Garde du corps du roi





















































Gardes-du-Corps du Roi

Image illustrative de l’article Garde du corps du roi
Gardes-du-Corps du Roi
Capitaine (1820)

Création
1423
Dissolution
1830
Pays

Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau du royaume de France Royaume de France
Royaume de France Royaume de France
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Branche

Cavalerie
Type

Garde royale
Fait partie de

Maison militaire du roi de France
Composée de

1re compagnie (Cie écossaise)
2e compagnie (1re Cie française)
3e compagnie (2e Cie française)
4e compagnie (3e Cie française)
Musique
Surnom
Maison bleue
Couleurs
Bleu, rouge
Devise

« Erit haec quoque cognita monstris »
« Nec pluribus impar »

Les Gardes-du-Corps du Roi sont une unité de cavalerie de la Maison militaire du Roi de France, sous l'Ancien Régime et la Restauration française.




Sommaire






  • 1 Histoire


  • 2 Le recrutement et les fonctions


  • 3 Privilèges


  • 4 Quartiers


  • 5 Insignes


  • 6 Combats et batailles


  • 7 Organisation


    • 7.1 1re compagnie (Cie écossaise)


    • 7.2 2e compagnie (1re Cie française)


    • 7.3 3e compagnie (2e Cie française)


    • 7.4 4e compagnie (3e Cie française)


    • 7.5 5e compagnie (ex-gardes du corps de Monsieur)




  • 8 Personnalités ayant servi au sein des gardes du corps du roi


    • 8.1 Règne de Charles VII


    • 8.2 Règne de Charles IX


    • 8.3 Règne de Henri IV


    • 8.4 Règne de Louis XIV


    • 8.5 Règne de Louis XV


    • 8.6 Règne de Louis XVI


    • 8.7 Règne de Louis XVIII


    • 8.8 Règne de Charles X




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références




  • 10 Annexes


    • 10.1 Bibliographie


    • 10.2 Articles connexes


    • 10.3 Liens externes







Histoire |


La première unité des gardes du corps est la garde écossaise créée par le roi Charles VII vers 1423. Cette unité est composée de soldats écossais portant le titre d’archers du corps du roi. Le terme d'archer désigne à l'époque un cavalier légèrement armé, à la différence des gens d'armes ou cavaliers cuirassés. Louis XI adjoignit à cette garde deux compagnies d'archers français. Une quatrième compagnie est créée par François Ier en 1515. Dès cette époque, la compagnie écossaise compte plus de Français que d'Écossais.


Les quatre compagnies de gardes du corps — ce terme supplantant au XVIe siècle celui d'archer du corps — n'ont toutefois aucun lien entre elles. Elles sont dirigées par des capitaines différents, souvent de haut rang. La compagnie écossaise est ainsi souvent commandée par des membres de la famille royale d'Écosse, les compagnies françaises par des maréchaux de France. En 1664, Louis XIV dote les gardes du corps d'un état-major commun.


Les gardes du corps sont supprimés en 1791. Nombre d'entre eux participent à la contre-révolution. Le corps est rétabli en 1814, mais définitivement supprimé en 1830.



Le recrutement et les fonctions |


Benoît Defauconpret dans son ouvrage Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle dit ceci : « Le recrutement des gardes du corps se fait très majoritairement par cooptation, les candidats étant présentés par des officiers, bas officiers ou gardes de la compagnie. Il faut être né sujet du roi, ancien catholique, de bonnes mœurs, bien fait et mesurant au moins cinq pieds cinq pouces. La solde ne suffit pas à l'entretien, et il faut disposer de quelques revenus. (...). Un garde du corps ne peut servir auprès du roi avant d'avoir un an de réception et de service au quartier. »[1]


Les gardes du corps - vêtus de bleu, veste, culotte et bas rouges, le tout galonné d'argent - « servaient par quartiers, et pendant leurs trois mois (...) passaient alternativement une semaine au château, une à l'hôtel pour les chasses, et la troisième où ils voulaient. Ainsi, cent gardes du corps et quelques centaines de Suisses formaient toute la défense du palais ». Leur service consistait « à monter la garde aux portes des appartements, à prendre les armes quand les princes passaient, à garnir la chapelle pendant la messe et à escorter les dîners de la famille royale ». Ils sont la protection rapprochée du prince[2].

Avec les Cent-Suisses, les gardes du corps veillent sur le roi à l'intérieur de son palais. Ils assurent la garde des portes du palais la nuit. Dans un déplacement ou une bataille, ils se tiennent à la droite du souverain.


Dans la compagnie écossaise sont choisis vingt-quatre gardes parmi les plus anciens, qui portent le titre de « gardes de la manche ». Ils sont chargés d'escorter la personne du roi en permanence. Parmi les gardes de la manche, on distingue encore six « gardes écossais », chargés des mêmes fonctions lors de cérémonies exceptionnelles telles que sacre ou mariage. Les gardes de la manche se distinguent par le port d'un hoqueton, sorte de casaque blanche brodée d'or portée par-dessus leur uniforme. Ils assurent également la garde du corps du souverain défunt et sa mise en bière.



Privilèges |


Les gardes du roi occupent le premier rang de la Maison militaire du roi, devant les chevau-légers et les gendarmes de la Garde.


