Pujaudran





















































































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Pujaudran
L'église

Blason de Pujaudran
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Occitanie

Département

Gers

Arrondissement

Auch

Canton

L'Isle-Jourdain

Intercommunalité

Communauté de communes de la Gascogne Toulousaine

Maire
Mandat
Roger Heiniger
2014-2020

Code postal
32600

Code commune
32334
Démographie

Population
municipale
1 495 hab. (2016 en augmentation de 9,2 % par rapport à 2011)
Densité 86 hab./km2
Géographie

Coordonnées

43° 35′ 30″ nord, 1° 09′ 00″ est

Altitude
297 m
Min. 194 m
Max. 305 m

Superficie
17,41 km2
Localisation


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Pujaudran





Liens

Site web

Site officiel




Détail du clocher-mur.


Pujaudran (Pujaudran en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Hydrographie


    • 1.4 Relief et géologie


    • 1.5 Voies de communication et transports




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Administration municipale


    • 4.2 Rattachements administratifs et électoraux


    • 4.3 Tendances politiques et résultats


    • 4.4 Liste des maires




  • 5 Population et société


    • 5.1 Démographie


    • 5.2 Enseignement




  • 6 Économie


  • 7 Culture locale et patrimoine


    • 7.1 Lieux et monuments


    • 7.2 Personnalités liées à la commune


    • 7.3 Héraldique




  • 8 Vie pratique


    • 8.1 Culture


    • 8.2 Activités sportives




  • 9 Voir aussi


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


Commune de l'aire urbaine de Toulouse qui se trouve à 6 km de L'Isle-Jourdain et à une trentaine de kilomètres de Toulouse, juste après Léguevin sur la route d'Auch. La commune est limitrophe avec le département de la Haute-Garonne



Communes limitrophes |


Pujaudran est limitrophe de cinq autres communes dont trois dans le département de la Haute-Garonne.




Communes voisines.






















Communes limitrophes de Pujaudran[1]


Mérenvielle
(Haute-Garonne)


L'Isle-Jourdain
Pujaudran[1]
Léguevin
(Haute-Garonne)

Lias

Fontenilles
(Haute-Garonne)




Hydrographie |


La commune est arrosée par le Ruisseau de Saint-Blaise et le Ruisseau du Rieu Tord deux affluents du Courbet.



Relief et géologie |


La commune occupe la dernière terrasse de Garonne avant les coteaux de Gascogne. Son territoire se divise en une partie basse dite la Plaine et une partie haute qui comprend le village en lui-même. Une partie de la forêt de Bouconne est située sur la commune


La superficie de la commune est de 1 741 hectares ; son altitude varie de 194 à 297 mètres[2].



Voies de communication et transports |


Accès avec la route nationale 124 et par le train en gare de Brax-Léguevin ou en gare de L'Isle-Jourdain.



Toponymie |


Pujaudran est composé de puj variante occitane de puy qui dérive de podium, signifiant petite butte. Le village qui domine de 82 mètres la terrasse de Léguevin, justifie cette appellation. Audran pourrait être le nom d'un homme.
Ce dernier provenant du germanique Aldramn (vieux corbeaux) ou Aldric (vieux et puissant). Le village de Pujaudran se situe à une altitude de 297 mètres.



Histoire |


Au lieu-dit Pargamousques, à l'ouest du village, une première prospection signale un site gallo-romain. Un itinéraire datant de l'an 333 de notre ère reliant Bordeaux à Jérusalem traversait d'ouest en est la commune de Pujaudran. Le toponyme d'un lieu-dit pourrait être d'origine antique : Tellère, orthographié Teulères au XVIIe siècle, signifie lieu où se fabriquait la tuile. L'existence d'une tuilerie en ce point paraît d'autant plus vraisemblable que la marne y affleure.


Au XIe siècle, se développe le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle et Pujaudran se trouve être sur la via Tolosane qui reliait Arles à Puente la Reina (Espagne).


L'ordre des Antonins avait, à la fin du XIIIe siècle une commanderie avec église et hôpital à la limite des communes de Pujaudran et de l'Isle-Jourdain.


Dans un document datant de 1304 est mentionnée la présence de trois hôpitaux à Pujaudran : Saint-Jacques, Saint-Blaise-Sainte-Marie-Madeleine et Saint-Barthélemy. L'hôpital Saint-Blaise se trouvait au pied de la côte de Pujaudran.


Au lieu-dit Saint-Bretz, au sud-est du village, à 3 km environ du village actuel existait au haut Moyen Âge une paroisse. Il est probable que cette église fut l'église paroissiale et que son patron fut saint Brice, avant la construction de l'église actuelle. Au XVIIe siècle, lors de la reconstruction de l'église suite aux destructions dues aux guerres de religions, apparaît le nom de Sainte Pudentienne. Selon les termes du testament d'Anne de Capmas, l'église de Pujaudran et la chapelle Saint-Brice sont, au XVIIe siècle, deux édifices distincts. La fête patronale a lieu le 19 mai, le jour de la Sainte-Pudentienne.


Avec la Révolution de 1789, intervient la vente des biens du clergé et ce, par enchères, le 9 janvier 1791, à Toulouse.


Les vestiges d'une tuilerie qui a fonctionné jusqu'à la Première Guerre mondiale subsistent auprès de la route nationale 124, de nombreuses marnières l'alimentaient en matière première et la cuisson se faisait au bois.


