour piano (+ Gavotte pour piano + 15 études préparatoires à Bach d'Alexis Chauvet), éd. Jean-Philippe Navarre, Les Presses du Collège musical, 2016 (ISMN 979-0-707101-01-8).




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