De par leur place près du roi, l'accès aux compagnies de gardes du corps est un privilège envié. Jusqu'au règne de Louis XIV, les places de gardes du corps sont vendues par les capitaines des quatre compagnies. Le roi-soleil met fin à ce privilège en 1664. Il s'attache à faire des gardes du corps une troupe d'élite en y intégrant les meilleurs éléments des régiments de cavalerie de ligne. Les gardes bénéficient de privilèges de noblesse à titre viager. Le rang de garde du corps équivaut à celui de sous-lieutenant de cavalerie et au bout de 15 à 20 ans de service à celui de capitaine de cavalerie.



Quartiers |


À Versailles, les gardes du corps du roi sont logés entre la rue de l'Orangerie et l'avenue de Sceaux. Ils ont également des garnisons à l'extérieur de Versailles : Saint-Germain, Chartres et Beauvais.



Insignes |


Les gardes portent un habit bleu sur une veste, des culottes et des bas rouges. Cet uniforme leur vaut le surnom de « Maison bleue du roi ». Ils sont en effet l'un des seuls corps de la maison militaire du roi de France à porter le bleu comme couleur principale.


Les gardes du corps du roi ont d'abord pour devise Erit haec quoque cognita monstris (On les reconnaîtra, eux aussi, à leurs actions d'éclat), puis au temps du roi Louis XIV, Nec pluribus impar (À nul comparable (le soleil)).


Sur leurs épées, on peut lire l'inscription : Vive le Roy.





Deux bâtons d'ébène à pomme d'ivoire en sautoir.


D'un point de vue héraldique, les capitaines, chefs de corps des compagnies, pouvaient poser leur écu sur deux bâtons d'ébène à pomme d'ivoire disposés en sautoir.



Combats et batailles |



  • 1740-1748 : Guerre de Succession d'Autriche


  • 11 mai 1745 : Ordre de bataille lors de la bataille de Fontenoy



Organisation |


Le nombre de gardes du corps augmente entre le règne de François Ier et celui de Louis XIV de 400 à 1 600 hommes. Au XVIIIe siècle, l'effectif se stabilise autour de 1 500 hommes.


En 1737, chaque compagnie compte 320 hommes, organisés en deux escadrons et six brigades.



1re compagnie (Cie écossaise) |


Article connexe : Garde écossaise.











































1re compagnie

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Étendard de la 1re Cie française des Gardes du corps du roi

Création
1440
Dissolution
Licenciée le 11 août 1830
Pays

Royaume de France
Fait partie de
Corps des Gardes du corps du roi
Composée de
Gardes de la manche
Ancienne dénomination

Garde écossaise
Surnom

Cie écossaise
Couleurs
Blanc et or

Capitaines/Chefs de corps[3] :



  • 1440 : Robert Patilloch ;

  • 1449 : Mathieu d'Harcourt, sire de Rugny

  • 1455 : Claude de Châteauneuf (), garde du corps de Charles VII

  • 1456 : Michel de Beauvilliers (1462-1462), seigneur de La Ferte-Hubert, du Lude et de Thoury ;

  • 1462 : William Stuyers ;

  • 1466 : Thomas Stuyers ;

  • 1471 : Geffrey Coowran ;

  • 1473 : Robert Coningham ;

  • 1480 : Jean Coningham ;

  • 1495-1508 : Bérault Stuart (1452-1508), sire d'Aubigny ;


  • 15 août 1508-1512 : John Stewart ( † 1512), seigneur d'Henrichemont ;

  • 1512 : Robert Stewart (1570-1544), sire d'Aubigny, maréchal de France (1515) ;

  • 1514-1544 : Jean Stuart ( † 1551), sieur de Vézinnes et de Fontaine ;

  • 1544 : Jacques de Montgomery (vers 1485-1560), seigneur de Lorges ;

  • 1557 : Gabriel Ier de Montgommery (vers 1530-1574), seigneur de Lorges ;

  • 1559 : Jacques II de Montgommery ( † 1562), seigneur de Lorges ;

  • 1562-1563 : Jean d'O (vers 1510-vers 1578), seigneur de Maillebois ;

  • 1563-1569 : Jean de Losse, écuyer, seigneur de Bannes[4] ;

  • 1569-1599 : Joachim de Châteauvieux (1545-1615), gouverneur de la Bastille ;

  • 1599-1605 : Jean-Paul d'Esparbès de Lussan ( † 1616), seigneur de La Serre, chevalier du Saint-Esprit ;

  • 1605-1611 : Antoine-Arnaud de Pardaillan de Gondrin (1562-1624), marquis de Montespan, chevalier du Saint-Esprit ;

  • 1611-1612 : Philibert de Nerestang ( † 1620), marquis de Nerestang ;

  • 1612-1616 : Charles d'Estournel, seigneur de Blainville ;

  • 1616-1623 : Charles de La Vieuville (1583-1653), marquis de de La Vieuville ;

  • 1623-1642 : Guillaume de Simiane ( † 1642), marquis de Gordes (février 1615), chevalier du Saint-Esprit ;

  • 1642-1642 : François de Simiane (vers 1622-1680), marquis de Gordes, fils du précédent ;