Le moulin Baillet est désigné sur la carte d'état-major par « ancien moulin ». Sa construction remonterait à 1808. Le moulin de Chau daterait de 1825. En 1854, Pujaudran avait quatre moulins. Vers 1934, le moulin de Chau tournait encore, de même que le moulin de Peyrolières. Deux moulins ayant appartenu à monsieur Soulan, furent démolis en 1910.


À l'époque, on trouve : un charpentier, un charron, un chevrier, un boucher, un forgeron, un coiffeur, un bureau de tabac, un boulanger, un cordonnier, un épicier, un café, la mairie, l'école, l'église, le presbytère et une auberge relais.


En 1912 la commune avait une école de garçons et une école de filles. Dans sa séance du 17 octobre 1912, Justin Izard maire et son conseil municipal demandent qu'en raison d'une baisse des effectifs scolaires il n'y ait plus qu'une seule école mixte dirigée par une institutrice.


Au village, une très belle croix en fonte, consolidée d'arceaux en fer, de 1,50 m de hauteur repose sur un socle très important. Le 16 août, à la Saint-Roch, cette croix réunissait autour d'elle les hommes et les femmes de la campagne avec leurs troupeaux pour la bénédiction.


La paroisse de Pujaudran fait partie du diocèse d'Auch. Le clocher-mur de l'église porte trois cloches et deux clochetons sur les côtés et est dressé parallèlement à la nef, face au sud. Il semblerait que cette disposition ait été choisie pour éviter l'emprise au vent. Le 25 juillet 1982 a été classé parmi les monuments historiques.


Le 22 juillet 1983 ont également été classés les objets ci-après, conservés dans l'église de la commune : deux toiles de la fin du XVIIIe siècle, un plat de quête en cuivre du XVIe siècle, saint Brice évêque, ancien patron de l'église et sainte Pudentienne, patronne de l'église.



Politique et administration |



Administration municipale |


Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[3],[4].



Rattachements administratifs et électoraux |


Commune faisant partie de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine et du canton de L'Isle-Jourdain et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes des Coteaux de Gascogne.



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Gers.


Liste des maires |




























Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
2008
En cours
Roger Heiniger[5]

DVG
Retraité
2001
2008
René Périn
 
 

Les données manquantes sont à compléter.




Population et société |



Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[7].



En 2016, la commune comptait 1 495 habitants[Note 1], en augmentation de 9,2 % par rapport à 2011 (Gers : +0,94 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
454 456 530 522 580 661 681 684 635



























1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
609 661 582 618 634 577 573 547 540



























1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
530 478 412 385 364 358 342 327 353



























1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2016
344 422 660 816 898 1 167 1 298 1 423 1 495

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[9].)



Histogramme de l'évolution démographique










































Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années :

1968[10]

1975[10]

1982[10]

1990[10]

1999[10]

2006[11]

2009[12]

2013[13]
Rang de la commune dans le département
106
101
47
32
32
22
20
19
Nombre de communes du département
466
462
462
462
463
463
463
463



Enseignement |


Pujaudran fait partie de l'académie de Toulouse.


L'éducation est assurée sur la commune par une maternelle et une primaire[14].



Économie |


L'activité économique est relativement peu développée et la plupart des habitants ont une activité dans l'agglomération toulousaine voisine. La modernisation en cours de la RN 124 et la diminution du temps de parcours vers Toulouse entraînent une forte spéculation immobilière. Des restaurants sont aussi présents, dont une pizzeria et un restaurant étoilé.


"Lo mercat" petit marché qui a lieu tous les mercredis.



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |





Oratoire commémorant l'hôpital Saint-Antoine


Le château de Lartus, de style napoléonien, construit en 1850 eut plusieurs propriétaires dont le ténor Victor Capoul.


Église à clocher mur.



Personnalités liées à la commune |




  • Victor Capoul chanteur ténor, né à Toulouse en 1839, obtint en 1861, le premier prix d'opéra comique au Conservatoire de Paris. Il fut directeur de la scène à l'Académie nationale de musique, ainsi que directeur de l'Opéra de New-York. Le 18 février 1924, il s'est éteint et repose au cimetière de Pujaudran où l'on peut voir son caveau.


  • Yannick Forestier, joueur de rugby du C.O. à longtemps habité le village.



Héraldique |






Blason

Blasonnement :
Écartelé : au premier de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au deuxième d'argent à l'arbre arraché au naturel, au troisième d'azur à la coquille d'or, au quatrième d'or au lion de gueules ; au bourdon de sable brochant sur la partition[15].



Vie pratique |



Culture |


Bibliothèque, comité des fêtes, théâtre, danse[16],



Activités sportives |


Pétanque, arts martiaux, gymnastique, chasse, randonnées,



Voir aussi |



Bibliographie |


  • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société Archéologique et Historique du Gers, 2003, 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39151085)


Articles connexes |



  • Liste des communes du Gers

  • Anciennes communes du Gers



Liens externes |


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  • Site officiel


Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Références |




  1. Carte IGN sous Géoportail


  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].


  3. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.


  4. http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014/(path)/MN2014/031/031261.html.


  5. Site de la préfecture - Fiche de Pujaudran


  6. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  7. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  9. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  10. a b c d et eINSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, 15 octobre 2015(consulté le 10 janvier 2016)


  11. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2009(consulté le 8 janvier 2016)


  12. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2012(consulté le 8 janvier 2016)


  13. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2016(consulté le 8 janvier 2016)


  14. http://www.pujaudran.fr/fr/information/61235/ecoles


  15. Banque du blason.


  16. http://www.pujaudran.fr/fr/associations



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