  • 1642-1651 : François, vicomte de Rochechouart (1611-1696), comte de Limoges (1661), marquis de Chandenier

  • 1651 : Anne de Noailles (1620-1678), 1er duc de Noailles ;

  • 1678 : Anne-Jules de Noailles (1650-1708), comte d'Ayen, 2e duc de Noailles, maréchal de France (1693), fils du précédent ;

  • 1707 : Adrien Maurice de Noailles (1678-1766), 3e duc de Noailles, maréchal de France (1734), fils du précédent ;

  • 1731 : Louis de Noailles (1713-1793), 1er duc d'Ayen, 4e duc de Noailles, maréchal de France (1775), fils du précédent ;

  • 1758-1791 : Jean-Louis-Paul-François de Noailles (1739-1824), 2e duc d'Ayen, 5e duc de Noailles, fils du précédent ;

  • 1814-1825 : Joseph-Anne-Maximilien de Croÿ d'Havré (1744-1839) : se démet de sa fonction en 1825, mais en conserva les honneurs ;

  • 1825-1830 : Emmanuel-Marie-Maximilien de Croÿ-Solre (1768-1848)



2e compagnie (1re Cie française) |
















































2e compagnie

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Étendard de la 1re Cie française des Gardes du corps du roi

Création

4 septembre 1474/ 1515
Dissolution
11 août 1830
Pays

Royaume de France
Fait partie de
Corps des Gardes du corps du roi
Garnison

Coulommiers
Ancienne dénomination

Gentilshommes à bec de corbin
Surnom
Cent archers
1re Cie française
Couleurs
Vert et or
Commandant historique

Hector de Galard

Louis XI, par édit du 4 septembre 1474, avait institué pour la garde de son corps (c’est au roi que l'on doit dénomination singulière) une compagnie de 100 hommes d’armes français, sous le commandement d’Hector de Galard. Cette troupe fut longtemps connue sous le sobriquet de « gentilshommes au bec de corbin », parce qu’ils portaient, dans le service, une hache équilibrée sur son manche par une pointe recourbée.


Chacun de ces gentilshommes devait entretenir à ses frais deux archers. En vertu de lettres patentes données à Rouen le 10 juin 1475, le roi dispensa ces gentilshommes de l’entretien des archers ; il prit ceux-ci à sa solde et en forma une compagnie particulière dont il confia le commandement à Jean Blosset, seigneur du Plessis-Pâté.


Cette compagnie des archers s’appelait « la petite garde du roi », pour la distinguer de la 1re compagnie (garde écossaise) que l’on désignait officiellement sous le titre de « Cent lances des gentilshommes de l’hôtel du roy », ordonnés pour la grande garde de son corps, c'est-à-dire de son escorte.


La petite garde servait aussi bien à pied qu’à cheval, c'est-à-dire dans les appartements et dans l’intimité du roi.


C’est cette petite garde, transformée par François Ier en compagnie de 100 hommes d’armes, qui est devenue en 1515, la 1re compagnie française des gardes du corps. Cette compagnie s’est distinguée des autres, à partir du règne de Louis XIV, par la couleur bleue de ses étendards, bandoulières, banderoles et équipages.


Elle avait ses quartiers ordinaires à Coulommiers et servait à Versailles le quartier d’avril.


Capitaines/Chefs de corps[3] :



  • 1474 : Hector de Galard de Brassac (1415-1475), chambellan de Louis XI ;


  • 10 juillet 1475 : Jean Blosset du Plessis-Pâté († avant 1500), baron de Torcy ;


  • 18 janvier 1477 : Hervé de Chalnay ;

  • 1482 : Jacques de Silly (1450-1503), seigneur de Launay et de Vaulx, chambellan de Charles VIII, bailli et capitaine de Caen, grand maître de l'artillerie de France ;

  • 1482 : Jacques Ier de Crussol, vicomte d'Uzès ;

  • 1524 : Louis II Mitte de Miolans († 1529), seigneur de Chevrières, sénéchal du Bourbonnais (1525), et bailli de Gévaudan (1528) ;

  • 1530 : Antoine de Raffin, seigneur de Puycalvary, de Beaucaire et d'Azay-le-Rideau, gouverneur des enfants de France, gouverneur de Cherbourg, de Marmande et La Sauvetat ;

  • 1551 : Louis de Talaru, seigneur de Chalmazel.


  • 27 décembre 1570 : Eustache de Conflans, vicomte d'Ouchy (vers 1526-1574), gouverneur de Saint-Quentin, chevalier de l'ordre du roi, se distingue à la retraite de Meaux et à la bataille de Saint-Denis où il servait comme maréchal général des camps et armées du roi.


  • septembre 1574 : Nicolas d'Angennes (1533-1611), marquis de Rambouillet, vidame vidame du Mans, chevalier des ordres du Roi.

  • 1580 : Jean d'O, seigneur de Manou, chevalier des ordres du Roi.


  • 28 juillet 1595 : Louis de L'Hospital († 1611), marquis de Vitry, chevalier des ordres du Roi.


  • 11 janvier 1611 : Nicolas de L'Hospital, marquis de Vitry, fils du précédent.


  • 26 avril 1617 : François de L'Hospital, marquis du Hallier, frère du précédent.


  • 2 octobre 1631 : Charles de Lévis, comte de Charlus (1600-1662), marquis de Château-Renault.


  • 1er juin 1634 : Louis de Béthune (1605-1681), 1er duc de Chârost (1672), capitaine des gardes du corps du roi, maréchal des camps et armées du roi, lieutenant-général des ville et citadelle de Calais, chevalier des ordres du roi


  • 17 août 1648 : René du Plessis, marquis de Jarzé (1613-1676), le Beau Jarzé.


  • 9 novembre 1649 : Louis de Béthune (1605-1681), 1er duc de Chârost.

  • 1663 : Louis Armand de Béthune (1640-1717), fils du précédent, 2e duc de Chârost, chevalier des ordres du roi.


  • 1er avril 1672 : Jacques-Henri de Durfort (1652-1704), duc de Duras, maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit.


  • 10 décembre 1704 : Louis François de Boufflers (1644-1711), duc de Boufflers.


  • 21 octobre 1711 : Armand Ier de Béthune (1663-1747), 3e duc de Chârost, baron d'Ancenis[note 1].


  • 23 octobre 1747 : Paul François de Béthune (1682-1759), fils du précédent, 4e duc de Chârost.


  • 1er mai 1756 : Gaston-Pierre de Lévis-Mirepoix (1699-1757), duc de Mirepoix.


  • 11 novembre 1757 : Charles-Juste de Beauvau-Craon (1720-1793), prince de Beauvau.


  • 22 février 1784 : Philippe-Louis de Noailles (1752-1819), prince de Poix, duc de Mouchy.


  • 5 août 1790 : Charles-Anne des Escotais (1772-1822), comte des Escotais



3e compagnie (2e Cie française) |








































3e compagnie

Image illustrative de l’article Garde du corps du roi
Étendard de la 2e Cie française des Gardes du corps du roi

Création
1479
Dissolution
11 août 1830
Pays

Royaume de France
Fait partie de
Corps des Gardes du corps du roi
Surnom

2e Cie française
Couleurs
Bleu et or
Commandant historique

Antoine VIII, duc de Gramont



François Potier (1612-1646), marquis de Gesvres


Louis XI, satisfait des services de ses « petits gardes » de la 1re Cie française, créa en 1479 une seconde compagnie semblable, et en donna le commandement à Claude de La Châtre.


Elle devint, comme la précédente, compagnie des gardes du corps au commencement du règne de François Ier.


Capitaines/Chefs de corps[3] :



  • 1479 : Claude de La Châtre (mort en 1499), seigneur de Nançay ;

  • 1490 : Abel de La Châtre (mort en 1496), fils cadet du précédent ;

  • 1499 : Gabriel de La Châtre (mort en 1538), baron de La Maisonfort, seigneur de Nançay, frère aîné du précédent ;

  • 1529 : Joachim de La Châtre (mort en 1546), baron de La Maisonfort, fils du précédent ;

  • 1549 : François, seigneur de La Ferté (mort en après 1564), gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi ;

  •  ???? : Gaspard de La Châtre (vers 1539-1576), seigneur de Nançay, fils de Joachim de La Châtre ;

  • 1580 : Charles de Balzac (vers 1565-1610), baron d’Entragues, surnommé « le bel Entraguet » (voir le duel des Mignons) ;

  • 1590 : François du Plessis, seigneur de Richelieu[5] (1548-1590), grand prévôt de France, conseiller d'État ;

  • 1590 : Charles de Choiseul, marquis de Praslin (1563-1626), maréchal de France ;


  • 18 janvier 1611[6] : René Potier (1579-1670), duc de Tresmes (en)


  • 12 décembre 1635 : Louis Potier (1612-1645), marquis de Gesvres, fils du précédent


  • 10 août 1643 : François Potier (1612-1646), marquis de Gesvres, frère du précédent ;

  • 1646 : Léon Potier (vers 1620-1704), duc de Gesvres, frère du précédent ;


Lauzun, qui perdit, en 1669, la charge de colonel général des dragons, reçut celle de capitaine de cette compagnie, grâce à l'appui (ou la passion que lui vouait) de Mlle de Montpensier qui, non seulement obtint l’agrément du roi, mais paya cette charge 750 000 livres au duc de Gesvres.


  • 1646 : Antonin Nompar de Caumont (1633-1723) duc de Lauzun ;

  • 1673 : François-Henri de Montmorency (1628-1695), duc de Piney, maréchal de France ;

  • 1693 : François de Neufville (1664-1730), duc de Villeroy, maréchal de France, fils du précédent ;

  • 1708 : Louis Nicolas de Neufville (1663-1734), duc de Villeroy, fils du précédent ;

  • 1734 : Louis François Anne de Neufville (1695-1766), duc de Villeroy, fils du précédent ;

  • 1758 : Gabriel Louis François de Neufville (1731-1794), duc de Villeroy, neveu du précédent ;

  • 1791-1830 : Antoine VIII, duc de Gramont (1755-1836), neveu du précédent.



4e compagnie (3e Cie française) |








































4e compagnie

Image illustrative de l’article Garde du corps du roi
Étendard de la 4e Cie française des Gardes du corps du roi

Création
1515/1545
Dissolution
11 août 1830
Pays

Royaume de France
Fait partie de
Corps des Gardes du corps du roi
Garnison

Dreux
Surnom

3e Cie française
Couleurs
Or



Garde du corps - l'uniforme de la 4e compagnie en 1786.


À son avènement à la couronne, François Ier possédait une compagnie des ordonnances qui était commandée par un capitaine-lieutenant, Raoul de Vernon, seigneur de Montreuilbouyn. Il avait aussi une garde personnelle commandée par Louis Leroy de Chavigny.
Souhaitant disposer de cinq compagnies des gardes du corps, toutes organisées sur le pied de la compagnie écossaise, il transforma donc en 1515, comme on l’a dit pluis haut, les deux compagnies d’archers de la petite garde de Louis XI, et en ajouta deux autres formés avec ses gardes personnelles et avec des détachements de compagnies d’archers de Crussol et de La Chatre.


En 1545, il remania l’organisation des gardes du corps, et il n’en conserva que 4 compagnies. La 4e compagnie avait ses étendards, bandoulières et équipages de couleur jaune. Elle faisait le service à la cour du 1er octobre au 31 décembre, et était habituellement casernée à Dreux.


Capitaines/Chefs de corps :



  • 1553 : Louis d'Humières, sieur de Contay.

  • 1557 : Philippe de Maillé, seigneur de Brézé, vicomte de Verneuil.

  • 1575 : Nicolas de La Haulle, seigneur de Grémonville.

  • 1592 : Jacques Nompar de Caumont, duc de La Force.


  • 23 novembre 1632-1651 : Antoine d'Aumont de Rochebaron, duc d'Aumont, marquis de Villequier, capitaine des gardes du corps de Louis XIII ;


  • 3 juin 1651-1669 : Louis Marie Victor d'Aumont de Rochebaron, duc d'Aumont, marquis de Villequier, capitaine des gardes du corps de Louis XIV ;


  • 10 mars 1669-1675 : Henri Louis d'Aloigny, marquis de Rochefort, capitaine des gardes du corps de Louis XIV ;

  • 1676-1696 : Guy Aldonce II de Durfort, comte de Lorges, duc de Quintin (dit « duc de Lorges »), maréchal de France en 1676 ;

  • 1696-1702 : Guy Nicolas de Durfort, duc de Lorges ;

  • 1703-1718 : Henry d'Harcourt, duc d'Harcourt ;

  • 1718-1750 : François d'Harcourt, duc d'Harcourt ;

  • 1750-1764 : Charles II Frédéric de Montmorency, duc de Piney-Luxembourg ;

  • 1764-1784 : Charles François Christian de Montmorency-Luxembourg, prince de Tingry.

  • 1784-1790 : Anne Paul Emmanuel Sigismond de Montmorency-Luxembourg, prince de Luxembourg.

  • 1790-1790 : Anne Christian de Montmorency-Luxembourg, 2e duc de Beaumont.


  • 1er novembre 1815 : Pierre Louis François Paultre de Lamotte (1774-1840), maréchal de camp, commandant de la 4e compagnie des gardes du corps (Luxembourg).



5e compagnie (ex-gardes du corps de Monsieur) |


La Restauration française rétablit les compagnies de gardes du corps, par ordonnances des 15 juin 1814 et 1er septembre 1815 (elles furent licenciées le 11 août 1830).




Officier des gardes du corps de Monsieur, frère du Roi, École française, XIXe siècle.


Le comte de Provence et le comte d’Artois avaient deux compagnies de gardes du corps (celle de Provence avaient été créées en 1771 et celles d'Artois en 1773), qui ont été supprimées le 17 mars 1788, sans laisser d’autres traces dans l’histoire que les noms de leurs capitaines et la description de leurs uniformes :


  • Les compagnies de Monsieur avaient l’habit entièrement bleu, et la culotte et les bas rouges :


  1. La 1re se distinguait par la bandoulière et l’équipage[précision nécessaire]aurore, et fut successivement commandée par deux Lévis

  2. La 2e eut la bandoulière et l’équipage en violet et avait pour capitaine le comte de Chabrillan.


  • Les compagnies du comte d’Artois portaient l’habit vert-saxe, avec le collet, les parements, la doublure, la culotte et les bas cramoisis.


  1. La 1re, commandée par le prince d'Hénin avait la bandoulière et l’équipage bleu céleste.

  2. La 2e, commandée par le chevalier de Crussol, les avait de couleur rose.


Les deux compagnies du comte d’Artois ont reparu pendant le règne de Louis XVIII. À la mort de Louis XVIII (1824), la compagnie des gardes du corps S.A.R. Monsieur, frère du roi (Charles Philippe, comte d'Artois) devient la 5e compagnie des gardes du corps de S. M. Charles X


Capitaines/Chefs de corps :



  • 1821-1828 : Charles François Riffardeau de Rivière (1763-1828)


Personnalités ayant servi au sein des gardes du corps du roi |



Règne de Charles VII |


  • Étienne Pellorde ou Pelourde (mort après 1462), écuyer de la garde du roi, échanson du Roy, capitaine de la grosse tour de Bourges


Règne de Charles IX |


  • Gaspard de La Châtre (1539 - 1576), seigneur de Nançay, qui protégea Marguerite de Valois lors de la Saint-Barthélémy[7]


Règne de Henri IV |




  • Jérôme du Buisson (mort en 1622), écuyer, seigneur de La Marsaudière, garde du corps du roi (1602, 1610-1615, 2e compagnie), fauconnier du roi (chef du vol pour Corneille de la grande fauconnerie du roi (1605-1615)), conseiller du roi en ses conseils d'État et privé et son ambassadeur en Angleterre

  • Antoine Grimoard de Beauvoir, baron du Roure (mort en 1622), baron de Banne et de Grisac, capitaine de cent hommes d'armes, lieutenant de la Garde écossaise, lieutenant des Gardes du corps du roi (compagnie écossaise)

  • Jean II de Mazelière, seigneur de Douazan et de Nazareth, capitaine exempt des gardes du corps du roi

  • Gabriel Anselmet, écuyer, seigneur des Bruneaux, capitaine-exempt des gardes du corps de Sa Majesté et gentilhomme ordinaire de sa chambre, chevalier de l'ordre du roi



Règne de Louis XIV |




  • Charles Joseph d'Ailleboust, sieur des Musseaux (1621-1700), garde du corps du Roi (avant 1648), commandant de Montréal en Canada, juge civil et criminel


  • Antoine de Montlezun (mort en 1715), baron de Viane, lieutenant des gardes du corps (à la Cie de Villequier en 1650), brigadier des armées du roi, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis


  • Michel Danican Philidor (1683-1723) timbalier des Gardes du corps du roi (1703), puis timbalier des Plaisirs du Roi


  • Louis de Forbin (1632-1684), reçu à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[réf. nécessaire], abbé commendataire de Preuilly (1678-1684), capitaine-lieutenant de la 1re compagnie des Mousquetaires du Roi, major-général des quatre compagnies des Gardes du Corps du roi


  • Gabriel de Monchy (1643 - tué le 25 juillet 1675 - à Gramshusen, lors de l'attaque de l'église tué d'un coup de mousquet à la tête), dit le comte d'Hocquincourt, exempt des garde du corps du roi (1671, Cie de Rochefort), commandant des Dragons de la Reine (1673) ;


  • Pierre de Voyer d'Argenson (1625-1709), vicomte de Mouzay, enseigne des Gardes du Corps du roi (1650), gouverneur de la Nouvelle-France (1658-1661)



Règne de Louis XV |




  • François-Emmanuel Guignard, comte de Saint-Priest (1735-1821), exempt des Gardes du Corps du roi


  • Étienne Guinot, marquis de Monconseil (1695-1701), lieutenant des Gardes du Corps du roi, lieutenant général des armées du Roi, inspecteur général d'infanterie, commandant de Colmar, introducteur des ambassadeurs


  • Louis Romain de Lastic, vicomte de Saint-Jal (1709-1785), aide-major des gardes du corps du roi (Cie de Villeroy), colonel, mestre de camps de cavalerie, chevalier de Saint-Louis




  • Charles de Riberolles (1752-1827).


    Charles de Riberolles de Beaucene (1752-1827), garde du corps des rois sous Louis XV et Louis XVI, châtelain de Ravel, chevalier de Saint-Louis



Règne de Louis XVI |




Lors du sacre de Louis XVI, gravure Charles Emmanuel Patas.




  • Alexandre-Joseph de Boisgelin (1770-1831), 2e marquis de Boisgelin (1827), garde du corps de Louis XVI en 1791, maréchal de camp, député (seconde Restauration) puis pair de France (1827-1830)


  • Antoine-Jean, vicomte d'Agoult (1750-1828), Aide-major-général des gardes du corps du roi, mousquetaire du Roi, lieutenant d'artillerie, colonel de la 3e légion de volontaires étrangers de la marine, lieutenant-général, gouverneur de Saint-Cloud, pair de France, chevalier du Saint-Esprit, officier de la Légion d'honneur, grand-croix de Saint-Louis, commandeur de Saint-Lazare et Notre-Dame du Mont-Carmel ;


  • Jean Antoine, comte d'Agoult (1753-1826), seigneur de Voreppe, garde du corps du roi, député de la noblesse du Dauphiné aux États généraux de 1789, officier de la Légion d'honneur


  • Louis Annibal de Saint-Michel d'Agoult (1747-1810), élève à l'École militaire de Paris (1756), lieutenant des Gardes du corps du roi (1776), maréchal de camp (1788) réformé en 1791, général d'Empire (général de brigade, 1806) ;


  • Jacques-Marie d'Astorg (1752-1822), sous-lieutenant de la Cie écossaise des Gardes du Corps du Roi, lieutenant-général des armées du roi (1815) ;


  • Charles Paul Nicolas de Barentin de Montchal (1737-1823), lieutenant des gardes du corps du roi, vicomte de Montchal, député aux États généraux de 1789, général de division (Premier Empire), commandant de dépôts de remonte (1809-1816), inspecteur général (1828)

  • Charles Griffon de Plenneville (1764-1802), sous-lieutenant des gardes du corps (Cie de Villeroy), seigneur de Plenneville, distingué lors de la campagne des princes.


  • Alexandre de Bauffremont (1773-1833), garde du Corps (1787, Cie de Noailles), pair de France.


  • François-Frédéric de Béon (1754-1802), Capitaine au régiment du roi, sous-lieutenant des Gardes du Corps du roi (1791, Cie de Luxembourg), émigré en août 1791, fut un des principaux chefs de l'armée royale à l'expédition de Quiberon (Hussards de la Légion de Béon),

  • François Pierre Gontier de Biran (1766-1824), dit Maine de Biran, garde du corps dans la Cie de Noailles en 1785, député, sous-préfet de Bergerac et philosophe, ainsi que son cousin François Gontier de Biran, dit Biran l'Amour[8] ;


  • Charles François de Bicqueley (1738-1814), écuyer, garde du corps du Roi dans la compagnie écossaise, mathématicien ;


  • Jean-Pascal Charles de Peyssard (1755-1808), seigneur de la petite Fouillousse, garde du corps dans la compagnie de Villeroy, député de la Dordogne à la Convention nationale (régicide)


  • Nicolas Ernault des Bruslys (1757-1809), garde du corps (1775, Cie de Noailles), général de division, adjoint à l'ambassade de Perse, Gouverneur de Bourbon (1806-1809)


  • Auguste Laget de Bardelin (1768-1852), lieutenant des gardes du corps du roi (1782, Cie de Gramont) ;


  • Jean-Antoine Marbot (1754-1800), capitaine des gardes du corps du Roy (avant 1782), puis administrateur de la Corrèze, député à l'assemblée législative, général de division, député élu deux fois président du Conseil des Anciens ;


  • Louis-Alexandre-Élysée de Monspey (1733-1822), 3e marquis de Monspey, colonel de cavalerie en 1770, exempt dans les gardes du corps du Roi (1766 (compagnie écossaise), lieutenant des gardes du corps (1780), lieutenant chef de brigade en 1791), maréchal de camp (1787), Honneurs de la Cour (1788), député aux États généraux de 1789, lieutenant-général, grand'croix de Saint-Louis


  • Alexandre Louis Joseph de Sainte-Aldegonde (1760-1844), sous-lieutenant au garde du corps du Roi (1791, Cie de Luxembourg), maréchal de camp (1814), lieutenant général (1815), pair de France (1827), membre du conseil général de l'Aisne, maire de Villequier-Aumont


  • Olivier de Saint-Georges de Vérac (1768-1858), garde du corps du roi (1783), maréchal de camp (Restauration), pair de France (1815)


  • Jean-Baptiste Bernard Viénot de Vaublanc, garde du corps du roi 1783, compagnie Villeroy. Membre du Conseil du Portugal (1808). Inspecteur en chef aux revues de la Grande Armée (1812).



Règne de Louis XVIII |




  • Bonabes Louis Victurnien Alexis, marquis de Rougé (1778-1839), Pair de France, colonel premier lieutenant français des Gardes à pied ordinaires du Corps du Roi.

  • Alexandre Théophile Courlet de Boulot (1793-1863), lieutenant de cavalerie sortant des gardes du corps, entré au 4° régiment des gardes d'honneur (juin 1813), brigadier (juillet 1813), fourrier (août 1813), maréchal des Logis chef (octobre 1813), garde du corps du roi (juin 1814). A accompagné le roi à Béthune.


  • Hippolyte de Barrau (1794-1863), saint-cyrien, garde du corps du roi, officier de cavalerie, fondateur et président d'une société savante, conseiller puis secrétaire général de préfecture, historien et généalogiste.


  • Joseph-Alexandre Berthier (1792-1849), sous-lieutenant, avec grade de major, dans la Cie de Wagram (on trouve aussi Cie de Noailles), maréchal de camp


  • Charles Louis de Chasseloup de La Motte (1792-1960), lieutenant des gardes du corps du roi en 1814, avant de passer aux cuirassiers d’Angoulème, qui après sa carrière militaire deviendra statisticien.

  • Pierre Jean-Baptiste Victor Chebrou de Lespinats (1802-1875), Officier de la Légion d’Honneur (1851), garde du corps du Roi, Cie du Luxembourg du 27 février 1818 au 30 septembre 1818, puis garde à pied avec rang de sous-lieutenant (27 février 1820), Campagne d’Espagne en 1823 aux Chasseurs à cheval de la Vienne, capitaine au 2e régiment de Grenadiers à cheval de la Garde Royale (1825-1828), chef d’escadron aux Cuirassiers d’Orléans (1842), Lieutenant-colonel aux services des remontes (1847).




Robert Claret de Fleurieu (1792-1847).



  • Robert Claret de Fleurieu (1792-1847), garde du corps du roi Louis XVIII (1814), lieutenant aux chasseurs à cheval de la Garde royale, comte de Fleurieu (héritier du titre de Charles Pierre Claret de Fleurieu qui n'avait que des filles)


  • Constantin de Dax, né en 1797, garde du corps du roi, lieutenant au 5e régiment de dragons stationné à Carcassonne, capitaine en 1824, officier supérieur des dragons de la Garde royale du roi, démissionnaire en 1830.


  • Alphonse de Lamartine (1790-1869), garde du corps (1814), poète, homme politique

  • Alexandre Louis de La Taille (1793-1875), Officier de la Légion d'Honneur (1814), brigadier des Gardes du Corps du Roi Louis XVIII, Cie du Luxembourg.


  • Paul de Lavenne de Choulot (1794-1864), garde du corps du roi Louis XVIII, paysagiste


  • Pierre Louis François Paultre de Lamotte (1774-1840), général de brigade, lieutenant dans la compagnie des gardes du corps de Luxembourg le 1er juin 1814

  • Charles Mathias Durant de La Pastellière (1779-1814), Capitaine de cavalerie dans l'armée de Stofflet, aide de camp du marquis de Grignon (1795, guerres de Vendée).

  • Jean-Marie de la Croix d'Azolette (1770-1842), garde du corps du roi, capitaine commandant la gendarmerie royal du département de la Loire, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis et de l'ordre royal de la Légion-d'Honneur, anobli par Louis XVIII (1815)[9]



Règne de Charles X |



  • Charles François Riffardeau de Rivière (1763-1828), capitaine des gardes de S. A. R. Monsieur, devenus, depuis la mort de Louis XVIII, 5e compagnie des gardes du corps de S. M. Charles X


Notes et références |



Notes |





  1. il reçoit la compagnie des gardes-du-corps (depuis Beauvau), par provisions du 3 décembre 1715 - voir de Courcelles, « Dictionnaire des généraux français », tome 2, p. 265.




Références |




  1. Benoît Defauconpret, Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle, page 116.


  2. Jean-François Solnon, La Cour de France, page 513.


  3. a b et cSusane 1874


  4. Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, Tome 17, p. 134


  5. Père des cardinaux de Richelieu


  6. Sur la démission du marquis de Praslin.


  7. Marguerite de Valois, Mémoires et lettres de Marguerite de Valois, Paris, Jules Renouard et C, 1842(gallica), p. Livre premier, p. 29 - 35


  8. Joseph Durieux, Le Périgord militaire. Gardes du corps du roi au XVIIIe siècle, 1921, p. 275-278 (lire en ligne)


  9. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, t. 13, Paris, Librairie Bachelin-Deflorenne, 1876, 490 p. (lire en ligne), p. 333-336



Annexes |


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Bibliographie |




  • de Courcelles, Dictionnaire historique et biographique des généraux français, vol. 2, (Paris), 1821, 487 p..

  • Charles Pierre Victor, comte Pajol (1812-1891), Les guerres sous Louis XV, vol. 7, Firmin-Didot et Cie, 1881(lire en ligne)

  • Lucien Mouillard, Régiments sous Louis XV : constitution de tus les corps de troupes à la solde de France pendant les guerres de succession à l'Empire et de sept ans, J. Dumaine, 1882, 120 p.

  • Joseph Durieux, Le Périgord militaire: Gardes du corps du Roi au XVIIIe siècle, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1918, tome 45 p. 112-125, p. 158-179, 1920, tome 47 p. 244-253, 1921, tome 48 p. 56-63, p. 106-111, p. 203-218, p. 269-279, p. 318-332, 1922, tome 49 p. 53-67

  • Léon de Forges de Parny, Les Gardes du corps du roi, imprimerie Devaye, Cannes, 1972

  • L. Funcken et F. Funcken, Encyclopédie des uniformes et des armes : L'Uniforme et les Armes des soldats de la guerre en dentelle : France, maison du roi et infanterie sous Louis XV et Louis XVI, Grande-Bretagne et Prusse, infanterie, 1700 à 1800, vol. 1, Casterman, 1975, 156 p.

  • J.-F. Labourdette, La Compagnie écossaise des gardes du corps du roi au XVIIIème siècle : recrutement et carrières, dans Histoire, économie & société, 1984, no 3-1, p. 95-122 (lire en ligne)

  • Chagniot, Jean, "Maison militaire du roi", Dictionnaire de l'Ancien régime, Lucien Bély dir., Paris, PUF, 1996


  • Grouvel, François, Histoire des Gardes du Corps du Roi pendant la Période Révolutionnaire, Coudoux, F.G.C. 1998

  • Barbiche, Bernard, Les Institutions de la monarchie française à l'époque moderne, Paris, PUF, 1999

  • O'Brien, David, '"Traditional virtues, Feudal ties and Royal Guards: The Culture of service in the Eighteen-century 'Maison Militaire du Roi'", French History, Vol.17, No.1, Oxford, Oxford University Press, 2003, p. 19-47

  • Bodinier, Gilbert, Les Gardes du corps de Louis XVI, Versailles, Service historique de l'armée de terre, Ed. Mémoire & Document, 2005


  • Drévillon, Hervé, L'Impôt du sang, Paris, Tallandier, 2005

  • Cont, Alessandro, Diplomazia, riflessioni politiche e sociabilità: l'Europa di Antonio Micheroux tra conservazione e rivoluzione (1783-1790), "Atti della Accademia Roveretana degli Agiati", ser. 9, vol. 5, A (2015), pp. 57-77: 71-73



Articles connexes |


  • Garde écossaise (France)


Liens externes |




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